Paradoxe sur le comédien

« trois et deux font cinq ») => Argan est seul dans sa chambre, fait ses comptes d’apothicaire en dialoguant avec un absent. Présence des guillemets visible pour le lecteur , le spectateur doit les «  entendre » grâce au jeu du comédien. => folie du personnage => monologue paradoxal Deux voix : les éléments de la facture d’apothicaire sont cités et commentés par Argan, l’alternance des pronoms personnels «  je » , « me » et l’apostrophe au destinataire invisible

une lingère. Ses principales œuvres 1749-Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient(essai) 1769-Le Rêve de d’Alembert(essai) 1777-Le Neveu de Rameau(roman) 1765-78-Jacques le Fataliste(roman) 1751-72-L’Encyclopédie 1773-Le Paradoxe sur le comédien(essai)

autres protagonistes contemporains de l’action, ou même le personnage lui-même. Enfin, les vertus des personnages varient au fil du temps, et de même, ce jugement se réfère à une échelle de valeurs, qui varie elle-même selon les époques. Ainsi ce paradoxe s’articule-t-il au temps, au temps du héros comme au temps du lecteur. Romanesque, romantique, héroïque : le vocabulaire partage la vision de Rostand du héros de roman, qui allie la séduction au talent et au courage. Depuis son invention par

instabilité amoureuse---------- conquête (séduction = guerre remportées)-- Femmes = défis personnels------------------- LIBERTINAGE AMOUREUX Assouvissement du plaisir-------------------- Vis à l’instant présent------------------------- Mais paradoxe: c’est finalement une fuite de lui-même, de ce qu’il est devenu (pauvre noble) On retrouve le portrait de Sg là-dedans: Sg = double antithétique de DJ «Loup-garou» : superstition de Sg Matérialisme de DJ «Sardanapale / Epicure» : vantard (de

ne puis souffrir” , “je ne hais rien tant que les contorsions” → sensibilités l'emportent sur la raison - nbreuses répétitions du mot “coeur” et “âme” v.26 et 53 - coeur personnifié v.70 mots = image de notre ressenti profond - ton affirmé paradoxe “c'est n'estimer rien qu'estimer tt le monde” → surprendre pr faire réfléchir → aphorisme : pst de vérité générale ds une phrase emphatique - modalisations “vs devriez” “on devrait” → met en valeur le devoir moral qui devrait gouverner chq homme

extraits des Mémoires de l’abbé de Choisy habillé en femme JEUDI 21 MARS Session 1 (suite) : Les outils de la recherche - président de séance : Martial Poirson 9h30 Sandrine Dubouilh : Le costume de scène, objet de recherches scénographiques. Le paradoxe d’un objet de scène devenu objet du patrimoine 10h Jacqueline Razgonnikoff : sur la piste du costume : expérience personnelle et plongée dans les archives de la Comédie-Française (XVIIe, XVIIIe, début XIXe siècles) 10h30 PAUSE Session 2A : Anthropologie/ethnologie

Pour émouvoir et toucher le spectateur, il faut qu'il se sente concerné par le spectacle auquel il assiste. 1758 : Le père de famille, autre drame, suivi d'un autre essai sur les théories du théâtre : de la poésie dramatique. dans le Paradoxe du comédien, en 1773, Diderot Explique que le talent de l'acteur consiste à reproduire mécaniquement et sans émotion les gestes du personnages qu'il joue. En aucun cas l'acteur ne doit "vivre" les sentiments du personnage joué. 1760 : Diderot

non verbale que l'art joue (un portrait, le comédien, un chant). C'est encore ce qui caractérise le jugement de goût: il est "sans concept", c'est-à-dire qu'il ne s'agit pas de soumettre le signe de la représentation, quelle qu'elle soit, à une définition qui en délivrerait le sens: un chien qui hurle à la mort nous peine immédiatement, sans qu'il soit besoin de passer par un dictionnaire pour savoir quelle est la signification du cri du chien. Le paradoxe étant qu'on puisse aimer une oeuvre d'art

* Personnage soupçonné de Natalie Sarraute (double soupçon de l’auteur & du lecteur sur le personnage et l’intrigue) * Personnage oblitéré de Beckett (jeux de scène) 4) Vers l’incarnation * Diderot : incarnation insensible (comédien extérieur ne doit pas éprouver les sentiments de son personnage) * Contraire à Stanislavsky II. Evolution du personnage * XVIIème = apparition du roman : critiqué, immoral, non codifié (en prose), aucunes valeurs morales, considéré comme

didascalies internes, intégrées aux propos du personnage. La double énonciation (ou double destination de la parole théâtrale) : Le langage dramatique pose toujours la question du "destinataire" : pour qui, à qui parle-t-on ? Le paradoxe du dialogue théâtral est que chaque comédien parle à deux auditeurs : son interlocuteur sur la scène et le public . La double énonciation rend possible le quiproquo ou la méprise tragique . Un quiproquo (= qui pour qui) : Erreur, méprise qui consiste à prendre une