Parti démocratique serbe

d’elle-même. Elle est en 1918 une monarchie baptisée Royaume des Serbes, Croates et Slovènes, puis baptisée en 1929 Royaume de Yougoslavie jusqu’en 1941, où elle disparait. En 1943, elle devient une république fédérative socialiste appelée Fédération démocratique de Yougoslavie avant de s’appeler en 1963 République fédérative socialiste de Yougoslavie. Elle disparait de nouveau en 1992 avec l’indépendance de 4 de ses républiques fédérées : Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine et Macédoine. Enfin en 1992

de nation. ------------------------------------------------- Ex : NACER a voulu créer une grande nation arabe (sud de l’Afrique + Arabie) = Panarabisme 1968 : BAAS : parti très nationaliste, défend le socialisme, la laïcité et le nationalisme. Contrôlé par l’armée puis par la famille de Saddam HUSSEIN. 1972 : L’Irak du parti BAAS nationalise le pétrole irakien déclaration indirecte de guerre aux Etats Unis. L’Irak est ainsi soutenu en plein guerre froide par l’URSS. 1979 : Saddam HUSSEIN s’empare

différents modèles culturels dans une même société. Il y a des pays qui croient en la démocratie (ex: la France, modèle républicain qui se met en place difficilement, avec des crises). L’Affaire Dreyfus révèle trois choses : _ la France démocratique ne peut pas admettre qu’un de ses officiers soit juif, _ par rapport à ce type de scandale, les corps constitués (armée) ne sont pas ancrés dans la pensée républicaine. _ parmi les gens de gauche, des sentiments antisémites demeurent. =

Irlande, Danemark (9). 1981 : Grèce (10). 1986 : Espagne et Portugal (12). II. L’Europe des démocraties populaires A. La mise en place des démocraties populaires 1. L’Europe de l’Est sous la coupe de Moscou - Un contexte favorable aux partis communistes  Présence de l’armée rouge comme armée de libération, sauf Yougoslavie et Albanie  Prestige des communistes qui bénéficient de la victoire sur l’ennemi nazi - Les communistes sont très influents dans les gouvernements d’union

intérêt, et, s'il s'agit d'un leadership démocratique, on est tenu de faire avancer ses idées par la persuasion, non par l'intimidation, la menace de faire usage de sa force militaire ou économique. Quand le capitalisme perd la tête, Joseph E. Stiglitz Avec la mondialisation, nous sommes tous interdépendants. On disait autrefois : lorsque les États-Unis éternuent, le Mexique s'enrhume. Aujourd'hui lorsque les États-Unis éternuent, une grande partie du monde attrape la grippe, et les problèmes

Partie 1 : De l’autonomie à une indépendance conditionnelle du Kosovo. Chapitre 1 : L’échec des négociations relatif à un futur statut pour le Kosovo. Section 1 : Les implications de la mission intérimaire des Nations unies au Kosovo pour la Serbie. Section 2 : Les prémices de l’indépendance par le plan Ahtisaari. Chapitre 2 : Les réactions générées par cette indépendance. Section 1 : Des États hostiles à l’indépendance. Section 2 : Des États exprimant leur acquiescement. Partie 2 :

l'Europe et du Moyen-Orient ont été redessinées. Des monarchies ont été remplacées par des États communistes ou par des républiques démocratiques. Pour la première fois, une institution internationale a été créée dans le but de prévenir les guerres : la Société des Nations. L'étincelle qui provoqua la guerre survint le 28 juin 1914, lorsque qu'un nationaliste serbe de Bosnie, Gavrilo Princip, parvint à assassiner l'archiduc François-Ferdinand, héritier du trône austro-hongrois. Les exigences de

sur les décisions des dirigeants allemands pendant la crise de juillet 1914 Les dirigeants allemands ont mené une politique extérieure agressive en juillet 1914. Malgré le fait qu’il existait un décalage considérable entre l’opinion d’une grande partie de la population et la politique gouvernementale, cette dernière a été aprouvée par l’essentiel des courants politiques de l’époque (Burgfriede). Ceci s’expliquait par le succès du gouvernement à attribuer toute la responsabilité pour la guerre à

d’évidence que l’illusion des uns et le cynisme des autres. Seule l’Europe semblait échapper au chaos : sur fond de guerre non moins barbare en Bosnie-Herzégovine, les Occidentaux parvinrent à sauver l’Europe de l’insécurité mondiale, en construisant, à partir de l’OTAN et d’une coopération bénie avec la Russie, un îlot de stabilité relative mais potentiellement modèle pour la pacification du 3e millénaire. Un nouvel ordre otanien semblait au moins subsister de l’utopie d’un ordre mondial. Or, en 1999,

au temps de la Guerre Froide de part et d’autres du rideau de fer (à l’Ouest une Europe capitaliste, attachée à l’économie de marché et à la démocratie libérale / à l’Est Europe communiste, économie dirigée et planifiée par l’Etat et dictature du parti communiste) [noter( et connaître) sur le fond de carte de l’Europe actuelle, les Etats ex communistes : colorier en rouge ou noter un « C » rouge] L’URSS = un Etat multinational puissant (qui englobe les pays baltes qui ont perdu leur indépendance)