Pappus

d’ébauche de la commedia dell’arte. L’atellane, au milieu du IIème siècle avant J.-C., était en effet une farce burlesque, souvent obscène. Elle mettait en scène quatre personnages stéréotypés et masqués : Maccus, le glouton, Bucco, l’imbécile bavard, Pappus, le vieux gâteux et Dossennus, le bossu plein de malice. Le spectacle reposait également sur un canevas, mais laissant toutefois un large champ fertile d’improvisation. Quelle différence alors avec la Commedia dell’arte ? En effet, s’il existe déjà

et fils dans les comédies. En plus de la musique, nous retrouvons comme en Comedia dell’arte des personnages bien définis : - le macchus : paysan gourmand et sot. - le bucco : personne à grosses joues, sot, bavard et content de lui. - le Pappus : vieillard ambitieux, trompé par tout le monde. - le panniculus : sorte d'Arlequin, valet. - le dorsellus : bossu, savant et avare. - les spectres : des fantômes redoutables qui menaçaient souvent les enfants. Les théâtres romains étaient

numération et à l’infini, affirmant ainsi par exemple qu’il avait l’idée de l’infinité des grains de sable, mais qu’il faudrait les dénombrer . Un système de numération parent de celui d’Archimède faisait l’objet du livre de la Collection Mathématique de Pappus d'Alexandrie. La majeure partie de ses travaux concernent la géométrie avec : l’étude du cercle où il détermine une méthode d’approximation de pi à l’aide de polygônes réguliers et propose les fractions suivantes comme approximations : 22/7, 223/71

trophées et des soldats, présente l’empereur debout couronné par une Victoire. L’Aréa : Le forum de Trajan était orné de nombreuses statues dont ont à retrouvé quelques piédestaux portant des inscriptions. Trajan en avait fait élever pour Sosius Pappus, Palma et Celsus (sénateurs sous le règne de Trajan), On y accédait par un arc de triomphe et on entrait ainsi dans une vaste Aréa ou Atrium (équivalent du parvis d’une basilique actuelle), et on apercevait donc, au centre une statue équestre de Trajan

voulait pas faire de mal, surement la peur de représailles car il était considéré, par certains, comme un grand Prophète. En premier lieu, le sentiment de Mannaéi qui « avait noyé Aristobule, étranglé Alexandre, brûlé vif Matathias, décapité Zosime, Pappus, Joseph et Antipater » et pourtant, ce bourreau « n'osait tuer Iaokanann ». Puis en second lieu, il en avait même peur car « ses dents claquaient, tout son corps tremblait » avant d’exécuter l’ordre qui lui a été donné. Enfin, nous pouvons noter

exprimés dans ses ouvrages ultérieurs. Mais Descartes s'occupe également de mathématiques : il tente de réformer le système de notation et introduit l'usage des lettres de l'alphabet latin. C'est en 1631, quand Gollius lui proposa le problème de Pappus, qu'il découvre les principes de la géométrie analytique. Il commence les Météores à l'occasion de l'observation des parhélies (observations faites à Rome, en 1629). Il étudie l'optique, découvre les lois de la réfraction, et achève la rédaction de

passant respectivement les trois sommets d'un triangle soient parallèles ou concourantes. Ces théorèmes ont longtemps été énoncés et démontrés dans le plan ane. Mais avec l'avènement de la géométrie projective qui trouve ses origines dans le travail de Pappus d'Alexandrie (iveme siècle après Jésus-Christ), et la dualité projective (une dualité, justement - entre le fait que par deux points distincts passe une droite et une seule, et le fait que deux droites distinctes se coupent en un point et un seul

L’atellane, au milieu du IIème siècle avant J.-C., était une farce burlesque, souvent obscène, jouée à la suite d’une pièce tragique. Elle mettait en scène quatre personnages stéréotypés et masqués : Maccus, le glouton, Bucco, l’imbécile bavard, Pappus, le vieux gâteux et Dossennus, le bossu plein de malice. Le spectacle reposait également sur un canevas, mais laissant toutefois un large champ fertile d’improvisation. Canevas= synopsis = Ebauche, bref schéma d'un scénario  Quelle différence alors

Donc, de plus en plus de vraies tragédies d’inspiration grecque vont être jouées à Rome. Il s’agit en fait de plagiat, même si les romains conservent des caractères latins, dont les personnages :  Maccus : l’imbécile  Dossemus : le bossu  Pappus : le vieux. En 240 av. JC sont écrites les premières vraies pièces à texte. Les deux premières jouées sont une tragédie, suivie d’une comédie de l’auteur latin Livius Andronicus, qui s’inspira lui aussi des grecs. Les tragédies sont toujours

compromettre. Les intrigues tournent autour de quelques personnages fixes : • Maccus : paysan maladroit, sot et gourmand, avec une tête énorme et une grosse bosse, • Bucco : bavard impertinent et vaniteux, avec les joues gonflées et de grosses lèvres • Pappus : vieux, avare et libidineux • Dossennus : savant bossu L'atellane était souvent donnée après les tragédies pour terminer sur un sujet plus gai. Elle sera à l'origine de la commedia dell'arte. Le mime Apparu au premier siècle avant notre ère