Paris Une Ville Personnage

roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Le sujet comprend : Texte A : Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. Texte B : Emile Zola, L’Assommoir, 1877. Texte C : Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Texte D : Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. Vous pouvez télécharger le sujet complet (séries Techno) ainsi que les textes du corpus ici. QUESTIONS 1) Ces descriptions mettent-elles en valeur les mêmes aspects de la ville ? Justifiez

la réaction des trois personnages à leur arrivée à Paris. On peut tout de suite imaginer que l’auteur s’appuiera sur des descriptions précises afin de mettre en valeurs ces réactions (caractéristique du naturalisme). Dans quelles mesures le choc des personnages crée une peur de l’inconnu dans cette immense ville et leur fait perdre de vue leur objectif qui est de rejoindre leur oncle ? Premièrement on va expliquer le choc ressenti par les personnages à leur arrivée à Paris, on évoquera par la suite

représenter le réel dans son exacte vérité et ainsi représenter la société à travers des personnages issus d’une classe sociale basse. Le réalisme est caractérisé par 3 éléments : la représentation exacte du réel, l’anti-héros : le personnage est médiocre ainsi que l’effacement du narrateur derrière le personnage. A la différence du réalisme, le naturalisme observe une démarche scientifique. En effet, les personnages ne sont que des bonshommes physiologiques qui ne sont pas caractérisés comme des humains

vie débauchée du Paris du Second Empire. L’auteur qui s’inscrit dans le courant du naturalisme qui est une prolongation du réalisme offre une analyse psychologique et une étude des mœurs de l’époque. Dans l’extrait du chapitre VII à la fin du roman, Émile Zola illustre l’état de Renée par la description de l’hôtel Béraud et de la chambre des enfants. Nous verrons à travers la description de la chambre des enfants et du jardin, la vue par la fenêtre et par ses souvenirs de la ville Tout d’abord

satire cette société. Nous sommes ici dans le chapitre I qui marque une rupture temporelle avec les chapitre suivants : le repas se passe en octobre 1862 et c’est une scène brève. Chapitre d’exposition travaillé pour être séduisant, présentation des personnages. Dès le premier chapitre, on est dans le second empire avec un lieu qui le symbolise : le bois de Boulogne. Plan : linéaire I. « Cependant les convives … ciselé » - Mouvement descriptif avec progression à thème éclaté. Repas « ne mangeaient plus

ZOLA-LA CUREE, SACQUART REGARDE PARIS DE MONTMARTRE Chapitre 2 : « Deux mois avant […] il pleut des pièces de vingt francs dans Paris » p112 Chapitre 2. Analepse = retour en arrière. Aristide Rougon n’est pas encore Sacquart. Extrait qui survient après la mort d’Angèle. Zola veut montrer un Aristide qui rêve du spectacle de Paris vu de Montmartre. Jeune homme qui a faim de richesse. Comparé au « Père Goriot » de Balzac et du personnage de Rastignac. S’agit à la fois d’un portrait de Sacquart

QUESTIONS 1. Le texte de Flaubert décrit Paris au XIXème siècle. Plusieurs aspects de la ville sont mis en valeur. D’abord, il s’agit des personnes qui vivent dans ce milieu urbain. On trouve des travailleurs « les balayeurs » (l.3), des « marchands de vin » (l.11), «les « décrotteurs » (l.11) les épiciers » (l.12) et également des passants « des femmes » (l.13), la « foule » (l.15). Ensuite, les véhicules de plus en plus nombreux dans le Paris de l’époque sont décrits. Le vocabulaire utilisé

DE PUBLICITE : Analyse pour la marque Lou Paris : « Paris est à LOU » http://www.marieclaire.fr/,ensemble-lingerie-lou-printemps-ete-2011,20252,366468,12 1. LE FORMAT : Les couleurs utilisées dans cette publicité sont principalement des couleurs pales tel le blanc et le bleu ciel ce qui peu évoquer la pureté ou la sagesse, mais on peu discerner également du beige foncé, seule couleur imposante ici (si ce n’est les décors comme la ville, mais qui reste secondaire ici), en effet elle

il contemple la ville de Paris dans un restaurant aux « fenêtres ouvertes ». Zola, à travers la descriptions subjective de Paris, nous montre, à travers le regard visionnaire de Saccard, la menace qui guette la ville, car le héros dévoile progressivement les différents traits de sa personnalité au cours du passage. Quelles visions de Paris et quel portrait de Saccard se dégagent du passage ? Nous commencerons par analyser la description réaliste qui est donnée de cette ville, puis de la transfiguration

marchent dans les villes », est un recueil de dix récits courts. Chaque récit correspond à une ville d’Europe, le lecteur peut alors découvrir neuf villes connues (Lisbonne, Rome, Bruxelles, Marseille, Prague, Londres, Oviedo, Séville et Paris), ainsi qu’une ville imaginaire, Portosera, que l’auteur situe entre la frontière de la France et de l’Italie. Ces dix histoires caractérisent l’âme de la ville à laquelle elles correspondent, toutes ces histoires se déroulent au même moment, lors d’un été