Ouvrier 1880 1914

commerce, l’agriculture et l’industrie. Ils ne sont jamais pourtant catastrophiques, d’où le terme de stagnation préféré à celui de dépression. La Grande Bretagne demeure la 1ère puissance commerciale du monde, place qu’elle garde jusqu’à la guerre de 1914. Selon les estimations de P. Bairoch, la part du Royaume-Uni se situe en 1860-1870 autour de 25% des exportations mondiales et 30 % des exportations européennes. Le malaise ressenti pendant la Grande dépression ne tient donc pas au déclin de ce que

principaux de la période, non plus le paysan. -la colonisation : les Européens partent à la conquête du monde, exploitant et asservissant des peuples entiers en prétextant les « civiliser » -la « guerre civile européenne » qui déchire le continent, entre 1914-1918, et crée une coupure fatale entre les démocraties libérales et les régimes autoritaires dans les années 1920-30. Ces trois épisodes sont intimement liés : la colonisation coïncide avec la naissance d’une civilisation industrielle prospère

millions en 1800 à 401 millions en 1914. Des fl ots d’Européens décident alors d’émigrer. Dans la première moitié du siècle, les îles Britanniques fournissent les plus gros contingents d’émigrants. Ils sont suivis à partir des années 1840 par les Irlandais. Ces départs toujours plus nombreux concernent tout le continent mais dans des proportions inégales. Pres de 70 millions de personnes quittent l’Europe entre 1820 et 1920. L’émigration est la plus forte entre 1890 et 1914. *Ces départs sont favorisés

la productivité est définie comme le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir, en fonction d’une unité de temps. L’importance des hausses démographique. Hausse démographique extrêmement rapide 1730-1880. De 5 millions à 30 millions en Angleterre. L’amélioration du régime alimentaire, l’importation de denrées agricoles, l’amélioration des techniques ainsi que le respect des règles sanitaires (amélioration de l’hygiène sanitaire, développement des

A. L’économie-monde britannique (1850-1914) : En 1850, le PIB était de 80 millions de dollars. C’est l’apogée de la puissance industrielle britannique c’est-à-dire que c’est le pays le plus industrialisé au monde. On le nomme « l’atelier du monde ». Il domine le commerce mondial avec ses exportations de produits manufacturés. En 1914, le PIB était de 250 millions de dollars. A l’aube de la première guerre mondiale, la puissance industrielle britannique perd son hégémonie économique au profit des

Le monde de 1914 est-il européen? 1914 est une date charnière pour l’Europe et le monde qu’elle domine. Cette domination est le fruit, en grande partie, de la colonisation qui se développe progressivement au cours du XIXe siècle. Mais la « course au clocher » débute réellement à partir des années 1880 à tel point que l'on parle d'impérialisme européen par l'asservissement complet qu'elle entraine. Ainsi, en 1914, maîtresse d’un tiers des terres émergées dont la quasi-totalité de l’Afrique

l’économiste N. Baverez) 2.1. Le temps de la crise économique Dès le 1er choc pétrolier en 1973, la production s’effondre, les usines doivent fermer, le chômage explose, alimentant une crise des banlieues. 2.2 La société du « baby-krach » La part des ouvriers chute dès la fin des « 30 Glorieuses » au profit du tertiaire. La part d’agriculteurs avait diminué plus sensiblement et précocement, alimentant l’exode rural vers les villes et le mythe de la « fin des paysans » (H. Mandras) 2.3. Des pratiques culturelles

nos jours. Chacune s'est appuyé sur des innovations. innovation : application d'une invention à l'industrie. La 1ère industrialisation : 1) Origine : née en GB. 2) Epoque : fin XVIIIème - fin XIXème apogée = fin XIXème (1850 - 1880) 3) Source d'énergie : charbon de terre + naissance des mines de charbon 4) Inventions : Elle a vu naître la machine à vapeur, perfectionnée par James Watt en 1769 avec le système bielle-manivelle.

désarroi. C’est un créateur du fantasme et influence les vers libres et la prose. A travers ses poèmes, Apollinaire exprime les sentiments qu’il a ressenti dans les villes qu’il a connues. I – La vie d’Apollinaire à travers les villes Dans sa vie (1880-1918), Apollinaire a fréquenté plusieurs villes, notamment Amsterdam, Londres, Prague, Hollande mais surtout Paris. - En 1899, il s’installe à Paris avec sa mère et son frère. Ses débuts n’ont pas été faciles ce qui a eu des conséquences sur ses

Luxembourgeois, Britanniques et sujets de l'empire austro-hongrois. Part des non-européens alors quasi-nulle. (carte p. 100 Proportion d'étrangers dans la population active masculine au début du XX° siècle). 1914: 90% des allogènes (immigrés) travaillent de leurs mains. Cpdt, la part des ouvriers qualifiés comme par ex les orfèvres italiens ou les lamineurs anglais recule au profit des travailleurs agricoles et de l'industrie. L'économie de la seconde révolution industrielle a surtout besoin d'ouvriers