Parricide

Nous avons ici un extrait de l’œuvre «La Machine Infernale» de Jean Cocteau, une réécriture du mythe d’Œdipe, plus précisément le dénouement de l’acte IV. Dans cette scène on apprend le fait qu’Œdipe se soit crevé les yeux après avoir commis le parricide et l’inceste qu’un oracle lui avait prédit. On peut alors se demander en quoi cette scène de théâtre de Jean Cocteau est représentative du théâtre moderne. Nous verrons dans un premier temps que cette scène relève des caractéristiques du théâtre

fut accusé de l'avoir tué pour l'empêcher de se convertir au catholicisme, la famille Sirven trouve refuge à Lausanne et se met en contact avec Voltaire (déjà très pris par l'affaire Calas), indigné, il publie en 1766 son « avis au public sur les parricides imputés aux Calas et aux Sirven ». Enfin en 1771 il démontrera leur innocence, la famille est donc réhabilité (pardonné) et la ville de Mazamet dut leur verser des compensations. II- En quoi Candide reflète-t-il l’esprit des Lumières ? 1) Dans

mauvais goût ! Pis encore, la cérémonie d’élévation au sublime grade de Maître est l’affreuse réalisation de la pire des transgressions possibles car au-delà de la mise en scène de la mort d’Hiram par les trois mauvais compagnons, il s’agit d’un parricide. Freud, dans « Totem et tabou » compare ceci  au meurtre du père de la horde primitive. Les fils meurtriers peuvent alors se partager le pouvoir phallique et deviennent ainsi les « Enfants de la Veuve ». Cette transgression du commandement divin

présence de la personne qui a tué son père dans sa maison. Le vers 862 « Rodrigue en ma maison ! Rodrigue devant moi ! » souligne la gêne de Chimène ainsi que l’absence de bienséance de Rodrigue qui ne devrait pas être présent en ces lieux après son parricide alors que le corps de Don Gomès n’est toujours pas enterré. Rodrigue appuie sa demande envers Chimène de lui ôter la vie avec l’alexandrin « N’épargnez point mon sang, goûtez sans résistance » au vers 863. L’anaphore « La douceur de ma perte et de

preuves commencent à s'accumuler contre lui : le lieu et l'épo¬que du meurtre de Laïos, sa ressemblance avec Laïos, l'incident à Corinthe qui fait planer le doute sur sa filiation. Il ne s'agit plus d'un meurtre, accidentel ou commandité, mais d'un parricide et d'un in¬ceste : l'ordre moral et religieux est remis en cause, les lois divines sont bafouées. Le choeur proclame leur transcendance et leur éter¬nité (strophe 1 et antistrophe 2) et manifeste son désir de les voir rétablies (exclamations vers

l’espace entre les deux armées, elles essayèrent d’arrêter tout nouvel affrontement et de calmer les passions en appelant leurs pères dans l’une des armées et leurs maris dans l’autre, à ne pas appeler la malédiction sur leurs têtes et la souillure du parricide sur celle de leur descendance, en salissant leurs mains du sang de leur beau-fils et beau-père. Elles criaient : « Si vous êtes las de ces liens de parenté, de ces obligations matrimoniales, alors tournez votre colère sur nous, c’est nous qui sommes

le revendique devant le peuple d’Argos au nom de sa liberté, mais il sait aussi qu’il sera « un roi sans terre et sans sujet », un exilé, la victime qui s’offre en sacrifice allègrement pour purifier la ville de ses mouches, c’est-à-dire, de son parricide. Ce joueur de flute est d’autant plus pathétique qu’il apparait au spectateur dans toute la gloire de son impuissance humaine à concilier tous les bonheurs. Son bonheur apparait plutôt comme un bagne. C’est  un peu ce que suggère Jean Anouilh en

complice et son ami. Mais pour lui, sa présence sur la plage est le fait du hasard. Meursault sent que ce témoignage l’accable. Chapitre IV Meursault se sent plus que jamais exclu du procès. Le procureur le présente comme un monstre moralement parricide, qui a prémédité son geste. La plaidoirie de son avocat l’ennuie. Il ne se reconnaît dans aucun des deux portraits qu’on dresse de lui. Il est condamné à être guillotiné en public. Chapitre V Il voudrait bien échapper à son destin tragique

complice et son ami. Mais pour lui, sa présence sur la plage est le fait du hasard. Meursault sent que ce témoignage l'accable. Chapitre IV Meursault se sent plus que jamais exclu du procès. Le procureur le présente comme un monstre moralement parricide, qui a prémédité son geste. La plaidoirie de son avocat l'ennuie. Il ne se reconnaît dans aucun des deux portraits qu'on dresse de lui. Il est condamné à être guillotiné en public. Chapitre V Il voudrait bien échapper à son destin tragique

le lit de son épouse. Hors de lui et devenu fou de colère, il poignarde aveuglément les deux corps se trouvant dans la couche matrimoniale. Sa femme arrive alors, et à la lumière du flambeau qu'elle porte il ne peut que constater son erreur et le parricide. Il ordonne de ne plus lui parler, d'enterrer ses parents, et après quelques jours part à tout jamais de sa demeure. Julien, tel Charon passeur sur le Styx aux Enfers (gravure de Gustave Doré). Julien devient mendiant, erre de par le monde, se