Pacte de Bagdad

le président Bush père avait renoncé à aller | | |jusqu'au renversement de Saddam Hussein, les Américains, leur diplomatie et leurs services de renseignements étaient bien plus préoccupés par le régime de Bagdad. Les | | |républicains conservateurs étaient littéralement obnubilés par l'Irak, placé sous embargo par les Nations unies, et élevaient Saddam Hussein au rang d'ennemi numéro un. |

pas des esclaves noirs se soulevant contre leurs maîtres, comme ce fut le cas peu après à Saint-Domingue, la future Haïti. C’étaient des descendants de colons venus d’Europe, et leurs dirigeants étaient de riches bourgeois, qui n’acceptaient plus le pacte colonial, c’est-à-dire le lourd tribut fiscal et économique prélevé par la Grande-Bretagne, ainsi que l’obligation de commercer avec elle plutôt qu’avec les autres pays ou même les autres colonies. En bourgeois, les « patriotes » américains voulaient


Les
Huns
d’Attila
en
sont
notamment
issus.
Un
de
ces
peuples
 turcs,
les
Ouïgours,
installé
en
Iran
se
convertit
à
l’islam
au
contact
de
ses
voisins.
 Quelques
générations
plus
tard,
fin
du
X°
siècle,
en
est
issue
la
dynastie
des
Seldjoukides.
 Seldjouk
devint,
avec
l’Abbasside
de
Bagdad,
le
seul
chef
sunnite.
Il
pris
le
titre
de
sultan
 et
ce
fut
le
véritable
départ
des
conquêtes
turques
:
Arménie,
territoires
byzantins
de
 l’Asie
Mineure.
Leur
empire
était
articulé
autour
du
Sultan,
bras
séculier
du
Calife.
Les
 troupes
étaient
constituées
de
Mamelouks

répond le pacte de Varsovie. 1959, le monde a évolué : perception d’une évolution à l’ouest qui montre plus de compréhension. Cela permet le dialogue. On sort de la confrontation absolue (Corée et Indochine = paix négociées). 1955 traité d’Autriche, les russes quittent l’Autriche. C’est de nouveau un dialogue. Le paramètre militaire reste le critère d’évaluation des rapports de force. Sentiment que l’URSS est entrain de gagner de la puissance militaire. Trois éléments : 1955 pacte de Varsovie

conséquence un nouveau renforcement des blocs, et les Etats-Unis connurent un phénomène de « pactisation ». Ainsi, entre 1er septembre 1951 et février 1955 plusieurs alliances sont conclues : l’ANZUS, les Traités Bilatéraux en Asie, l’OTASE et le Pacte de Bagdad. De plus avec l’entrée de la RFA dans l’OTAN, les Etats-Unis prouvent à l’Europe qu’ils sont actifs dans la construction européenne, favorable à leurs intérêts. Le 5 mars 1953 le Petit Père des peuples meurt, s’ouvrant de même une période de

sont l’un des premiers pourvoyeurs d’aide aux territoires palestiniens). En Irak, les EAU ont le double souci de limiter l’influence de l’Iran et d’assurer la stabilité du pays. Cheikh Abdallah a été le premier MAE du Golfe à serendre en visiteà Bagdad, en juin 2008, pour y annoncer la réouverture de l’ambassade des EAU. Les EAU ont reçu le Premier ministre Maliki en juillet 2008 et ont alors annulé la totalité de la dette (7 Mds US Dollars). Le Prince héritier d’Abou Dabi s’y est, quant à lui,

autorise la légitime défense.7 Ce n’est qu’à partir du moment où un certain nombre d’États se sont entendus pour encadrer puis limiter l’emploi de la force et de la guerre que la notion de légitime défense a pu se développer en droit international. Le Pacte de la Société des nations (SDN), inclus dans le Traité de Versailles8 du 28 juin 1919, peut être considéré comme l’un des premiers accords 6 7 8 Jaroslav Zourek, « La notion de légitime défense en droit international – Rapport provisoire » (1975)

autorise la légitime défense.7 Ce n’est qu’à partir du moment où un certain nombre d’États se sont entendus pour encadrer puis limiter l’emploi de la force et de la guerre que la notion de légitime défense a pu se développer en droit international. Le Pacte de la Société des nations (SDN), inclus dans le Traité de Versailles8 du 28 juin 1919, peut être considéré comme l’un des premiers accords 6 7 8 Jaroslav Zourek, « La notion de légitime défense en droit international – Rapport provisoire » (1975)

autorise la légitime défense.7 Ce n’est qu’à partir du moment où un certain nombre d’États se sont entendus pour encadrer puis limiter l’emploi de la force et de la guerre que la notion de légitime défense a pu se développer en droit international. Le Pacte de la Société des nations (SDN), inclus dans le Traité de Versailles8 du 28 juin 1919, peut être considéré comme l’un des premiers accords 6 7 8 Jaroslav Zourek, « La notion de légitime défense en droit international – Rapport provisoire » (1975)

ce qui est une peine capital spirituelle. - L’Eglise en tant que rôle de fraternité o L’Eglise cherche à rassurer le sentiment d’insécurité en pacifiant la vie des hommes. o En temps de guerre, l’Eglise essaye de faire un pacte de non guerre o L’Eglise garde le droit d’asile des fuillards, si elle juge son acte non ré primable. o L’Eglise s’occupe des hôpitaux (doc10). On soigne peu, on accompagne (pommades, tisanes) pour soulager leurs douleurs. Construire