Paris-Brest

Guerre franco-allemande, bataille de Mars-la-Tour {draw:a} {draw:a} Gambetta proclamant la République aux Tuileries (4 septembre 1870) L'armée de Bazaine résiste toujours dans Metz assiégée. Paris est également assiégée à partir du 19 septembre. Le 7 octobre Gambetta quitte Paris en ballon pour tenter de réorganiser la défense à partir de la province, ce qui n'est pas facile compte tenu de l'organisation en étoile du territoire à partir de la capitale. La capitulation précipitée de

endroits d’Albi, le musée présente deux parties:) Partie basse, évoquant la famille du navigateur et sa carrière maritime. Une Majeure partie et consacrée au voyage autour du monde décrit étape par étape: les navires et les hommes, les préparatifs, de Brest  a l’île de Pâques. Le musée se distincte en deux partie : une partie basse ou nous pouvons voir des représentations, des vitrines, des objets historique et une partie haute évoquant les navigateurs qui ont précédées Laperouse dans le Pacifique.

mécanisation partout (tracteur). Automobile désenclave les campagnes. La fin des « pays ». ( passage à une autre géographie dominante, fin du règne de la géo régionale des années 30-40. Bruxelles voire Washington commandent, et non plus seulement Paris, sans parler du curé... Mais ne va-t-on pas trop loin ? Décentralisation 1982. Bové, altermondialsime critiquent la mondialisation ; partout les identités se crispent contre homogénéisation, festival de musique celtique de Lorient, etc( auj un certain

françaises mais la vaillante résistance Belge ralentit les allemands de 6 jours (prévisions) à 2 semaines. 3) Armée allemande marche en direction du nord afin d’encercler Paris. Ils pensaient attaquer le gros de l’armée française par l’arrière. 4) Mais, armée russe se déplace plus rapidement que prévu. Galiéli, gouverneur de Paris envoie des soldats à l’aide de taxis sur la Marne  Stabilisation du front français. Le plan final était d'avoir un front défensif contre les Russes avec 10 % des effectifs

tout le monde de nos jours semble d'accord.Par son ampleur (22 concurrents), sa distance (1200km non stop), son retentissement et finalement son succès, le Paris-Bordeaux-Paris mis sur pied à la mi-juin 1895 constitue et constituera toujours la plus authentique des Grandes Premières. Certes moins d'un an plus tôt, le non moins célèbre Paris-Rouen avait sans doute déjà fait officede répétition. Patronée par Le Petit Journal, à l'initiative de M.Pierre Giffard, son très entreprenant rédacteur en chef

rapides dans le but de vaincre rapidement l'adversaire.  1914, la première guerre de mouvement. Les débuts de la guerre sont plutôt difficiles pour la France et ses alliés : En quelques semaines, les armées allemandes sont à moins de 50km de Paris. 1914, la première guerre de mouvement. In-extremis, le général Joffre, repousse l'ennemi, lors de la Bataille de la Marne de septembre 1914. 1914, la première guerre de mouvement In-extremis, le général Joffre, repousse l'ennemi, lors de

DIMANCHE DE FIANCAILLES FICHE DE TRAVAIL Militaires : Daniel Esperanza Célestin Poux Favourier (Parle-Mal) Benjamin Gordes (Biscotte) Nom : Bouquet Prénom : Kléber Surnom : Bastoche Numéro matricule : 2124 Ville/région d’origine : Paris Métier antérieur : menuisier Nom de sa femme/fiancée : Véronique Passavant Enfant(s) : non Signe particulier : surnommé l’Eskimo, est allé en Amérique du Nord, le plus âgé des soldats Nom : Gaignard Prénom : Francis Surnom : Six-Sous Numéro

dans les cercles littéraires parisiens Il a déjà signé sous le demi-pseudonyme d’Alain parisiens. pseudonyme d’AlainFournier quelques essais prometteurs dans la Grande Revue et dans L’Occident et a tenu pendant deux ans « Le Courrier littéraire » de Paris-Journal. Son roman, bien accueilli par la presse fait même presse, figure de favori pour le Prix Goncourt Mais, après dix tours de scrutin, Alain-Fournier et Léon Werth Goncourt. Fournier sont toujours à égalité et le jury, ne pouvant les départager

ce qui accentue la morosité générale. Au printemps 1917 cette morosité passe subitement au refus catégorique d’aller à l’assaut : la désobéissance gagne rapidement les deux tiers des divisions françaises et certains soldats tentent même d’aller à Paris rencontrer les députés pour les informer de leur sort. Les mutineries On parle bien souvent des mutineries de 1917 mais il ne faut pas donner à son sens une expression trop forte. Les soldats français ne refusent pas la guerre mais un certain

noblesse et de pureté morale autant que d’endurance et d’énergie physique, à condition que la conception de l’honneur et du désintéressement sportifs soient élevés à la hauteur de l’élan musculaire » (P.De Coubertin, discours pour la rénovation des JO, Paris, Sorbonne, 1896) « Cet amateur dont je cherche à esquisser rapidement les traits n’existe en France qu’à l’état embryonnaire. On le rencontre en Amérique, en Angleterre, en Angleterre surtout dans les rangs de cette bourgeoisie largement ouverte et