Parthes

clémence d'Auguste 1640 Don Sanche d'Aragon 1650 Horace 1640 L’illusion comique 1636 La mort de Pompée 1643 La Toison d'or 1660 Le Cid 1637 Le menteur 1644 Médée 1634 Mélite 1629 Nicomède 1651 Oedipe 1659 Psyché 1671 Rodogune, princesse des Parthes 1647 Tite et Bérénice 1670 [pic] III) Résumé de l’œuvre. Clindor depuis des années, s’est enfui de la maison familiale, à cause de l’excessive sévérité de son père, Pridamant, devenue maintenant suivant d’un étrange capitaine gascon, Matamore

d'équilibre et d’habileté qui met en œuvre toutes les ressources de l'éloquence.. Le texte en était d'ailleurs déjà étudié dans les écoles du vivant de l'auteur. En -52, il est proconsul en Cilicie où il mène une campagne victorieuse contre les Parthes (importante puissance politique et culturelle iranienne dans la Perse antique) . En janvier 49 , il retrouve Rome en proie à la guerre civile entre César et Pompée Cicéron prend le parti de Pompée en essayant de ne pas se faire un ennemi de César

légale et se déroulent au Sénat. Le tribun Curion propose que Pompée et César licencient simultanément leurs troupes, les consuls s’y opposent[72]. Le Sénat décide que Pompée et César envoient chacun une légion pour préparer la guerre contre les Parthes. Pompée choisit la Ire légion, qu’il avait prêtée à César, César renvoie la XVe, et doit se dessaisir ainsi de deux légions (il en conserve néanmoins neuf, dont une l’accompagne en Gaule cisalpine tandis que les autres hivernent en Gaule)[73]. Pompée

1636 | L'Illusion comique | 1637 | Le CidL'Aveugle de Smyrne | 1640 | Horace | 1641 | Cinna ou la clémence d'Auguste | 1642 | Polyeucte | 1643 | La Mort de PompéeLe Menteur | 1644 | La suite du Menteur | 1645 | Rodogune, princesse des Parthes | 1646 | Théodore, vierge et martyr | 1647 | Héraclius, empereur d'Orient | 1650 | AndromèdeDon Sanche d'AragonLes triomphes de Louis le Juste | 1651 | NicomèdePertharite, Roi des Lombards | 1652 | Imitation de Jésus-Christ (traduction en

propréteur. Il est connu pour sa vie dissipée et ses frasques de dandy (Mariage de sa fille Julia avec Pompée.). Les trois compères forment un premier triumvirat en –60. Tandis que Crassus obtient le gouvernement de la Syrie et s'en va combattre les Parthes en Orient, Pompée reçoit le gouvernement de l'Espagne et César celui de la Gaule cisalpine ainsi que la charge de consul (-59). En butte à l'hostilité du Sénat, le nouveau consul n'hésite pas à en appeler au peuple et cultive avec soin sa popularité

avoir appris l’égyptien.Plutarque nous dit : « Il n’y avait que peu de barbares avec lesquels elle ait besoin d’un interprète : elle donnait elle-même ses réponses à la plupart d’entre eux, Ethiopiens, Troglodytes, Hébreux, Arabes, Syriens, Mèdes, Parthes. Elle connaissait beaucoup d’autres langues. »Une enfance marquée par l’exil :En 58 avant Jésus-Christ, sa sœur Bérénice renverse leur père qui trouve refuge à Rome avec ses autres enfants. Cet exil forgera son caractère et sa vision du monde. Il

poussé car Plutarque (est un philosophe, biographe, moraliste, et penseur majeur de la Rome antique) nous dit qu'elle parlait de nombreuses langues. En plus du grec et de l'Egyptien, elle parlait l'hébreu, l'araméen, l'arabe, l'éthiopien, le mède, le parthe, le troglodyte (parlé par un peuple des bords de la mer Rouge). Elle dut aussi parler latin (même si ses amants, César et Antoine parlaient le grec). On ne sait pas grand-chose non plus de l'aspect physique de Cléopâtre. Les pièces de monnaie montrent

l'humaine raison (...) le suicide est élevé à la dignité de patriotisme: Permettez, ô grand roi, que de ce bras vainqueur Je m'immole à ma gloire et non pas à ma soeur. (...) La Syrie de Rodogune, le royaume lombard de Pertharite, le royaume des Parthes dans Suréna... donnaient précisément à Corneille le genre d'intrigue dont il avait besoin....intrigue obscure et catastrophe violente... Les critiques, à l'exception brillante de Brasillach, ont négligé les dernières pièces de Corneille mais notre

l’empire romain. Pour le séduire, Cléopâtre se sert d’un des défauts du général romains qu’elle connait : la vanité, l’amour du faste. Lorsque Marc Antoine convoque les souverains de tous les royaumes pour organiser une grande expédition contre les Parthes, elle arrive à Tarse (en Cilicie) dans un navire à la poupe dorée et aux voiles pourpres, assise sous un dais d’or entouré par un équipage déguisé en Nymphe et en Néréides. Elle l’invite ensuite à bord pour un banquet. C’est ainsi que commence leur

Antoine et Octave se détériorent rapidement. Antoine exige que les provinces anciennement attribuées à Lépide soient partagées équitablement. Il demande aussi l'autorisation de lever des légions romaines pour sa campagne en préparation contre les Parthes. Octave refuse catégoriquement les deux demandes, appuyé par un Sénat qui perçoit Antoine de plus en plus comme un étranger soumis à la reine d'Égypte, Cléopâtre, et se comportant comme un monarque oriental. Antoine oppose à Octave, l'héritier testamentaire