Palmette

Aribaud, Les taillades dans le vêtement de la Renaissance: l’art des nobles déchirures Jacqueline Boucher, Le costume autour des derniers Valois: signe de pouvoir et objet de polémique Maria-Anne Privat-Savigny & M.-Hélène Guelton, Fleurons et palmettes. Quelques tissus à petits motifs des années 1560-1630 destinés à l’habillement Pour conclure, les études réunis dans cet ouvrage sont les études pluridisciplinaires dont l’objet est la parure vestimentaire. Bien sûr, comme le souligne Marie Viallon

amphiprostyle et octostyle, construit sur un stylobate à trois degrés. Il mesure 69,51 mètres sur 30,88 mètres Le Parthénon est construit en marbre et il est de stylre dorique .Son toit était couvert de tuiles de marbre, agrémentées d'antéfixes en palmettes polycromes, et figurant des têtes de lions aux angles, faisant office de gargouilles Le nouveau musée de l’Acropole : Le nouveau musée de l'Acropole d'Athènes - d'une surface de 25.000m2 dont 14.000m2 d'exposition et entouré de 7.000m2 d'espaces

Alexis Picard (1813-1867), entré à l'Ecole des Beaux-Arts en 1830.   Comme la plupart des bâtiments de la Grèce antique, le Parthénon était coloré. Des couleurs rehaussaient tous les éléments sculptés décoratifs (triglyphes en bleu, moulures, palmettes, etc.) de même que les scènes figurées. On s’en doutait, mais la preuve en a été apportée en juin 2009 quand des études à l’aide d’une caméra à rayons infrarouges ont détecté la présence de la couleur appelée « bleu égyptien » sur des restes des

caparaçon du cheval sont fleurdelisés. Autour de la pièce, une inscription : Johannes Dei gracia Fran-corum Rex que nous définirons par la suite. Au revers est représentée une croix feuillue avec quadrilobe en cœur, elle-même dans un quadrilobe orné de palmettes et cantonné de 4 flèches évidées. Y figure l’inscription christus vincit, Christus regnat, Christus imperat. Il s’agira pour nous de déterminer quels furent les traits de la guerre et de la royauté au XIVe siècle. Pour cela,

rampes d’accès + sanctuaire dans la falaise – intégration de l’architecture au site) LE MOND GREC * Colonne ionique (Erechtheion) : base ionique attique = 2 tores (convexes) entourant 1 scotie (concave) ; haut du fut de la colonne : frise de palmettes et fleurs lotus ORDRE DORIQUE * Temple : 1) Opisthodome 2) Naos 3) Antes 4) Péristasis 5) Pronaos 6) Colonnes in antis * Nomenclature : DORIQUE 1) Sima 2) Tympan 3) Geison 4) Acrotère 5) Mutules

plateau d’une forme rectangulaire. Cet autel est un élément remarquable du décor de la basilique romane du 12e siècle, dans le bas-côté nord du chœur, avec la face avant possédant une gaufrure en pointe de diamant et des pilastres à rinceaux, oves et palmettes. Définitions : · Le triforium (terme issu du vieux français « trifoire » venu lui-même du latin transforare, « percer à jour ») est un passage étroit aménagé dans l'épaisseur des murs1 au niveau des combles sur les bas-côtés de la nef d’une grande

floraison ornementale d'une merveilleuse invention. On a retrouvé dans les vestiges des temples élevés au VIème siècle avant JCh, la plupart des motifs originaux que l'on verra surgir de siècle en siècle : cannelures, perles, feuilles d'eau, denticules, palmettes, lignes brisées géométriques qui recevront d'ailleurs le nom de grecques. Le goût pour le décor abstrait est si fort chez les grecs qu'il aboutit à une stylisation des formes observées dans la nature, telle que rinceaux ou feuilles d'acanthe.

symétriquement (deux guerriers troyens derrière Hypnos et Thanatos encadrent la scène) et reliés horizontalement par le corps inanimé de Sarpédon. Mais aussi par la finesse du dessin pour tous les détails : la frise de palmettes près de l’embouchure comme la frise inférieure formée en alternance de palmettes et de fleurs de lotus, la chevelure bouclée de Sarpédon, les écailles qui ornent les ailes d’Hypnos et Thanatos et le corselet de ce dernier. Les couleurs elles-mêmes offrent une grande variété de tons, de

étage, on observe la présence de trois grandes fenêtres sur chaque côté de la tour. Sur la tour-porche, se trouvent aussi de remarquables chapiteaux. Aux rez de chausser, on observe des chapiteaux en feuilles d'acanthe (ordre corinthien), en en palmettes : le sculpteur (Unbertus) s'est inspiré de la tradition romaine. Le autres chapiteaux représentent des scènes bibliques comme la vie de la Vierge Marie, ou celle de Saint Martin, mais aussi des scènes champêtres et de la vie quotidienne. Le

géométrisation pure des formes des portes, des lambris et des moulures privilégiant l’angle droit plutôt que la courbe et dans la symétrie des décors autour d’un axe central majoritairement. On retrouve également concernant le vocabulaire iconographique des palmettes, des coquilles et/ou encore des feuilles d’acanthe comme on peut le voir aux salons de Diane et de Vénus du château de Versailles avec des lambris en marbre et des portes en bois posées sur de grands modules à très fortes moulures. Vers 1650-1660