Parc national du Mont-Tremblant

pour elle un service de table décoré de roses et de myrtes. 12. Jean d'Heurs: un château sur la Meuse où fut reçu Edmond Goncourt, le mercredi 13 juillet 1881. Il s'agit ici d'une référence plus explicite que les autres au Journal, Imprimerie nationale, 1956, XII, 123. Léoville: cru de bordeaux, dont les Verdurin semblent avoir acheté quelques bouteilles à la vente du comte de Montalivet (1801-1880), ancien ministre de Louis-Philippe. Les dates concordent, et Montalivet est cité dans le Journal

descendre de son âne avec des yeux scandalisés. Quelques bourgeois riaient autour de lui. – Monsieur le maire, dit l’évêque, et messieurs les bourgeois, je vois ce qui vous scandalise ; vous trouvez que c’est bien de l’orgueil à un pauvre prêtre de monter une monture qui a été celle de Jésus-Christ. Je l’ai fait par nécessité, je vous assure, non par vanité. Dans ses tournées, il était indulgent et doux, et prêchait moins qu’il ne causait. Il ne mettait aucune vertu sur un plateau inaccessible

descendre de son âne avec des yeux scandalisés. Quelques bourgeois riaient autour de lui. – Monsieur le maire, dit l’évêque, et messieurs les bourgeois, je vois ce qui vous scandalise ; vous trouvez que c’est bien de l’orgueil à un pauvre prêtre de monter une monture qui a été celle de Jésus-Christ. Je l’ai fait par nécessité, je vous assure, non par vanité. Dans ses tournées, il était indulgent et doux, et prêchait moins qu’il ne causait. Il ne mettait aucune vertu sur un plateau inaccessible. Il

l’inconnue aux yeux verts, rencontrée, l’après-midi, dans la pâtisserie du boulevard Haussmann. La tragédie prenait fin. Les deux complices se sauvèrent. Raoul, frappé de stupeur, assista sans un mot au long et pénible manège du contrôleur qui réussit à monter sur la banquette et à tirer le signal d’alarme. L’Anglaise agonisait. Dans un dernier soupir, elle balbutia encore des mots incohérents : – Pour l’amour de Dieu… écoutez-moi… il faut prendre… il faut prendre… – Quoi ? je vous promets… – Pour l’amour

marquis de Sade, existé, avait sur la (1) Ce conte cet esprit le plus libre qui ait encore femme des inédit est intitulé de Longueville. (Manuscrit de : la idées particulières et la voulait La femme ven^^ée ou la Châlelaîne Hibliolhèque nationale.) 2 l'œuvre du marquis de SADE J8 que l'homme. Ces idées, que l'on dégagera quelque Justine et jour, ont donné naissance à un double roman Julielle. Ce n'est pas au hasard que le marquis a choisi des aussi libre : héroïnes et non pas des héros

naturellement, le reproche amical nous a été fait de manquer de cet esprit logique que l’on attribue au Français. La revue n’aurait-elle pas dû, en effet, s’interroger d’abord sur l’existence de littératures nationales avant d’entreprendre de les décrire ?4 La constitution des littératures nationales en Afrique a donc été, aussi, il faut le rappeler sans cesse, une politique française. Mon expérience personnelle ultérieure de l’Afrique me l’a largement confirmé… Mais on peut faire une dernière remarque

communication possible à ses yeux d'enfant, le narrateur constate : « Mais c’est surtout comme à des gisements profonds de mon sol mental […] que je dois penser au côté de Méséglise et au côté de Guermantes. » En allant du « côté de chez Swann », près du « parc de M. Swann », ils sentaient « l’odeur de ses lilas ». Puis ils passaient par un chemin bordé d’une haie d'aubépines qui, pour le narrateur, « formait comme une suite de chapelles qui disparaissaient sous la jonchée de leurs fleurs amoncelées en reposoir »

homme vêtu d’un uniforme bleu et jaune criard, en plasto-textile imputrescible, s’empara de ses deux valises. « Direct pour le Luxor », dit-il. L’homme qui suivait toujours Gaal l’entendit. Il entendit aussi Gaal dire : « Très bien », et il le vit monter dans le petit appareil au nez camus. Le taxi s’éleva à la verticale. Gaal regardait par la fenêtre incurvée, en se cramponnant instinctivement à la banquette. La foule sous ses pieds semblait se contracter : on aurait dit maintenant de petits groupes

descendre de son âne avec des yeux scandalisés. Quelques bourgeois riaient autour de lui. – Monsieur le maire, dit l’évêque, et messieurs les bourgeois, je vois ce qui vous scandalise ; vous trouvez que c’est bien de l’orgueil à un pauvre prêtre de monter une monture qui a été celle de Jésus-Christ. Je l’ai fait par nécessité, je vous assure, non par vanité. Dans ses tournées, il était indulgent et doux, et prêchait moins qu’il ne causait. Il ne mettait aucune vertu sur un plateau inaccessible. Il

descendre de son âne avec des yeux scandalisés. Quelques bourgeois riaient autour de lui. – Monsieur le maire, dit l’évêque, et messieurs les bourgeois, je vois ce qui vous scandalise ; vous trouvez que c’est bien de l’orgueil à un pauvre prêtre de monter une monture qui a été celle de Jésus-Christ. Je l’ai fait par nécessité, je vous assure, non par vanité. Dans ses tournées, il était indulgent et doux, et prêchait moins qu’il ne causait. Il ne mettait aucune vertu sur un plateau inaccessible. Il