Parloir

lorsqu’on l’apprend de quelque autre, que lorsqu’on l’invente soi-même. Ce qui est si véritable en cette matière, que, bien que j’aie souvent expliqué quelques unes de mes opinions à des personnes de très bon esprit, et qui, pendant que je leur parlois, sembloient les entendre fort distinctement, toutefois, lorsqu’ils les ont redites, j’ai remarqué qu’ils les ont changées presque toujours en telle sorte que je ne les pouvois plus avouer pour miennes. A l’occasion de quoi je suis bien aise de

dans cette procédurelà au-delà du présent entretien, on verra, et je lui demande ce qu'on fiche là, en lui indiquant que l'OPJ m'a parlé de "viols aggravés sur ses enfants", sans me donner de détails ; je ne comprends pas, où alors ils le voient au parloir, et ..? Il m'assure qu'il comprend mes réserves, et qu'il ne me mentira plus jamais, si je veux bien rester son avocat. Et il m'explique que je n'y suis pas du tout, et que cette affaire, c'est ça : "J'étais très seul, Maître, à l'époque que vous

DORANTE Tournez-vous. Cela est tout à fait galant.   MADAME JOURDAIN Oui, aussi sot par derrière que par devant.   DORANTE Ma foi ! Monsieur Jourdain, j’avois une impatience étrange de vous voir. Vous êtes l’homme du monde que j’estime le plus, et je parlois de vous encore ce matin dans la chambre du Roi.   MONSIEUR JOURDAIN Vous me faites beaucoup d’honneur, Monsieur. (À Madame Jourdain.) Dans la chambre du Roi !   DORANTE Allons, mettez…   MONSIEUR JOURDAIN Monsieur, je sais le respect que je vous dois

premier une petite pièce où je puisse me retirer et recevoir mes visites ; gênant surtout lorsque je veux parler à l’un des miens en particulier, sans pourtant donner à l’entretien une allure trop solennelle comme il adviendrait dans cette sorte de parloir que les enfants appellent en plaisantant : le Lieu saint, où il leur est défendu d’entrer ; mais ce même matin Jacques était parti pour Neuchâtel, où il devait acheter ses chaussures d’excursionniste, et, comme il faisait très beau, les enfants, après

février 1956, les deux commissaires se déplacent à la prison de Nîmes pour entendre le détenu Jean-Baptiste Bossa. Celui-ci leur fait savoir que, détenu à la prison Saint-Charles de Digne en même temps que Gustave, il a surpris sous la fenêtre du parloir les conversations d'Yvette et de son mari. Il leur rapporte que ces conversations mettent directement en cause Gustave dans le déroulement de l'assassinat des Drummond. Le 25 février 1956, le commissaire Chenevier remet son rapport final au préfet

premier une petite pièce où je puisse me retirer et recevoir mes visites ; gênant surtout lorsque je veux parler à l’un des miens en particulier, sans pourtant donner à l’entretien une allure trop solennelle comme il adviendrait dans cette sorte de parloir que les enfants appellent en plaisantant : le Lieu saint, où il leur est défendu d’entrer ; mais ce même matin Jacques était parti pour Neuchâtel, où il devait acheter ses chaussures d’excursionniste, et, – 39 – comme il faisait très beau, les

arrêt du 12 mars 203, Max Frero, prisonnier qui faisait partie de la mouvance action directe, c’était l’un des derniers a être encore en prison. Il a suscité un nombre de recours devant le CE, et même devant la CEDH. En 2003 FRERO va au parloir et en revenant du parloir, on veut lui faire une fouille. Il refuse. Le directeur de la prison le met en placement de cellule disciplinaire en attendant la réunion de discipline interne, qui va lui infliger quelques jours une cellule disciplinaire. FRERO fait

derniers, de communiquer avec leurs familles à travers les moyens de communication mis à leur disposition par l’établissement pénitentiaire conformément au décret exécutif n°05-430 du 8 novembre 2005; • • • l’instauration au profit des détenus du parloir rapproché sans isoloir pour motifs légitimes; accord du droit de visite des détenus aux associations humanitaires et caritatives pour raisons humanitaires et éducatives; l’obligation de veiller au respect de la dignité humaine des détenus et d’améliorer

a tracé alentour des avenues plus larges, planté des allées de jeunes acacias, entrepris mille choses, tout comme si une ère de paix définitive était commencée, les persécutions à jamais finies. Pendant que je suis à causer avec l’évêque, dans le parloir blanc, le maréchal arrive. Il reparle de l’incendie de son palais, naturellement, et, avec sa délicate courtoisie, il veut bien nous dire que, de tous les souvenirs perdus par lui dans le désastre, ce qu’il regrette le plus, c’est sa croix française

premier une petite pièce où je puisse me retirer et recevoir mes visites ; gênant surtout lorsque je veux parler à l’un des miens en particulier, sans pourtant donner à l’entretien une allure trop solennelle comme il adviendrait dans cette sorte de parloir que les enfants appellent en plaisantant : le Lieu saint, où il leur est défendu d’entrer ; mais ce même matin Jacques était parti pour Neuchâtel, où il devait acheter ses chaussures d’excursionniste, et, – 39 – comme il faisait très beau