Paresseux

…………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………… ………………………………………… Je lis le texte. Le paresseux* Presque au sortir de la forêt, j’entends un cri étrange. Je m’arrête. Mon bâton serré dans la main droite, je pénètre dans les taillis. « On dirait un singe... », pense- je. Le cri reprend de plus belle. J’avance prudemment. Dans le creux d’un arbre mort, deux petits yeux me regardent. Je m’accroupis. C’est un jeune paresseux. Son poil est gris et blanc, avec une belle tache rousse sur le dos. Il est

pas de soleil aujourd'hui -Le pauvre Homme a peu d'argent et peu d'amis -Elle est aussi grande que ça mère -C'est la fille la plus jolie que je connaissent -C'est le plus mauvais reste de la ville -Il est de plus en plus paresseux, plus il vieilli plus il est paresseux. -Elle est beaucoup plus jeune que nous -Le dernier Chapitre, Les dernières nouvelles. -Il est le meilleur pianiste qu'elle, c'est le meilleur pianiste que j'ai jamais entendu. -Nous ne pouvons pas allez plus loin sans nous

Montesquieu met en évidence de manière explicite le peu de connaissance dont le lecteur a besoin afin de pouvoir lire des journaux. Il fait allusion à un manque évident de culture. Usbeck découvre donc d’une certaine façon, les livres pour les paresseux, ceux qui auraient l’apathie de lire un ouvrage de trente volumes se résoudraient à lire le journal afin d’en avoir une idée générale. Il y a ici une hyperbole, Montesquieu accentue sa pensée afin de sensibiliser ses lecteurs et de leurs transmettre

vous charmer avec certaines bases du comportement humain. Savez-vous que l’humain est fondamentalement paresseux ? Vous en êtes surpris à ce point ? Selon l’honorable écrivain Marcel Proust, ses réflexions majeures sur l’amour et la jalousie, relié au sentiment de l’échec et du vide nous permet d’entrevoir les ficelles de l’amour. Proust nous dit ceci : « De la pure solitude l’esprit paresseux ne pourrait rien tirer, puisqu’il est incapable de mettre de lui-même en branle son activité créatrice[1]

jeunesse ; Je veux te peindre ta beauté, Où l'enfance s'allie à la maturité. Quand tu vas balayant l'air de ta jupe large, Tu fais l'effet d'un beau vaisseau qui prend le large, Chargé de toile, et va roulant Suivant un rythme doux, et paresseux, et lent. Sur ton cou large et rond, sur tes épaules grasses, Ta tête se pavane avec d'étranges grâces ; D'un air placide et triomphant Tu passes ton chemin, majestueuse enfant. Je veux te raconter, ô molle enchanteresse ! Les diverses

autonome de sa raison. 2. Expliquez pourquoi, selon Kant, il est si facile de laisser les autres penser à notre place. On le sait très bien qu`il est plus commode de laisser les autres de penser a notre place et étant donne que l`homme est très paresseux et très lâche alors celui-ci préfère laisser les autres de penser a sa place et de se charger de cette tache, car il ne veut pas se fatiguer en faisant un usage autonome de sa raison. Dans le deuxième paragraphe, Kant porte un jugement très sévère

phrase injonctive à valeur d’ordre qui marque une fois l’autorité du père et qui marque également la revalorisation du fils avec le terme « animal », on peut parler donc de gradation dans l’attitude méprisante du père envers son fils on passe de « paresseux » à « animal », l’intention du père de lui parler n’est pas vraiment significative, pas habituelle.Nous avons bien dans ces quelques lignes la description d’un monde brutal le père s’impose par la force, les coups et malgré cela Julien transgresse

conquiert une autre récompense, qui est en lui et dépend de lui. Et c'est ce que le paresseux ne peut pas du tout imaginer; car il ne voit que la peine et l'autre récompense; il pèse l'une et l'autre et ne se décide point; mais l'athlète est déjà debout et au travail, soulevé par l'exercice de la veille, et jouissant aussitôt de sa propre volonté et puissance. En sorte qu'il n'y a d'agréable que le travail; mais le paresseux ne sait pas cela et ne peut pas le savoir; ou bien, s'il le sait par ouï-dire

différence, il est évident que leurs logiques diffèrent. Si l’on prend par exemple la question du travail en société, leur philosophie est contradictoire. Rousseau croit que le travail n’est pas bénéfique à l’homme puisqu’à l’état de nature il est paresseux et qu’en société, le travail amène la fin de l’égalité et devient nécessaire. Marx, quand à lui, croit que le travail apporte le bienfait de la production et le développement de lui-même dans sa création. Dans ce travail, je vais me pencher sur la

s'exprime à la fois l'obéissance à la terre et l'obéissance au vent. Ainsi le peuplier participe au flux vagabond et demeure prisonnier de son site. Dans sa verticalité agitée, par sa cime dressée au coeur du tumulte aérien, le peuplier refuse le destin paresseux de la source: le signe de l'altitude en éveil (la «vigie») s'oppose à l'image d'une trouble origine mêlée à l'humus. (La figure de l'arbre dressé dans l'air tumultueux s'apparente à d'autres figures de la liberté: celle, notamment, de la rame dans