Ovide Auguste

apparaissent dans le mythe sous le couvert de la légende. Bon nombre de mythes nous viennent de l’Antiquité, notamment des Grecs et des Romains. b) Le mythe d’Orphée dans la littérature antique Le mythe d’Orphée a été raconté pour la première fois par Ovide dans ses Métamorphoses. Publius Ovidius Naso est un poète latin dont la vie est traditionnellement comprise entre -43 et 18 après Jésus Christ. Auteur favori de la société mondaine du début de l’Empire, il mourra pourtant en exil. Les Métamorphoses

Garde l'espoir qui fait vivre ; Garde la foi qui délivre, La foi qui nous doit sauver. L'espoir, c'est de la lumière, L'amour, c'est une liqueur, Et la foi, c'est la prière. Mets ces trésors, ma très chère, Au plus profond de ton coeur. Ovide, « élégie V » C'était l'été, le soleil avait parcouru la moitié de sa course ; je me jetai sur mon lit, cherchant le repos. Mes fenêtres n'étaient ouvertes qu'à demi ; le jour qu'elles laissaient pénétrer jusqu'à moi

-Possède de grandes ailes rapides, vole sans faire de bruit et très rapidement . -Représenté par un jeune homme tenant un miroir d'une main et une fleur de pavot de l'autre. Mythe Ovide métamorphose Céyx alarmé Daedalion faucon et qu'un loup bœuf punir reçu meurtrier Pélée Claros Delphes Phlégiens Céyx Alcyoné sombrera tempête nom femme avant Héra supporté prière Alcyoné Iris Hypnos Morphée apparaît forme Céyx femme apprend

ses amis, dans la troisième élégie du Livre premier de ses œuvres. Il fera désormais seulement de la poésie ! C’est là qu’il brille et qu’il est lui-même ! Tibulle, Horace et Ovide furent très amis ; on peut en être certain car Horace lui dédia avec affection deux de ses œuvres : l’Ode l, 33 et l’Épitre l, 4. Et Ovide pleure sa mort en des termes très touchants. Tibulle n’a jamais essayé d’être proche d’Auguste. Il resta à l’écart de la cour. La mort de Tibulle suit de très près celle de Virgile

OVIDE Les Héroïdes NOTICE LITTÉRAIRE SUR OVIDE La littérature latine, la poésie surtout, a été une imitation perpétuelle, et souvent une copie de la poésie et de la littérature grecques. La tragédie et la comédie latines, premiers essais du génie romain, ont été calquées sur la comédie et la tragédie d'Athènes ; Névius, Ennius, Accius, Pacuvius, n'ont été que les traducteurs d'Eschyle, de Sophocle et d'Euripide. La poésie didactique a également marché sur les traces de la Grèce : Lucrèce

les plus célèbre de l'époque était Homère pour la Grèce et Ovide pour Rome . -Homère est un poète grec du 8eme siècle avant J-C . C'est lui qui écrivit l'Iliade et l'odyssée . Il était connu pour ses talent de poète . Il a une place majeure dans la littérature grecque car il représente à lui seul la poésie épique durant l'antiquité . Il écrivit plusieurs poème mais sa principale œuvre en poésie sont les hymnes Homérique . -Ovide est un poète latin qui vécut durant la période de la naissance

Séance 1 : Introduction sur le mythe d’Orphée Objectif : Proposer une définition de lyrisme Support : Ovide, Les métamorphoses . Orphée à reçu comme cadeaux des dieux une lyre a 9 cordes (7+2) en hommage aux muses. Cette lyre à des pouvoirs magiques en effet grâce à cette lyre Orphée charme la nature, les hommes, les créatures monstrueuses, et les dieux. Lyrisme : expression de sentiments personnels. Lecture d’une image : Dans ce tableau, Orphée charme la nature symbolisée par l’arbre,

que Tite-Live, Tacite, Thucydide, Ovide ou encore Pindare. Leur premier modèle est le modèle italien de Pétrarque (1304-1374), ainsi que son Canzoniere, poésie lyrique contant l'aventure amoureuse de Pétrarque avec Laure. Ainsi, chaque poète écrit son propre « canzoniere » : Du Bellay écrit l'Olive en 1549, Ronsard Les Amours en 1552, Baïf, Les Amours de Méline. Ils ont pour deuxième modèle les anciens grecs, avec Pindare, et latins, avec Virgile, Horace, Ovide, Tibulle,... Cependant, cette

Lecture Analytique L'art d'aimer Carpe diem, Ovide Introduction (reprendre celle de « au cirque ») Livre III: (voir cours) livre adréssé aux femmes. Ovide à conclu son livre II en se félicitant d'avoir donné toutes les armes nécéssaires aux jeunes gens. Il signe le recueil de son nom (Ovidius) NASO (livre II vers 744: Ovide était mon maître, « Naso magister erat »). Deux vers ont été ajoutés (vers 745/746) pour annoncer le livre III: Ovide va maintenant armer les femmes (cf. traducion de

intéresserons pour cela, plus qu’aux propos directement tenus par Théophile sur sa future poésie, qu’il annonce bien différente de ce qu’elle fut, aux images du changement qui figurent dans cette œuvre. Elles sont en effet nombreuses, puisque, comme Ovide, et sur le modèle des « Métamorphoses », Théophile évoque lui aussi maintes métamorphoses, comme s’il voulait nous montrer la possibilité réelle de changer de nature. Or, à lire attentivement cette œuvre, profondément baroque dans cette thématique