Palmette

poids : 217 g. Diam. : 8,6 cm. + 1 tastevin en métal argenté à décor de godrons et cupules. 2 2 plats égyptiens années 20/30 Estimation : 500 / 700 Euros Adjugé(e) : 630 Euros Paire de plats ronds en argent (900 millièmes), l'aile ajourée de palmettes et fleurs de lotus. Travail égyptien sous domination ottomane. Poinçons : Tourgha turque (1844-1923), poinçons égyptiens d'Alexandrie des années 20 / 30, cygne. Poids : 1625 g. Diam.: 29,4 cm. 3 Coupe PUIFORCAT Estimation : 150 / 200 Euros

la statue dominer le temple, alors qu’à l’origine, on construit le bâtiment et la statue est posée par la suite. 5. Le Parthénon est construit en marbre du Pentélique. Son toit était couvert de tuiles de marbre, agrémentées d'antéfixes en palmettes polycromes, et figurant des têtes de lions aux angles, faisant office de gargouilles. Construit sur un stylobate à trois degrés, qui mesure 69,51 mètres sur 30,88 mètres. La colonnade extérieure compte 8 × 17 colonnes, soit un total de 46 colonnes

renfermait l'Hestiatorion où était célébré le banquet offert aux vainqueurs des Jeux.  Le Philippeion était un magnifique édifice circulaire en marbre, entouré de colonnes ioniques et couvert d’un toit conique qui se terminait par un grand acrotère à palmette. Sa construction fut entamée par Philippe II de Macédoine. Sur une terrasse située au nord, au pied du mont Kronion, s'alignait une rangée de petits édifices votifs en forme de temple consacrés par des États-cités ou de riches fidèles et désignés

distingue par plusieurs caractéristiques d’exception : il est entièrement en marbre 3. il s’oppose au style ionique 4. Le Parthénon est construit en marbre du Pentélique. Son toit était couvert de tuiles de marbre, agrémentées d'antéfixes en palmettes polycromes, et figurant des têtes de lions aux angles, faisant office de gargouilles 5. 8 × 17 colonnes, soit un total de 46 colonnes, chacune composée de 10 à 12 tambours à 20 cannelures. En marbre ; 1.  les stylobates et les architraves sont

sont moins imposantes et plus maniable L’invention du bureau plat est attribué à André Charles Boulle Charles CRESSENT et Gaudreau est l’ébéniste fournisseur officiel de la régence. ( pareil que Boulle sous louis XIV) Les ornements cartouche avec palmette renversées poignée ou main avec une entrée de serrure dorée ciselé coquille coquille renversée espagnolette Le mobilier Les Lits Lit à la française, à la duchesse entièrement tapissier à part le châlit baldaquin ciel de lit dosseret, courtepointe

la Place de la Concorde, Sainte-Geneviève,Hôtel de la Monnaie, projets dessinés de Marie-Joseph Peyre) décor sculpté limité, voire inexistant usage d'ornements sculptés inspirés de l'antique : frises de grecques, de postes, rinceaux, festons, palmettes, etc. mise en valeur de la surface minérale de l'édifice, soit que le mur soit nu ou traité en bossage (façade sur Seine duPalais Bourbon, bossage du sous-bassement des hôtels jumeaux de la Place de la Concorde) raffinement de la distribution des

différencie des femmes . b : l'époque archaïque de 700 à 480 avant JC Se divise elle-même en deux période le 7ème siècle et 6ème siècle. La période orientalisante ( le 6eme siècle) a tendance à faire disparaitre les motifs géométriques au profit de palmettes, de rosettes . Eléments inspirés du monde végétale . On voit aussi apparaitre des animaux : lions, panthères, sphinxes , sirènes . Par la suite, il va y avoir de plus en plus de représentations de l'être humain . Au 6ème siècle, on va remarquer

l'ornementation très présente. On y voit : des "chou bourguignon" sous les frontons; des guirlandes de fruits et de fleurs; des éléments architecturaux et ornementales: des frises, des corniches, des oves, des macarons, des arcs en plein cintre, des palmettes, des mufles de lions,… Le piétement est constitué de 6 pieds en forme de boule écrasée. La structure très compartimentée de ce meuble, la sculpture jouant sur les différences de relief et la polychromie apportée par les panneaux peints sont des

tradition des portraits officiels des politiciens . Il est représenté devant un paysage sur fond de ciel bleu nuageux. Un buste de marbre blanc celui de l'abbé Raynal, il repose sur un piédes­tal de marbre brun sombre, orné d’un rais de cœur et de palmettes aux angles. Comme un modèle de buste antique, Raynal a le crâne entièrement chauve, l’ex­pression grave est volontaire, les sourcils froncés, une mâchoire puissante. Il dirige son regard droit devant lui, vers la lumière. Jean-Baptiste Belley est

construit à la fin du XVe siècle (par reconstruction de la résidence abbatiale parisienne). On reconnaît le style gothique de ce bâtiment par sa hauteur, ses arcs brisés, la voûte sur croisée d’ogives de la chapelle, ses nombreuses ouvertures, les palmettes, etc. On trouve également quelques éléments de la Renaissance. Il est installé dans deux anciens monuments parisiens : Les thermes gallo-romains L’hôtel des abbés de Cluny En 1833, Alexandre