Parjure

multiplier les promesses sont rarement fiables, et sans doute en ont-ils conscience car ils les assortissent volontiers d’apparences de garantie en jurant sur ce qu’ils ont de plus cher : « sur la tête de ma mère » entend-on dire souvent par de jeunes parjures potentiels ! Nietzsche n’hésite pas à dire son mépris pour les « misérables roquets qui promettent alors que la promesse n’est pas de leur domaine » : la responsabilité est une affaire d’honneur qui leur est étrangère. IMPORTANCE ANTHROPOLOGIQUE

moi qui vous le dis, Rutebeuf, qui n'eut jamais un âne, ni un bœuf. 4 • Le dit du buffet Je vais vous raconter un fabliau dont j’entendis parler dans la demeure d’un Comte. Ce fabliau met en scène un Sénéchal. Ce dernier est traître, lâche, parjure et emplis des pires vices. Sachez qu’il était tellement empli de méchanceté qu’il n’était guère aimé par ceux qui venaient au château lorsqu’il advenait quelque ennui. Ce méchant homme, comme un porc, s’engraissait, s’emplissait la panse en buvant

pour moi dans cette lettre, que demeurant suspendu quelque temps entre la colère et la douleur, j’entrepris de faire un effort pour oublier éternellement mon ingrate et parjure maîtresse. Je jetai les yeux sur la fille qui était devant moi : elle était très jolie et j’aurais souhaité qu’elle l’eût été assez pour me rendre parjure et infidèle à mon tour. Mais je n’y trouvais point ces yeux fins et languissants, ce port divin, enfin ce fonds inépuisable de charmes que la nature avait prodigués à

criminel coupable de parjure et d'incendiat, il y a tout de même une marge»29. Il est vrai que l'affirmation enonée résultait d'une méprise de la part de l'assuré. Mais cet énoncé de la Cour suprême nous paraît pouvoir s'appliquer même dans le cas d'un parjure. Pensons à l'assuré qui, avant l'incendie, a menti à ses créanciers sur l'état de ses finances. Si lors du proces contre l'assureur-incendie, il nie ce mensonge antérieur, cela n'en fait pas pour autant un incendiaire: son parjure peut autant s'expliquer

des moines qui l’habiter et de la sainteté du lieu. Elle se dirigea donc sans hésitation et fut reçu comme il se doit par l’un des quatre moines qui l’habitait. Ils s’avéreront être une bande de quatre moines débauchés qui s’adonner au blasphème, parjure, et autres libertinages avec des filles qu’ils capturent, enferment et libèrent après des années de sévices sexuelles. C’est en ce lieu que Justine perdu sa virginité mais garda toute son innocence et sa candeur lorsqu’elle fut libéré. Elle ère à

Pontificalis étant la chronique officielle de la papauté depuis le VIème siècle : ce n’est pas dans l’intérêt de celle-ci de rappeler l’émeute du 25 avril 799 qui a sali le prestige pontifical. Elle va même désigner celui contre lequel les accusations de parjure et d’adultère n’avaient pas cessé : « le vénérable et bienfaisant pontife » (ligne 1). Quant à la cérémonie, selon les Annales royales, il semblerait que Charlemagne ne s’attendait pas à être couronné empereur puisque, je cite : « tandis que le roi

prêté sur la Bible (aspect religieux), parfois sur les évangiles ou sur la relique de saint, autrement dit, c’est un rituel qui a un caractère chrétien. Cela veut dire que le vassal qui ne respecterait pas le contenu du serment serait considéré comme parjure et il serait passible de peines ecclésiastiques (mis hors de l’Eglise, frappé d’excommunication). Ce sont des rituels invariables et obligatoires, deux éléments inséparables de l’entrée en vassalité et on désigne souvent ce rituel par foi et

savoir que tous les Franc-Maçons voleront à son secours au moment du danger ; mais que les épées tournées vers lui annoncent qu’il n’échappera pas à la vengeance de tous les Frères répandus sur la surface du globe, qui ont juré de punir le parjure, s’il trahit son Serment. Il n’y a donc pas de place à l’appréciation dans tout ce qu’on entreprend, surtout en franc maçonnerie. Un proverbe chinois dit « L'œil le plus sûr ne vaut pas une règle. ». Quand le V.M. demande aux frères de se tourner

venais, en tremblant, vous le dire à vous−même. Hé quoi ! de votre erreur rien ne vous peut tirer ? Par quel affreux serment faut−il vous rassurer ? Que la terre, le ciel, que toute la nature... THESEE Toujours les scélérats ont recours au parjure. Cesse, cesse, et m'épargne un importun discours, Si ta fausse vertu n'a point d'autre secours. HIPPOLYTE Elle vous paraît fausse et pleine d'artifice Phèdre au fond de son coeur me rend plus de justice. THESEE Ah ! que ton impudence excite

Que disaient nos marins lui demandant raison De sa tyrannie éternelle, Quand leurs deux poings fermés menaçaient l’horizon ? Que murmuraient les vents quand ils me parlaient d’elle ? Ennemie implacable, alliée infidèle ! On citait ses serments de parjures suivis, Les trésors du commerce en pleine paix ravis, Aussi bien que sa foi sa cruauté punique : Témoin ces prisonniers ensevelis vingt ans, Et vingt ans dévorés dans des cachots flottants Par la liberté britannique ! Plus tard, un autre prisonnier