Paix de Dieu

émancipation : Les mouvements de paix qui sont portés par l’Eglise ont contribué à la naissance des villes (A) qui se sont par la suite développées en villes-Etats (B). A. Les mouvements de paix : racine de la ville : C’est l’Eglise et plus précisément le bas-clergé avec les moines qui ont mis en place ces mouvements dans le but d’encadrer les guerres. Ainsi ils tentent d’organiser une paix durable à la place du roi qui devrait en temps normal garantir cela. Ces mouvements de paix vont naitre à la fin

porté atteinte à un clerc ou un paysan. Ce concile inaugure le mouvement de la Paix de Dieu, pris en main après 1016 par Cluny. Aux Assemblées de paix des serments prêtés sur des reliques sont exigés de tous les chevaliers : interdiction d'attaquer les clercs et leurs biens, de dépouiller les paysans et les marchands, d'incendier les maisons, etc. La Paix de Dieu se prolonge au XIe siècle dans le mouvement de la Trêve de Dieu qui interdit l'usage des armes du jeudi au dimanche (souvenir de la Passion

la paroisse) : l'école ne concerne cependant que quelques jeunes nobles et de futurs ecclésiastiques. • À partir du Xe siècle, l'Église établit aussi des règles pour limiter la violence des laïcs : la paix de Dieu défend aux chevaliers de s'attaquer aux personnes sans défense ; la trêve de Dieu interdit les combats, du mercredi soir jusqu'au lundi matin, ainsi que les jours de fête (qui sont très nombreux). III. La puissance de l'Église • Tous les fidèles payent la dîme, qui correspond à un

réformeRéformes grégoriennes XIe siècleOrdres mendiants XIIIe siècleIII- Une institution qui fixe des règles de conduite- touche la dîme- tient un rôle social important : école, hospice, charité- essaie d¶encadrer la violenceEx : mouvements de la paix de Dieu et de la Trêve de Dieu (XIe siècle)En conclusion, on peut dire que l¶Eglise assure un encadrement de la sociétéchrétienne car elle veille sur les fidèles dans le cadre la paroisse, elle est organiséede façon efficace et elle fixe des règles de conduite à suivre

 D.M La place de l’Église dans la société médiévale . «Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens.» - Arnaud Amaury Dans la société médiévale où la foi est profonde et la peur de l'enfer très forte, l'église joue un rôle considérable : ceux qui prient ( les clercs ) dominent le reste de la société, c'est à dire ceux qui combattent et ceux qui travaillent (noblesse et tiers -état ). Quel est la place de l’Église dans la société médiévale ? 1 ) l’Église rythme la vie quotidienne des hommes . A

la vie et violente, les chevaliers (nobles) se dond la guerre entre eux et l Eglise tente de pacifier la sociéte. Quels sont les dessisions prises par les dirigeants de l Eglise pour garantire plus de paix et organiser la sosciété? Le premier paragraphe organise se qu on appelle « la paix de dieu » : les femmes et les clecs ne peuvent subire de violence. Les hommes peuvent recourire a la violence les trois premier jours de la semaine mais doivent respecter la trêve du jeudi au dimanche. Cet

1. L’EGLISE encadre la vie des chrétiens Les fidèles - Le chrétien du Moyen-Age craint le jugement de Dieu, qui sépare, à leur mort  les justes promis au paradis  les mauvais voués à l’enfer - Pour gagner la vie éternelle (aller au paradis), il est guidé par l’Eglise  les prêtres dirigent les cérémonies religieuses et donnent les sacrements . baptême . mariage . extrême-onction  il faut témoigner de sa foi par . prière . confession . communion . actions pieuses (ex : pèlerinage

b) l’église encadre la société -*elle est riche, dîme, possession de terres, elle gère -*elle exerce autorité morale sur la population  lecture des textes et réponse aux questions -*elle exerce plusieurs fonctions : + hotels-Dieu + écoles + copie de manuscrits , enluminures. Doc 2 Mettre le document 1et 3 au tableau puis proposer cet exercice 3 Rôle important des monastères. Souligner rapidement en fonction de l’avancement du cours. Règle de St-Benoît

la paroisse) : l'école ne concerne cependant que quelques jeunes nobles et de futurs ecclésiastiques. •  À partir du Xe siècle, l'Église établit aussi des règles pour limiter la violence des laïcs : la paix de Dieu défend aux chevaliers de s'attaquer aux personnes sans défense ; la trêve de Dieu interdit les combats, du mercredi soir jusqu'au lundi matin, ainsi que les jours de fête (qui sont très nombreux). III. La puissance de l'Église •  Tous les fidèles payent la dîme, qui correspond à un

puissance de la ville et l’affirmation du pouvoir épiscopal. Leur architecture et leur décor sculpté ne sont pas d’abord destinés, comme on l’a cru longtemps, à l’enseignement des humbles mais, conçus par des théologiens, ils expriment une vision de Dieu et des hommes qu’il faut expliquer. L’étude des édifices religieux permet enfin d’analyser les pratiques religieuses pour lesquelles ils ont été édifiés. Ainsi, dans cette partie du programme comme dans l’ensemble de l’enseignement de l’histoire au