Paris Une Ville Personnage

de Montmartre " - véritable emplacement des lieux cités par Saccard : la Madeleine, les Tuileries, la colonne Vendôme - les personnages sont situés dans la pièce : " table placée devant une des fenêtres " II - La vision de Paris Paris est comparé à un océan : - réseau lexical du comparant : " flots ", "bleuâtre", "lac", "fonds", "rive" - immensité de Paris fait penser à un océan. Immensité et multitude et traduite par "océan de toits bleuâtres", "pareil à des flots pressés", "emplissent

Paris par la fenêtre Introduction : présentation du tableau L’artiste : Marc Chagall est né le 7 juillet 1887 à Vitebsk en Biélorussie, appartenant alors à la Russie. Il est issus d'une famille juive . En juillet 1937 il acquière alors la nationalité française pour fuir l'antisémitisme naissant en Europe centrale. Après ses études à l'école des beaux arts il commence a travailler dans des ateliers . En 1910 il part pour Paris et est alors témoins de mouvement naissant tel que le fauvisme et

magistral L2S2 année universitaire 2019-2020Philippe Boutry, Éric Fournier, Vincent RobertLe Paris de Balzac et de Zola1 – Paris, capitale du XIXe siècle, et ses écrivainsCentre Pierre Mendès-France, Amphi N, Mardi 21 janvier 2020, 17h – 19hIntroduction générale Le XIXe siècle : une lacune dans la formation ; un chaînon manquant ; un siècle – laboratoire. Paris : ville capitale, ville en mutation, ville musée, votre ville : une appropriation. Sous le signe des écrivains : Balzac et Zola ; Dumas, Sue, Hugo

L’écrivain, auteur de sa ville Espaces et territoires dans les romans de Jean François Vilar Introduction “ La ville est l’espace de nos amours, de nos révoltes et de nos rêves. Traversant la ville, c’est notre passé que nous arpentons - et le sien : les siècles qui se sont déposés là, sédimentés, aux façades des bâtiments, aux carrefours des rues, aux creux des pavés .” C’est par ces quelques mots que Thierry Cécille présente l’ouvrage d’Eric Hazan, L’invention de Paris, sous-titré, il n’y a

embarras de Paris », 1660 – (extrait, orthographe modernisée) Structure du texte : v. 1 à 27 : plainte du poète face aux bruits entendus de chez lui. v. 28 à 42 : Le poète tente de se frayer un passage à travers les rues parisiennes. v. 43 à 70 : description d’un accident conduisant à un embouteillage. Caractéristiques de l’extrait : Poème en alexandrins, rimes suivies. Blâme de la vie parisienne. Registres satirique et lyrique. Introduction Amorce : 17ème, ville de Paris voit exploser

continuer sur la narration juste après le pronom « je » est utilisé ce qui prouve une nouvelle fois que le narrateur est interne. Ensuite après on peut voir le groupe de mots « homme de la ville » qui est une périphrase qui donne un indice sur ce qu’a fait le narrateur auparavant. On apprend qu’il était hors de la ville un certain moment. Sur la ligne qui suit on a une personnification des livres avec la citation suivante « Mes mains qui les aimaient avec ses livres qui m’ont nourri ». Les livres sont

en 1869 de Gustave Flaubert qui était un auteur réaliste du 19e siècles. Cet incipit parle du héro Frédéric Moreau quittant Paris en bateau. L’objet de l’étude étant le personnage du roman du 19e siècles, comment Flaubert construit-il cet incipit ? Dans une première partie, l’entrée en scène du personnage avec l’exposition du cadre spatio temporel, l’exposition du personnage et la création de l’effet d’attente, en une seconde partie la description se voulant réaliste, par son cadre moderne, son gout

nous verrons comment Maupassant raconte l’ascension sociale d’un jeune homme à Paris. Nous étudierons dans un premier temps, ce début de roman réaliste qui présente un « milieu » situé dans l’espace et le temps. Puis dans un second temps nous verrons la présentation du personnage et l’annonce de ses aventures. L’incipit du roman est dit « in media res », c'est-à-dire, le commencement d’un texte quand les personnages sont déjà en action. En effet ici, la 1ère phrase nous dit qu’une caissière rend

|Le Paris souterrain dans la littérature  | |Introduction | |Entre fantaisie et vérité : le paradoxe du souterrain | |L'imaginaire du souterrain

présente l’image romantique d’un bateau en partance. Mais le voyage n’est ici que le retour de Frédéric dans sa ville natale, Nogent-sur-Seine. Portrait d’un jeune homme romantique, cette page est aussi teintée par l’ironie du narrateur. Analyse linéaire L’effervescence du départ (« Le 15 septembre » à « sans discontinuer ») « Le 15 septembre 1840, vers six heures du matin, la Ville-de-Montereau, près de partir, fumait à gros tourbillons devant le quai Saint-Bernard » - Point de vue adopté égal