Parti communiste de Grèce

endiguement de la poussée communiste eu Europe par une aide économique aux pays ruinés (Plan Marshall). Seuls, les pays de l’Europe de l’Ouest ont accepté cette offre. DOCTRINE JDANOV L’idéologue du PCUS (Parti Communiste de l’Union Soviétique) énonce la doctrine de la " Guerre froide ". Le monde est divisé en deux camps irréconciliables. Il crée en 1947 le Komintern (III° Internationale), organe de diffusion des idées et de coordination de l’action des partis communistes frères, pour internationaliser

1ère SOUS-PARTIE : LA GUERRE FROIDE – 1947-1991 chapitre 1 – 1945-1947 : DE LA GRANDE ALLIANCE A LA GUERRE FROIDE Les vainqueurs de la guerre sont l'URSS, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France libre. Pourtant, tout oppose l'Union soviétique aux trois pays occidentaux. Pour ceux-ci, il s'agit d'une victoire de la liberté contre l'oppression totalitaire ; la démocratie doit s'imposer partout où les nazis ont été chassés. L'Union soviétique, quant à elle, y voit l'occasion d'étendre la

l’Europe : le pourquoi A. L’escalade de la méfiance p. 113 Les avancées territoriales et politiques des soviétiques inquiètent de plus en plus les américains. Trois pays semblent particulièrement menacés dès 1946 : l’Iran, la Turquie et la Grèce. La situation est d’autant plus délicate que l’Angleterre renonce officiellement à son rôle de gendarme dans les Balkans ( février 1947 ). Les soviétiques peuvent ainsi espérer progresser en direction des mers chaudes et menacer directement la suprématie

plan Morgenthau qui prévoyait de faire payer les réparations par l'Allemagne. En effet, plusieurs experts se souvenaient des effets désastreux d'une telle politique après la Première Guerre mondiale : la question des réparations allemandes avait en partie déclenché une hyperinflation, entravé la reprise économique et facilité la prise du pouvoir par les nazis. L'initiative fut baptisée, par les journalistes, du nom du Secrétaire d'État des États-Unis, le général George Marshall, qui, lors d'un discours

géographie. Les premiers effort d’unification géographique ont lieu au 18ème siècle sous influence Russe, Pierre Legrand veut que son pays fasse partie de l’Europe il insiste donc pour faire une défit ion des limites de ce continent (détroit du Bosphore chaîne Caucase , monts Oural ) Ces limites ont toujours créé des problèmes et intentions entre pays ( 1 partie seulement de la Turquie se trouve en Europe, la Russie est divisée en 2, Israël participe aux coupes euros, Islande très éloignée et pourtant

modèle pour les Américains comme pour les Soviétiques qui est diffusé et qui permet une certaine influence. La Résistance en Europe de l’Est a été essentiellement communiste, ce qui donne de l’influence aux Soviétiques. Ils sont aussi présents par la langue. Dans tous les pays qui viennent d’être libérés, on constate que les partis communistes font de bons scores dès les premiers suffrages. A Yalta, en 1945, il y a déjà un premier désaccord sur le projet du « glacis protecteur ». Ce « glacis protecteur »

dénazification. 2- L’extension du communisme en Europe Doc 1 p221 Dès 1945, la Yougoslavie devient communiste. Les Yougoslaves élisent les communistes car ils sont le symbole de la résistance aux nazis. Tous les pays d’Europe de l’Est ont été libérés nazis par l’Armée Rouge, elle est donc toujours présente et soutien les communistes. La tactique du Salami : Staline va par l’intermédiaire des communistes locaux, de l’Armée rouge, noyauter l’Etat en vu de préparer les élections. Ils en profitent pour

zone réservée soviétique en Europe de l’Est sous contrôle de l’Armée Rouge et des Partis communistes : ==> notion de « glacis protecteur », de « Rideau de fer » (CHURCHILL Fulton 1946) 5 p.75 2. contestations soviétiques anti-états-uniennes : 1. fin du prêt-bail jugée trop rapide ! 2. débat sur la « bombe nucléaire » : pressions soviétiques à l'ONU. 4. de vrais affrontements MAIS indirects 1. Grèce : communistes (Kapétanios) contre monarchistes soutenus par les britanniques 2. Chine : reprise

(Aujourd'hui en Grèce) en 1902. Etant fils d'un père fonctionnaire, et d'une mère peintre, Nazim Hikmet, était bien cultivé pour son époque. En 1921, avec un ami à lui, sont aller à Ankara, pour rejoindre le mouvement indépendantiste conduit par Mustafa Kemal, qui aprés un entretien avec lui, lui à dit qu'entant qu'intellectuel, il était préférable, qu'il aille enseigner dans des lycée en Turquie. Un an plus tard, il va étudié dans l'Union Soviétique, dans une université communiste, dont les idéologies

Américains et les Britanniques unifient leurs zones d'occupation en Allemagne. 22 février : Harry Truman Loyalty Program — début des enquêtes sur les infiltrations communistes dans l'administration américaine. 12 mars : Doctrine Truman — Le président américain Harry Truman demande au Congrès l’octroi d’une aide économique et militaire à la Grèce et à la Turquie en substitution du Royaume-Uni. Cette doctrine doit permettre l'endiguement (containment) de l’expansion soviétique en Europe. 17 mars : La France