Owen Wilson

peut être remis au goût du jour par la mondialisation. 1. Aux sources de l’exceptionnalisme américain6 Pour le président Abraham Lincoln, les ÉtatsUnis n’étaient rien moins que « le dernier et le meilleur espoir de l’humanité ». Pour Woodrow Wilson, ils étaient l’instrument du Tout-Puissant sur terre. À coté de cette ambition, la « mission civilisatrice » de la France paraît bien modeste ! De 1941 à 1991, de la lutte contre les fascismes à l’effondrement du communisme, la victoire des États-Unis

isolationniste du pays qui jusqu'alors évitait de prendre partis dans les conflits mondiaux. Suite à cette guerre, le Président Wilson (1913/1920) veut faire de la paix et de la sécurité collective son objectif principal. Afin de réaliser celui-ci, il décide de créer un programme se nommant les 14 points de Wilson en 1918. Les USA montrent alors un fort engagement en Europe car, en 1919, Wilson part pour la France afin de faire valoir son programme (on notera que le temps de l'isolationnisme semble révolu).

président américain Woodrow Wilson propose la création d'une société des nations qui doit garantir la paix mondiale. Le projet est relativement mal accueilli en France à cause de la modération des États-Unis envers les nations vaincues lors de l'élaboration du traité de Versailles. Cependant, le président du Conseil Georges Clemenceau accepte d'adhérer à la SdN car il comprend que de cette manière, il obtient le consentement des États-Unis sur ses exigences envers l'Allemagne. Wilson essuie un grave échec

Karl Max, il fonde en 1903 le parti bolchevik. Lénnie est le principal organisateur de l´insurection d´octobre 1917, au cours de laquelle les bolcheviks prennent le pouvoir. Il instaure en Russie le premier régime communiste de l´histoire. Woodrow Wilson : il fait entrer en 1917 son pays dans la guerre au côté de l ´Entente George Clamenceu : il est e chef de gouvenement français au cours de la premiere Guerre mondiale

Alcool  Dysmétabolique : HTA, diabète, obésité, dyslipidémie  Hémochromatose : surcharge en fer  Auto-immune : hépatites auto-immune (Ac anti-LKM1, Ac anti muscles lisse, EPP), cirrhose biliaire primitive (Ac anti-mitochondrie)  Maladie de Wilson : surcharge en cuivre  Cirrhose biliaire secondaire : obstacle prolongé sur les VB + Physiopathologie Conséquences Insuffisance hépatocellulaire Hypertension portale État précancéreux + Physiopathologie Conséquences Insuffisance hépatocellulaire

communisme en Russie. Il pensait que l’Allemagne devait être traité comme une barrière et ne pas exagérer dans sa punition. George Clemenceau, de la France : Il voulait que l’Allemagne soit mise sur ses genoux pour ne plus jamais faire de guerre. Woodrow Wilson, des Etats-Unis : Il était choqué de la sauvagerie de la première guerre mondiale. Aux USA il y avait une politique d’isolation qui s’adoptait, laisser l’Europe tout seul. Il voulait qu’ils se concentrent sur eux-mêmes. Il pensait que l’Allemagne

expansion mondiale sous le signe de la diversité. De nouvelles acquisitions, pour couvrir l’ensemble des besoins cosmétiques de la planète, mais aussi de nouvelles initiatives citoyennes, rythment le développement du Groupe, mené depuis 2006 par Lindsay Owen-Jones, Président, et Jean-Paul Agon, Directeur Général.

fait également son apparition avec la création du Club Des Créateurs De Beauté. En 1988, Lindsay OWEN-JONES devient à son tour directeur général. Sa politique sera de s’ouvrir toujours plus vers l’international, vers la diversité. L’Oréal va ainsi acquérir des marques mondiales telles que Redken (USA), Matrix (USA), Biomedic (USA), Carson (Afrique), Mininurse et Yue-Sai (Chine). En 2006, Lindsay OWEN-JONES est nommé président du groupe et Jean-Paul AGON prend la place de directeur général. Leur but

communication, mix-marketing, culture d'entreprise, portefeuille de marques, innovation, recherche, développement, Lancôme, Ralph Lauren, Giorgio Armani, La Roche-Posay, Kiehl's, Maybelline, Biotherm, dermo-cosmétiques, gamme, Men Expert, Lindsay Owen Jones, Elsève

Comment Lindsay Owen-Jones a transformé une société franco-française en une multinationale, n° 1 mondial des cosmétiques Enfin détendu. En ce vendredi 17 mars, au siège de L'Oréal, à Clichy, Lindsay Owen-Jones, patron du n° 1 mondial des cosmétiques, apparaissait, pour la première fois depuis longtemps, très souriant. Bien sûr, le rachat de The Body Shop, annoncé le jour même, n'était pas étranger à cette joie sans mélange. Mais, surtout, le Britannique, qui a régné durant dix-huit ans sur l'une