Papauté d'Avignon

consolider l'unité nationale à mettre au crédit des Constituants. L'affaire des princes possessionnés d'Alsace et de l'annexion d'Avignon et du Comtat Venaissin en 1790 permet aux révolutionnaires de poser un nouveau principe du droit international, le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Par contre, la réorganisation du clergé catholique sans l'autorisation de la papauté suscite une profonde division dans le royaume. La constitution civile du clergé votée le 12 juillet 1790 transforme les évêques

d’Orient, les Templiers (puissance militaire, financière). Le Bel élimine les templiers dans la nuit du vendredi 13. A l’époque la théorie de la papauté était celle des deux glaives : un spirituelle qui appartient au Pape, l’autre séculier qui appartient au Pape mais qu’il délègue au Roi. Le Roi agit donc pour le Pape. Le Bel fait nommé un pape (papauté d’Avignon). C’est ainsi que débute l’autorité absolue du Roi : temporelle et séculière. Le Roi nomme les Evêques : ils sont ainsi tous Français. Lorsqu’il

accueilli par Julie Jouve, sa marraine, originaire de Bédoin, devenue concierge du Conservatoire d'Avignon, ou par la tante Clarisse dont Bosco fera la tante Martine de ses romans. Il fait ses humanités grecques et latines dans la cité papale. Il est pensionnaire au lycée d'Avignon. « Parallèlement, il poursuit pendant huit ans des études de musique (harmonie et composition musicale) au Conservatoire d'Avignon, tout en suivant des cours de violon auprès de M. Maillet, l'organiste de l'église Saint-Agricol

toujours important, avait perdu son statut de république sous le gouvernement autocratique des Médicis (1494). C’est dans ce contexte troublé que l’art serein, équilibré et classique vit le jour. La papauté s’employait à étendre son pouvoir temporel depuis qu’elle avait transféré sa résidence d’Avignon à Rome. Les papes retournent à Rome en 1420 pour prendre le contrôle total de la ville en 1453 après le sac de la ville par les impériaux (1527) avec l’obligation de restaurer la ville. C’est le pape

intervention dans le sens de la condamnation de l’œuvre des derniers siècles et dans la glorification de l’antiquité romaine nous vient de Pétrarque, suivie de Boccage. Or il s’avère que l’intention de départ est politique : querelle entre la papauté d’Avignon et Pétrarque. Pétrarque et Boccage sont suivis par des artistes au service de princes qu’ils convenaient de glorifier puis, par les humanistes, seuls bons juges en la matière ! Au temps des « lumières », seule Rome compte. Les gens

réponses les propos tenus dans le contexte historique présenté ensuite : fin des croisades et retour de la guerre sur le sol européen (ex : guerre de cent ans), difficulté de subsistance des paysans, puissance du Saint-Empire et conflits avec la Papauté. 2) Contexte historique : Contexte historique local : L’Histoire italienne, au Moyen-âge, est très particulière pour plusieurs raisons. Tout d’abord géographiquement : le sud de la péninsule italienne et la Sicile étaient alors occupés par le

Constantin (fonde la prétention des Papes à avoir un état temporel). En 1440 Lorenzo Valla a rédigé sur de la fausse et mensongère donation de Constantin. Il était protégé par Alphonse d’Aragon qui voulait être Roi. C’est une machine de guerre contre la papauté. La donation de Constantin est un faux, c’est un document rédigé au tout début de l’époque carolingienne pour légitimer les prétentions du Pape au pouvoir temporel. La première partie est un dialogue très rhétorique qui montre le caractère invraisemblable

Innocent III, Innocent IV et Boniface VIII. Querelle des investitures Conflit entre la papauté et le Saint Empire (1075-1122) au sujet des nominations d'évêques et d'abbés qui bénéficiaent de fiefs d'Empire et, depuis le 9e siècle, les suzerains (seigneurs) avaient l'habitude de nommer les évêques et les abbés et de leur conférer l'investiture, non seulement temporelle, mais aussi spirituelle. La papauté récusa le principe de leur investiture par l'autorité laïque (11e s.) et Grégoire VII (1073-1085)

ce sera aussi une défaite de la théocratie pontificale. Le gallicanisme se renforce avec le séjour de la papauté. On se retrouve donc avec deux papes un à Avignon, l’autre à Rome. Le concile de Pise est mit en place pour résoudre le problème mais il a réussi qu'à à envenimer la situation puisqu'il y aura trois papes au lieu de deux sur le trône de St Pierre. Le pape Benoît XIII, pape d'Avignon, qui a derrière lui le soutien de l'Espagne, le Portugal, la France et l'Écosse. Le pape Grégoire XII, pape

transféré du pape aux évêques, apparaissant comme les représentants légitimes de l’église, peuvent prendre des décisions au sein du concile. C’est le concile de Pise qui met en œuvre cette théorie, décidant de déposer 2 papes : celui de Rome et d’Avignon :aucun des 2 ne se soumet : il y a 3 papes. Un nouveau concile est rassemblé à Constante et au terme de ce concile 2 papes démissionnent et le 3ème est déposé. Le nouveau pape élu semble être reconnu de tous. Il s’efforcera de restaurer l’autorité