Palmette

d’or armait la pointe de la proue, et montrait que l’embarcation appartenait à une personne de race royale. Au milieu de la barque s’élevait une cabine à toit plat, une espèce de naos ou tente d’honneur, coloriée et dorée, avec une moulure à palmettes et quatre petites fenêtres carrées. Deux chambres également couvertes d’hiéroglyphes occupaient les extrémités du croissant ; l’une d’elles, plus vaste que l’autre, avait un étage juxtaposé de moindre hauteur, comme les châteaux-gaillards de ces

pierre ⇒ 9- marbre ⇒ 10- plastique Question A Question A Question A Question A : placez sur le le schéma les numéros suivants : 1 – figure de la victoire 2 – trophée 3 – guirlande de feuillage 4 – frise de feuilles et de fleurs 5 – palmettes 6 – frises d’oves 7 – plaque de cheminée 8 – médaillon 9 – table43 Fiche découverte architecture 9Fiche découverte architecture 9Fiche découverte architecture 9Fiche découverte architecture 9 CHEMINEE DU CHRIST ET DE LA SAMARITAINECHEMINEE

porphyre est lourd, il fallait un pied solide. On a 4 putti, qui vont donner l’ illusion de soutenir le plateau, au corps potelé, qui se termine en patte de lion, on a quand même un pied central qui soutient le poids de l'ensemble, et une déco de palmettes, de feuilles d'acanthes, qui se terminent en patte de lion. Choix de matériaux précieux, onéreux, rare, et là aussi cette ajout de bois doré accentue ce caractère. Mobilier en marqueterie de pierres dures Plateau d'uniformiser En Italie

Gilles-Marie Oppenordt. Architecte du Régent. Tendances baroques héritées de Borromini, goût pour les surfaces pittoresques animées de jeux vermiculés… pénètrent peu à peu le milieu parisien. Sous son influence, répertoire ornemental (chicorée, roses, palmettes, coquilles, ailes de chauve-souris, dragons…) gagne peu à peu les façades. Cependant, n’affecte que travée centrale et balcon, vantaux de portes, consoles et agrafes sculptées sans déranger ordonnance (cf. hôtel Chenizot, Paris, 1726, par Pierre

d'orfèvrerie. La sculpture sur chapiteau : elle se diffuse à partir de l'an mil, même si ses débuts furent timides : dans les églises italiennes de la première moitié du XIe siècle est repris le modèle corinthien, plus ou moins stylisé (chapiteau à palmettes). D'autres lieux (Bourgogne, Catalogne) expérimentent les chapiteaux à entrelacs et à feuilles d'acanthe. Mais bientôt, les animaux et les figures anthropomorphiques apparaissent, même s'ils restent rares avant 1050 (Abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire)

pp. 709-748, très représentatifs du raisonnement et du vocabulaire qu'on discutera ici. Cf. aussi les observations hétérodoxes de Hippler Bello (J.), « The WTO Dispute Settlement Understanding : Less Is More », A.J.I.L., 1996, pp. 416418 ; adde, Palmeter (D.), Mavroidis (P.C.), Dispute Settlement in the World Trade Organisation. Practice and Procedure, La Haye, Kluwer, 1999, xvi + 313 p., Renouf (Y.), « Les mécanismes d'adop tion de mise en oeuvre du règlement des différends dans le cadre de FOMC

décor polychrome. Les poteries de Fès, quant à elles, sont bleues et blanches. Le décor peut être géométrique : rosaces ou étoiles rayonnantes et éléments du décor berbère. Elles peuvent comporter des motifs floraux tels que les œillets ou les palmettes. La caractéristique du décor des poteries salétines est la discrétion des teintes posées sur une engobe blanche, vert d’eau ou parfois brun cognac, voire bleu pâle. Les motifs sont assez électriques : berbères, andalous ou inspirés du folklore

sur le collet, les parements et le pourtour. Les motifs de cette broderie associent des couronnes de feuillages (palmes, laurier, chêne) avec des fritillaires impériales, épis de blé, pampres, abeilles, rayons alternant avec des étoiles, des palmettes, des rosaces et des motifs ailés, ainsi que le N de l’Empereur disposé sur le collet et les parements. Sur le côté gauche est cousue une plaque de l’ordre de la Légion d’honneur, posée sur une étoile en paillettes et fils d’argent. Recouvrant

structure du temple grec a emprunté aux ancêtres mycéniens la forme rectangulaire, le mégaron et les colonnes qui soutenaient la principale entrée. Elle a emprunté aux Égyptiens l’esprit du monumental et de l’ornemental (colonne cannelée, motifs de la palmette, de la rosette et du lotus). La construction du temple repose sur deux éléments de base : un bloc de pierre horizontal (le linteau) et les colonnes (poteaux) qui le supportent. Le Parthénon est l’un des chefs-d’œuvre classiques qui représentent

scènes byzantines. Partout, jusqu'au XIe siècle inclusivement, la sculpture d'ornement s'en était tenue à la reproduction plus ou moins fidèle des motifs traditionnels de l'antiquité ou de Byzance : galons, torsades, bâtonnets, nattes, perles, oves, palmettes et fleurons. On y décèle encore des motifs de provenance barbare ou asiatique entrelacs, animaux fantastiques et autres motifs de fantaisie. Au XIIIe siècle, la sculpture française s'émancipe tout à coup. Viollet-le-Duc a osé, le premier, comparer