Pantin

XXe siècle. C’est un genre traitant fréquemment l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant toujours a la mort. Ionesco et Beckett exposent une philosophie dans un langage lui-même absurde qui réduit les personnages au rang de pantins, détruit entre eux toutes possibilités de communication, ôte toute cohérence de l’intrigue et toutes logiques aux propos tenues sur scène. L’absurdité des situations mais également la destruction du langage lui-même ont fait de ce style théâtral un

l’invention infinie de par le poème explicite : « sans fin donner naissance » v.1, et l’anaphore « A des » v.2 et 3 qui suggère un ressassement. On retrouve cette idée de création dans « Femme portative » ; la femme est objetisée sous l’allure d’un pantin articulé que l’on peut faire et défaire au grès de ses envies. Dans « Solitaire » et « Le sablier compte-fils », ce motif s’apparente à l’emprisonnement, à un certain repli sur soi même qui sont des thèmes récurrents chez les surréalistes. On retrouve

parc de jeux, des personnages occupent ces tourniquets, s’appropriant presque entièrement cet espace, réservé à la base aux enfants. Ils semblent déjà avoir quitté le monde de l’enfance et deviennent incongru, dérangeant dans ce paysages. Tels des pantins désarticulés, ils donnent un aspect angoissant, inquiétant à ces jeux d’enfant. Le cris Nous voyons une jeune fille, dont le visage serein vire soudainement à un visage plein d’angoisse, assise sur son fauteuil dans un endroit inapproprié.

littéraire s'est inspiré des surréalistes et des dadaïstes mais est radicalement opposé au réalisme. La particularité de Ionesco et de Beckett est qu’ils ont exposé une philosophie dans un langage lui-même absurde qui réduit les personnages au rang de pantins, détruit entre eux toutes possibilités de communication, ôte toute cohérence à l’intrigue et toute logique aux propos tenus sur scène.

particulièrement à la sauvergarde de son patrimoine; son histoire, ses traditions, ses choix politiques. Chaque état exige de rester indépendant et de prendre ses propres décisions sans qu'en aucun cas, il ne soit considéré comme un pantin, dont les ficelles seraient manipulées par d'autres nations. Même si un état est redevable d'une sortie de crise quelle qu'en soit son aspect, il tient à maintenir une souveraineté et à rester maitre des décisions.

l’engagement, de l’idéologie Les différentes caractéristiques du théâtre de l'absurde sont : Disparition de l’intrigue (les situations n’évoluent pas, il n'y a pas d’intrigue dans le sens « narratif » du terme) Crise du personnage (présenté comme un pantin qui perd parfois son identité). Souvent on ne trouve pas de personnalités marquées Lieu et temps imprécis ou incohérents Absence de communication entre les personnages : le langage mis en scène n’est plus un moyen de communication mais il exprime

veulent pas abandonner la partie… jusqu’à ce que ça éclate. 2) La répétition : la même situation revient plusieurs fois. On a une répétition en miroir lorsqu’une scène est reprise presque de façon identique par d’autres personnages. 3) Le pantin à ficelles : un personnage est manipulé par quelqu’un d’autre, comme une marionnette, mais il se croit libre. 4) L’inversion ou le renversement : la situation se retourne contre celui qui l’a mise en scène. L’arroseur arrosé. 5) L’effet

(Julia Kassar) et son esclave (Aida Sabra).Sous des traits féminins, vêtues de noir, pieds nus et visages crispés, le dictateur et son compagnon investissent la scène. Le premier, ne chaussant une chaussure à talon qu’à un pied et claudiquant comme un pantin, ne vit qu’à travers l’illusion que lui-même aurait créée : la conviction d’exister uniquement pour sauver le monde et l’humanité en débarrassant son peuple d’un personnage imaginaire : le Roi. Fou et aliéné, il se laisse emporter dans un monde

taureau a l’instant ou le combat va commencer , ce qui rend la chanson beaucoup plus profonde et ce qui fait que l’on attache directement. Dans cette chanson et aussi représenté le torero qui lui est comparé a « Cette danseuse ridicule » , « Ce pantin, ce minus ! » . Ce qui dégage une certaine haine pour c’est hommes la , mais la foule est aussi représenter a plusieurs reprises mais surtout lors de plusieur antithèse situé au dernier couplet : « Je les entends rire comme je râle

incessantes. Comment être un bon acteur? La rigidité de la reproductibilité limite la créativité de l’artiste comme l’explique Villiers et Stanislavski. La maîtrise de la technique doit être complète mais l’acteur ne peut pas se limiter à être un pantin. Les règles posées doivent parfois être enfreintes pour se rapprocher au plus près de la réalité. La double vie qui anime l’acteur doit être indépendante l’une de l’autre. Cependant Stanislavski montre, du fait de l’indissociabilité du conscient