Paroles De Detenus

1933, parfois dans des lieux improbables, plus ou moins provisoires. Ils sont dirigés par les SA ou la naissante Gestapo. Leur règlement intérieur est inspiré des prisons. Ces camps fermeront entre fin 1933 et 1934, ou seront réaffectés à d’autres détenus (Droit Commun), avant de connaître des destins divers : camps de prisonniers de guerre, puis réattribués à de grands camps de concentration, qui y installent des Kommandos. Les camps qui restent des camps de concentration sont alors soumis au règlement

rendent la Justice «assis». Lors des procès, ils conduisent les débats du tribunal et de la cour. Ils tranchent les conflits et jugent les personnes soupçonnées d’une infraction, en toute indépendance et impartialité.- Les magistrats debout prennent la parole debout, lors des procès. Ils ne jugent pas. En revanche ils représentent et défendent les intérêts de la société pour que l’ordre public soit respecté. Lors d’un procès, ils réclament l’application de la loi au nom de la société.Pour devenir magistrat

film montre l’impossibilité de témoigner de la Shoah après la guerre, le refus de la société d’entendre les témoins. Comment Simone Veil a-t-elle vécu cette situation ?Question 5 : Comment Simone Veil a-t-elle décidé de prendre la parole sur ce sujet ? Qu’est-ce que sa parole avait de particulier ? Comment a-t-elle œuvré ensuite pour la mémoire de la Shoah ?Question 6 : Quelles ont été les causes que Simone Veil à chercher à défendre tout au long de sa vie ? De quelle manière l’a-t-elle fait ? Vous trouverez

mort. Jérémy Martinez et ça famille Le Monde (2008) Nous estimons qu’il y a beaucoup de détenus dans une cellule et que les agents, les gardes ne se préoccupe pas de l’avis d’alerte qui est donné par des proches. Voici un autre document celui-ci est tiré du magazine Les inrockuptibles « La schnouf, incontournable au gnouf » Nous avons pris ce document car il nous montre l’état d’esprit des détenus et qu’est ce qu’il se passe a l’interieur de la prison. Nous pouvons retenir une phrase :

travaille le jour dans un atelier et passe la nuit en cellule. Par la force de son caractère, C.G. devient le chef des détenus. Les gardiens sont jaloux de cette autorité et se mettent à le détester. Le directeur des ateliers est un homme très froid et très têtu. Lui aussi se met à haïr Claude Gueux. Celui-ci n'arrive pas à calmer son appétit avec la ration de la prison. Un autre détenu, Albin, partage la sienne avec lui. Entre les deux hommes, se noue une amitié qui leur rend la vie supportable. Un

Dans le sens normal du mot, c'est ça ." Présentation du texte : Le poème de Levi se trouve "sur le seuil", comme l'inscription "Arbeit macht frei" (Le travail rend libre) accueillait les détenus à l'entrée du camp. Problématique : comment P. Levi devient-il le porte-parole des déportés ?(ou En quoi ce shema mène-t-il au devoir de mémoire ?)Annonce du planI NÉGATION DE L’HUMANITÉ1/ Réalisme de la description Le langage que souhaite Levi, c'est un langage qui soit au plus près de

 La musique dans les camps Les nazis permettent aux détenus de jouer de la musique dans les camps. Malgré l’interdiction ou le peu de moyen, beaucoup de musique a été composée, souvent dans des conditions épouvantables, de 1933 (apparition de Dachau) à 1945 (fin du régime nazi). Un juif italien, Francesco Lotoro essaie de réunir ces différentes compositions. Il en possède aujourd’hui 4000 et voudrait en 2012 les assembler en 32 disques. Les nazis ne détestaient pas toute la musique, mais

totale des detenus (enumeration) procédé d'insistance > "et meme nos cheveux" > intrégrité phy des personnes est detruire perdre toute possesion c'est se perdre soit même. Le corps mis a nu > desir d'humiliation, il interpelle le lecteur a plusieur reprises pour qu'il ait conscience de l'humiliation. PL souhaite etre compris, entendu. Desir de comprendre ce qu'est un homme dans des conditiosn extreme, perte de la dimension humaine. L'emploi du nous, nous montre que tous les detenus se ressemble

déroule dans la bibliothèque de la prison de Charleston au Massachussets où est incarcéré Malcolm en 1946. Malcom et un détenu Noir sont assis et consultent un dictionnaire. Le détenu  : NOIR : dépourvu de lumière, dépourvu de couleur, enveloppé d’obscurité d’où tout à fait lugubre ou sinistre. Exemple : l’avenir semblait noir. Malcolm : Tu en connais un bout on dirait ! Le détenu : Souillé de crasse, infect, renfrogné, hostile. Un noir présage de mauvais augures. Ignoblement ou scandaleusement cruel

sa sensibilité à sa pendaison. Le détenu exprime ses sentiments: « quand [il] voit au-dessus des têtes ces deux bras rouges, avec leur triangle noir au [...], le cœur [le] faillit. » (Lignes 7 à 9). En appliquant la périphrase désigne les descriptions de la guillotine à substituer l’expression épouvantable du condamné. Puis, le prisonnier révèle l’horreur en regard l’échafaud qui illustre le symbole horrible, effrayant et hideux en périphrase. En effet, le détenu présent cet image au mouvement dans