Panzerdivision

d’instructeur en école et d’officier d’état-major, il devient Chef de Corps du 3ème bataillon du 17ème Régiment d’infanterie alpine en 1933, puis professeur à l’école de guerre allemande de Postdam de 1935 à 1938. En 1939, général commandant la 7ème Panzerdivision, il est engagé en France. Il est à l’origine de la montée en puissance et de la création de l’Afrikakorps en 1941 dont il prend le commandement. En 1944, il reçoit la mission d’organiser la défense de l’Atlantique. Ebranlé par le succès allié

servirent dans les équipes de défense anti-aérienne. Vers 1943, les chefs nazis firent des Jeunesses hitlériennes une réserve militaire où ils puisaient des troupes suite aux pertes importantes et croissantes dues à la guerre. Ainsi la 12e Panzerdivision SS Hitlerjugend sous le commandement de Kurt Meyer était entièrement composée de jeunes garçons entre seize et dix-huit ans. Cette division fut déployée pendant la Bataille de Normandie contre les forces canadiennes et britanniques au Nord de

et servirent dans les équipes de défense anti-aérienne. Vers 1943, les chefs nazis firent des Jeunesses hitlériennes une réserve militaire où ils puisaient des troupes suite aux pertes importantes et croissantes dues à la guerre. Ainsi la 12e Panzerdivision SS Hitlerjugend sous le commandement de Fritz Witt était entièrement composée de jeunes garçons entre seize et dix-huit ans. Cette division fut déployée pendant la Bataille de Normandie contre les forces canadiennes et britanniques au Nord de

les directives et les instructions de leurs supérieurs en exil à Londres. Des réseaux d'espionnage et de renseignements se créent, avec l'implantation d'agents doubles très efficaces pour l'intoxication des armées nazies, comme celle de la 9ème Panzerdivision détruite par des avions alliés grâce à l'aide des agents infiltrés. D'autres réseaux, comme Comète dirigée depuis la Belgique, aide les rescapés ( aviateurs échoués en territoire occupé ) en les guidant vers la frontière espagnole, en leur fournissant

Corps d'armée en Bretagne. * Le 2ème Corps d'armée parachutiste (Meindl) en réserve d'armée. - Réserves de l'OKW (ces unités sont à la disposition exclusive de Hitler). * 1er Corps d'armée SS blindés (à 3 Panzerdivisioner n°1, n°12, n°17). * La Panzer Lehr, division blindée d'instruction. * La 2ème Panzer SS Das Reich, arrivant du Sud-Ouest. Quant aux forces alliées, le Général EISENHOWER est le commandant en chef. Il dispose

objectifs prévus dans le Plan Bleu, barrage de l’isthme de Don Volga, bombardement de la ville pour enrailler toute production industrielle et majeures pertes de vie humaine dans le camp russe. La VIe armée allemande reçoit du renfort de la 14e Panzerdivision permettant ainsi une offensive importante sur le Sud de Stalingrad. Cette attaque sera comme les autres auparavant, c’est-à-dire qu’elle aura un départ fulgurant mais leurs nombreuses pertes seront tout aussi importantes que le réapprovisionnement

réel de 2200 a été révélé. La qualité des chars français se révèle aussi supérieur à celle des allemands. Toutefois l’état-major français ne croit pas aux chars. Ainsi on ne sait pas les utiliser : alors que les allemands forment 10 divisions Panzerdivision, les français en mettent la moitié dans l’infanterie et l’autre moitié dans 3 divisions blindés légères et 4 lourdes. Pour ce qui est de l’aviation, les allemands comptaient entre 2700 et 3000 avions alors que les français en avaient 3289.

l’accompagnent, sur quels éléments reposent les victoires allemandes ? Guerre éclair. Emploi massif des blindés et de l’aviation de manière à réaliser une percée permettant à l’infanterie d’attaquer. L’artisan de cette guerre éclair, c’est la Panzerdivision (division cuirassée) composée de 300 chars, de troupes d’assaut motorisées et d’une artillerie tractée. Son rôle consiste à enfoncer les lignes ennemies avec l’appui étroit de l’aviation qui précède sa marche en bombardant le dispositif adverse

ville pour se moquer des ploucs qu’ils avaient rencontrés. Pour ma part, je me suis promis de vivre lentement, religieusement, attentivement, toutes les saisons et les âges de mon existence. 15 Le monde est allé de plus en plus vite : les panzerdivisions n’ont pas mis plus de quarante jours pour parcourir et occuper la France. Aujourd’hui, les hommes qui ne sont pas aptes à soutenir ce train d’enfer demeurent au bord de la route et souvent attendent en vain qui les dépannera et leur permettra

gouvernement, en territoire hongrois, et trois jours ne staient pas couls que les voitures de lArme allemande faisaient leur apparition dans nos rues. (page 24). La mentionde leur emblme, un crne de mort (page 24) semble indiquer quil sagissait de la 3e Panzerdivision S.S. Totenkopf (Totenkopf signifiant tte de mort en allemand). liezer indique Pourtant, la premire impression que nous emes des Allemands fut des plus rassurantes, et lofficier allemand, qui tait un homme charmant calme, sympathique et poli (page