Partage De La Valeur Ajoutée Conclusion

0,2 % 0,3 % 0,3 % 0,3 % 0,3 % 0,2 % 0,2 1- Le choix de l’indicateur PIB comme mesure de la croissance 12- Les trois modes de calcul du PIB France 2010 (en milliards d’euros) Produit intérieur brut (approche production) Valeur ajoutée au prix de base (VAB) + Impôts sur les produits 1 932,8 1 738,0 210,3 - Subventions sur les produits Produit intérieur brut (approche demande) Dépense de consommation finale + Formation brute de capital CF FBCF -15,5 1 932,8 1 604,1 374

social et que les revenus de transfert distribués par l’Etat permettent de diminuer les écarts entre les catégories de ménages. La répartition sociale s’établie à partir de la valeur ajoutée qui est partagée entre les différents acteurs économiques, c’est le premier partage des richesses. L’Etat intervient lors de ce partage qui n’est pas toujours équitable en prélevant d’un côté pour distribuer de l’autre des revenus dit « de transfert » aux plus démunis même s’ils ne participent pas à la production

Sujet N°32- LA FINANCE D’ENTREPRISE Après avoir défini la valeur ajoutée, expliquez sa répartition dans l’entreprise. Introduction Le concept de Valeur Ajoutée est une notion essentielle en macro-économie puisqu'elle mesure la contribution des entreprises à la richesse nationale. Ce concept est également un indicateur de gestion des entreprises sur le plan micro-économique. En effet, elle apparaît dans le Plan Comptable Général de 1982 parmi les Soldes Intermédiaires de Gestion (SIG) qui constituent

financière : endettement net / FP (40 %) * Plus de réactivité car pas besoin de convaincre les partenaires financiers : délais optimisés, choix autonomes *Sérénité en période de crise * Structure financière plus saine (haut de bilan) * Notion de partage de risques : la banque n’est pas seule à assumer le risque B QUANTITATIFS * Pas d’intérêts d’emprunt : meilleure rentabilité de l’investissement (effet de levier) * Pas de charge de remboursement : pas de crise de liquidités en période de

sur le marché  Les emprunts peuvent se faire par l’émission d’obligations sur le marché obligataire (valeur mobilière) Action • Titre de propriété • Dividende variable • Plus-value/moins-value • Participation (vote) aux réunions de l’Assemblée Générale • Diverses formes d’actionnariat (institutionnel, minoritaire/majoritaire, familial) • Augmentation du capital social et modification du partage de la VA Obligation • Titre de créance sur le LT (cours) • Rémunération : intérêt FIXE déterminé par

LA Rédaction DE L’étude INTRODUCTION - Phrase d’accroche, point d’actualité - Objectif de l’étude, problématique - Annonce du plan DEVELOPPEMENT (idées classées dans un ordre logique) Partie 1 (titre) Partie 2 (titre) CONCLUSION - Essentiel à retenir - Avis personnel sur la question - Ouverture LES RESSOURCES documentaires Ressources Presse Les magazines spécialisés : Alternatives économiques, L’Entreprise, les Échos, Capital, Challenge, Objectif, IDC, Que Choisir

COURS SES Le calcul de l'entrepreneur. Est ce que ma production est rentable ? Chiffre d'affaire/C .A = Résultat de la vente = Quantitié vendue x prix Valeur ajoutée/V.A = CA – Conso intermédiaire (facture fournisseur) VA << Salariés (salaire) ; Etat (impôt sur la production) ; Patron (E.B.E Excédent brut d'exploitation) > Banquiers (intérêt) ; Actionnaire (dividende) ; Etat (impôt société) > Bénéfice mis en réserve Le chiffre d'affaire (CA) est souvent très élevé

Financiarisation de l’économie : Partage de la valeur ajoutée ou partage du risque ? 1 David THESMAR , Mathias THOENIG 2 Depuis quelques années, les profits spectaculaires engendrés par les entreprises du CAC40, leur expansion rapide à l’étranger et leur propension à restructurer en France, ont ressuscité le débat public sur la financiarisation excessive de l’économie. Pour certains commentateurs et économistes, le développement, la sophistication et l’internationalisation de la sphère

|Partie 2 (titre) | | | | |CONCLUSION |- Essentiel à retenir | | |- Avis personnel sur la question

Le contrat de travail fixe la relation de travail et définit les obligations respectives du salarié et de l’employeur. La loi accorde aux salariés un socle minimal de droits sociaux en encadrant le contrat de travail et les conditions de travail (conclusion, exécution et modification du contrat). Le droit du travail régit les rapports individuels que crée la relation de travail entre l’employeur, propriétaire de l’instrument de travail, et les salariés, subordonnés à l’employeur. Le contrat de travail