Palis

effet il faut enlever les mauvaises herbes des plants (liseron), il faut couper les têtes en trop car il ne faut en laisser qu’une, et il faut rester très soigneux car la plante casse très facilement. C’est un travail méticuleux. Ensuite, il faut palisser la plante, c’est-à-dire qu’au lieu de la laisser pousser n’importe comment, on enroule la plante autour d’une ficelle afin que celle-ci pousse à la verticale sur un tuteur. En une semaine, nous avons taillé l’équivalent de 12 serres, composées

spectateur. • L’épique intervient souvent dans le récit de la mort des héros (par exemple, le récit de la mort d’Hippolyte dans Phèdre de Racine). • Le lyrisme : on le retrouve dans l’expression des passions des héros ("Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue", Phèdre, 1677). • Le tragique intervient lorsque les personnages ont conscience que le destin les accable et qu’ils ne peuvent lutter. • L’ironie tragique intervient lorsque les personnages constatent avec une certaine dérision qu’ils

de l’acte, de l’annonce de la mort et de la mort crée un effet de pathétique, renforcé par la détresse de Philippe (lignes 43-45) : Qu’as-tu, ma fille, mon enfant bien aimée, qu’as-tu, mon Dieu ! que t’arrive-t-il ! Mon Dieu, mon Dieu, comme tu pâlis ! Parle, qu’as-tu ? parle à ton père. » La dernière didascalie de la page 289 ancre cette scène dans le pathétique : « Un profond silence règne dans la salle ; Philippe est toujours à genoux auprès de Louis et lui tient les mains ». La représentation

domaine viticole possède de nombreux métiers ; Dans les vignes : - Le vigneron coopérateur, Il cultive ses vignes toute l'année, depuis la taille en hiver jusqu'aux vendanges à la fin de l’été. Il entretient le vignoble, plante la vigne, la palisse ou la lie sur un tuteur, il la taille, la protège des maladies. Au moment de la récolte, il la vendange. De plus, il est très souvent impliqué dans toutes les étapes de vinification et même de commercialisation, on le retrouve souvent au caveau, pour

« Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire. » - Phèdre (I, 3, v. 161) « Quand tu sauras mon crime et le sort qui m’accable, Je n’en mourrai pas moins, j’en mourrai plus coupable. » - Phèdre (I, 3, v. 241-242) « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue. » - Phèdre (I, 3, v. 273-274) « C’est Vénus tout entière à sa proie attachée. » - Phèdre (I, 3, v. 306) « Ariane, ma sœur, de quel amour blessée Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! »

montrer le sexe du personnage, son humeur (colérique, joyeux...), son rang social (Roi, esclave...). Les traits des masques sont grossis pour bien reconnaitre le personnage. Pour les décors en tragédie, l'action se passait dans un temple ou un palis mais pour les comédies, l'action se passait généralement dans une maison. On peignait les décors sur la skènè (scene en francais). On changeait peu les décors durant les représentations. Les costumes ont un but principale: faciliter au public l'identification

inventions verbales de Rabelais dans le Quart Livre, tandis que dans le théâtre, la poésie assure une part de l’efficatité dramatique, en effet, des alexandrins expriment merveilleusement bien des situations, des actes même : « Je le vis, le rougis, je pâlis à sa vue » de Phèdre ou encore « l’escalier / Dérobé » d’Hernani, avec son rejet fameux. La poésie traverse donc les limites des genres (confirmations avec l’histoire du poème en prose), elle est d’abord un regard sur le monde, regard qui transforme

réalité des sentiments. On peut également constater qu’aucun des deux héros ne porte de regard sur la foule qui les regarde. Ils sont comme seuls au monde. CCL II. Comme chez Racine, la passion est liée au regard (« je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », Phèdre I,3). Ce qui est également récurrent chez Mme de La Fayette, c’est que l’on ne pénètre jamais au fond de son propre cœur, et que le seul regard conscient est le regard d’autrui. La fatalité de la passion L’idée que

de la vraisemblance psychologique : les passions de chacun deviennent en effet les instruments du destin. Parmi ces passions, l'amour tient la première place et Racine l'analyse avec ses manifestations physiologiques (ex. : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ;// Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue, Phèdre, v.272-273). La passion anime et détruit les personnages pourtant tout-puissants (rois, empereurs, princesses...) qui tentent en vain de lutter contre la pente fatale de l'entraînement des

derniers : la réalité des sentiments. On peut également constater qu’aucun des deux héros ne porte de regard sur la foule qui les regarde. Ils sont comme seuls au monde. CCL II. Comme chez Racine, la passion est liée au regard (« je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », Phèdre I,3). Ce qui est également récurrent chez Mme de La Fayette, c’est que l’on ne pénètre jamais au fond de son propre cœur, et que le seul regard conscient est le regard d’autrui. C. La fatalité de la passion L’idée que cette rencontre