Parlementarisme Rationnelle

pour effet la multiplication des fraudes électorales comme ce fut le cas en Angleterre. A la suite de ce vote il y a le vote d’allégeance. Il se développe avec l’introduction du suffrage universel masculin. L’idée est que le vote n’est pas un choix rationnel mais est dicté par le groupe auquel on appartient. Cela peut être par rapport à la famille, à la religion, à un territoire, la norme sociale… le vote est liée à une identité communautaire. 2°) le vote autonome ou vote de conviction : recherche d’un

tous ceux qui prônent la rénovation de l'organisation sociale dans une perspective de justice sociale : ce sont aussi bien les marxistes, que les anarchistes. Ces courants sont opposés sur des sujets fondamentaux (pour ou contre l’État, pour le parlementarisme ou la démocratie directe, etc.). La recherche permanente du collectif, cette emphase sur la solidarité par opposition à l'individualisme, reste des éléments fondamentaux encore aujourd'hui. Pierre Leroux revendique son « invention », qu'il définit

théories et paradigmes. Exemples : Tous les travaux montrent une corrélation entre le niveau de diplôme et le métier des parents. Le problème est d’interpréter. Un certain nombre de sociologue sont partisans de la théorie du choix rationnel, c’est un homo economicus. Des parents se disent donc que ça ne sert pas forcement d’investir dans les études des enfants D’autres diront que ces intérêts sont tout le temps socialement constitués pcq l’individu est un être social. On peut mettre

fermeté, d’autorité, elle s’exprime par l’arrivée au pvr de pers forte qui s’impose par leur charisme ce qui pourra mobiliser les énergies. En Gb il y a George en FR il y a Clémenceau qui pdt du conseil à partir de 1917, il y a une rupture du parlementarisme avec ces deux hommes, ils matent tt tentatives de révolte de mutinerie de grève ds les usines. Il s’agit aussi d’une politique de soutient, il pourchasse les pacifistes, il fait pression sur la presse pr une imagine conforme à ses attentes, il

être abrogé. Mais à quoi s'attache l'autorité de chose jugé? L'autorité s'attache aux dispositifs et au motifs qui sont nécessaire aux dispositifs et qui fonde la «ratio decidenti» (la raison profonde de la décision, ce qui fonde le fondement rationnel). B – Les implications des décisions du conseil constitutionnel Les décisions du conseil constitutionnel vis en premier chef les pouvoirs public c a d le président de la république, le parlement, le gouvernement. Par ailleurs, les décisions

-   L’omnipotence (toute puissance, pouvoir absolue), les excès de pouvoir du Parlement. Le constat d’un parlement doté de tous les pouvoirs, mais tiraillé par des distensions internes telles qu’il était impuissant. Il fallait rationaliser le parlementarisme : réduire les pouvoirs du Parlement -   Mettre un terme à l’influence et aux moeurs, aux magouilles partisanes : régime exclusif des partis. Il fallait à cette fin une loi électorale : le système majoritaire : qui permet de dégager des majorités

- A S. Individualisé et très différencié - principauté (ex : Médicis) - A S. Institution et réseaux clientèles - Autorité spécialisé mais relations féodales - A S. Institution administrée et hiérarchisé - Domination rationnelle à la Weber (Athènes) L’état n’est pas la forme la plus complexe ni l’aboutissement d’un sens de l’Histoire. L’anthropologie politique nous montre une extrême diversité du politique. Elle permet de dessiner un spectre avec certaines sociétés

 provoquant un phénomène  politique  majeur :  le  rejet  d’une  Europe  abstraite  et  sans  frontières. Même si cela peut paraître plus curieux, le même phénomène de libération existe dans le monde scientifique. Car  celui-ci n’est évidemment pas aussi rationnel que les profanes l’imaginent : il est traversé par les luttes de pouvoir et  les grosses institutions y sont pesantes. Quant aux revues  scientifiques,  même  de  haut  niveau,  même  spécialisées,  elles n’échappent pas à la loi commune des méd

plusieurs courants socialistes pré-marxistes et à la grande tradition de l'humanisme occidental. Mais c'est elle aussi qui lui permet de valoriser la notion psychologique de tension dans laquelle il voit tout à la fois la meilleure systématisation rationnelle des relations existant entre ce qui est et ce qui devrait être, et le gage de tout progrès moral tant individuel que social. Par conséquent, c'est elle encore qui l'amène à proposer une explication psychologique originale de tout ce qui, dans le

impératif ("tu dois") tel qu'il puisse être érigé en règle universelle. Dieu, la liberté de la volonté et l'immortalité de l'âme ne sont pas du domaine de la connaissance, mais des postulats nécessaires à la raison pratique en tant qu'exigence rationnelle de la morale. Pour le philosophe allemand, l'existence de Dieu est donc une nécessité morale. Sa morale, cependant, ne se fonde pas sur la religion mais sur l'autonomie de la volonté. Kant aborde également dans "Critique de la faculté de juger"