Parthes

lydien macédonien hellénique (à ne pas confondre avec la variété slave du même nom) mède méroïtique messapien minoen mylien moabite mozarabe nadruvien norique nubien, ancien — ombrien osco-ombrien osque oubykh ougaritique palaïte parthe phénicien ou punique phrygien picte polabe poméranien (vieux —) ou slovince prussien (vieux —) rhétique (à ne pas confondre avec le groupe roman du même nom) romaniote russenorsk sabin sace samaritain samogitien sarmate scythe sélonien

Après qu'un temps la grêle et le tonnerreOnt le haut mont de Caucase battu,Le beau jour vient, de lueur revêtu.Quand Phébus a son cerne fait en terre,Et l'Océan il regagne à grand'erre ;Sa soeur se montre avec son chef pointu.Quand quelque temps le Parthe a combattu,Il prend la fuite et son arc il desserre.Un temps t'ai vu et consolé plaintif,Et défiant de mon feu peu hâtif ;Mais maintenant que tu m'as embrasée,Et suis au point auquel tu me voulais,Tu as ta flamme en quelque eau arrosée,Et es plus

adressée au Dauphin. D’autre part, dans la préface du premier recueil, le fabuliste explique par un exemple l’effi cacité de l’argumentation indirecte par rapport à l’argumentation directe : « Dites à un enfant que Crassus, allant contre les Parthes, s’engagea dans leur pays sans considérer comment il en sortirait ; que cela le fi t périr, lui et son armée, quelque effort qu’il fît pour se retirer. Dites au même enfant que le Renard et le Bouc descendirent au fond d’un puit pour y étancher

publicus » , provenant principalement de conquêtes, étaient transformées en propriété privée par leur vente, bien que la plus grande partie reste à l'état, qui les « louaient » > -53 : défaite et mort de Crassus. Lors d'un bataille contre les Parthes. (actuel emplacement de Irak, Iran, Pakistan, Afghanistan) mort de Julia, fille de César et femme de Pompée. → fin des liens qui unissaient le Triumvirat. → Pompée gère seul le consulat et s'oppose à l'aide du sénat à un deuxième mandat de César

certains historiens, la mondialisation, entendue comme l’internationalisation des échanges au sein du monde connu, a déjà existé à l’époque antique 70, comme en témoigne précisément l’existence de relations commerciales entre l‘empire romain, l’empire parthe 71 et la dynastie HAN 72, via la route de la soie 73. L’empire romain et la dynastie HAN étaient les « superpouvoirs » de l’Antiquité. L’empire chinois des HAN s’étendait de l’océan pacifique à l’oasis de Kachgar, point de rencontre des routes nord

Antoine et Octave se détériorent rapidement. Antoine exige que les provinces anciennement attribuées à Lépide soient partagées équitablement. Il demande aussi l'autorisation de lever des légions romaines pour sa campagne en préparation contre les Parthes. Octave refuse catégoriquement les deux demandes, appuyé par un Sénat qui perçoit Antoine de plus en plus comme un étranger soumis à la reine d'Égypte, Cléopâtre, et se comportant comme un monarque oriental. Antoine oppose à Octave, l'héritier testamentaire

frontières de grandes puissances et au centre de conflits incessants, d’abord à côté des Perses, puis d’Alexandre et les royaumes hellénistiques, ensuite des Parthes et de l’Empire romain, sans parler des peuples du nord (les huns). Pour en arriver à la période qui nous intéresse avec l’Empire romain d’Orient et les sassanides qui supplantent les Parthes. Par après cette région du Caucase se retrouvera encore dans la même situation avec les arabes, les mongols, etc. Dès le IVe siècle les Perses sassanides

Auguste (en latin Caius Julius Caesar Octavianus Augustus) est empereur romain de 27 avant notre ère jusqu'à sa mort en 14 de notre ère. Il est très appliqué au contrôle des frontières de l'Empire. Pendant son règne, il fixe la frontière de l'Empire parthe et de l'Empire romain sur l'Euphrate. Au Nord il recule les frontières jusqu'au Danube, puis il tente d'atteindre l'Elbe. Malgré la victoire de Drusus, il ne réussit pas à annexer la Germanie (défaite de Varus en l'an 9) et reporte la frontière sur

armes dans l'expédition contre les Cantabres, en qualité de tribun militaire. Il conduisit ensuite une armée en Orient, rendit à Tigrane le royaume d'Arménie, et lui mit le diadème sur la tête devant son tribunal. il reçut aussi les enseignes que les Parthes avaient enlevées à M. Crassus. (2) Il gouverna environ un an la Gaule chevelue, alors agitée par les incursions des Barbares et par les querelles des chefs. (3) Il fit les guerres de Rhétie, de Vindélicie, de Pannonie et de Germanie. Dans celle de

sépulture, Ou couché sans honneur dans une foule obscure, N'accuse point le ciel qui le laisse outrager, Et des indignes fils qui n'osent le venger ? Ah ! ne languissons plus dans un coin du Bosphore. Si dans tout l'univers quelque roi libre encore, Parthe, Scythe ou Sarmate, aime sa liberté, Voilà nos alliés : marchons de ce côté, Vivons ou périssons dignes de Mithridate, Et songeons bien plutôt, quelque amour qui nous flatte, À défendre du joug et nous et nos États, Qu'à contraindre des cœurs