Parti nationaliste basque

l’essentiel, les Etats d’Europe occidentale ont fini d’être constitués et sensiblement unifiés. Cela n’a pas empêché pourtant l’apparition périodique de mouvements nationalistes remettant en question leur tracé ou revendiquant un statut d’autonomie particulier pour une région ou une autre. Les exemples ne manquent pas, de la Catalogne au Pays basque en passant par la Flandre, la Bretagne ou encore la Corse. Parfois, il s’agit de simples lubies de milieux restreints. Parfois, ces revendications trouvent un

concours d’entrée à l’académie royale de San Fernando mais cela ne lui plaît pas. La période bleue* tire son nom du fait que le bleu est la teinte dominante de ses toiles à cette époque qui a débuté avec le suicide de son ami Carlos Casagemas*. A partir de 1904, il s’installe à Paris, au Bateau-Lavoir, c’est le début de la période rose* (1904-1906). Comme précédemment, c’est l’utilisation du rose qui est dominante. Pablo Picasso et Georges Braque surtout mettent en place un nouveau mouvement appelé

est lié au développement économique et politique : En Angleterre au XVIIème siècle, aux Etats-Unis, en France au XVIIème, en Allemagne au XIXème siècle, l'établissement progressif de la participation politique du peuple contribue à l'émergence nationaliste. [1-5] Le nationalisme appartient donc complétement à la sphrère de l'individualisme politique et philosophique. Selon Breuilly, le nationalisme est une réponse particulière à la disctinction, propre au monde moderne, entre l'Etat et la société

représentés avec des formes.) C'est pendant la guerre civile espagnole que le gouvernement républicain commande un toile à Picasso pour le pavillon espagnol de l'Exposition Universelle de Paris de juin 1937. Le 26 avril 1937, Guernica, petite ville basque, se fait bombarder par un raid aérien allemand. En effet, l'Allemagne Hitlérienne, alliée du général Franco, bombarde la ville pour tester leurs nouvelles armes et de tuer le maximum de civils. Guernica fut la première ville bombardée par voie aérienne

Paris de juillet 1937. Picasso réalise ce tableau suite au bombardement de la ville de Guernica dans le pays basque espagnol (le 26 avril 1937) par la légion Condor de l’Allemagne nazie qui soutenait le camp franciste ou nationaliste. Dès le début de la guerre civil espagnol (1936-1939) qui oppose les Républicains et les francistes, Picasso soutienne le camp républicain. L'objectif délibérément meurtrier de l'opération

Paris de juillet 1937. Picasso réalise ce tableau suite au bombardement de la ville de Guernica dans le pays basque espagnol (le 26 avril 1937) par la légion Condor de l’Allemagne nazie qui soutenait le camp franciste ou nationaliste. Dès le début de la guerre civil espagnol (1936-1939) qui oppose les Républicains et les francistes, Picasso soutienne le camp républicain. L'objectif délibérément meurtrier de l'opération

elle n'attire pas l'attention, contrairement aux pavillons allemand et soviétique. L'accueil réservé à Guernica n'a pas été enthousiaste, le gouvernement républicain jugeant la toile peu visible. Le tableau représente le bombardement de la ville basque de Guernica par la légion Condor, aviation nazie au service de Franco. C'est la première fois qu'une ville est délibérément écrasée sous des bombes. Le bilan humain pour cette petite ville est lourd : 1700 morts et 800 blessés. Ce bombardement n'est

doute que Pablo Picasso a chamboulé l'art et la manière de l'appréhender. Contexte historique de création : Cadre géographique ? Événements marquants ? Éléments d’inspiration. Cette œuvre a été peinte en réaction au bombardement de la ville basque Guernica, par l’aviation allemande au service des franquistes. La toile exprime toute l'horreur et la colère ressenties par Picasso à la suite du bombardement de Guernica. Sa réalisation commença le 1er mai 1937 à Paris, sous la commande du gouvernement

tableaux, Les Demoiselles d’Avignon. Il noue aussi de solides amitiés, comme avec Casagemas, dont le suicide en 1901 le marquera profondément : c’est en représentant son ami mort qu’il découvre le potentiel émotionnel des peintures en camaïeu bleu. À partir de 1904, il s’installe définitivement en France et emménage tout d’abord dans un misérable atelier de Montmartre, au « Bateau-Lavoir », nom donné par Max Jacob parce qu’on accède à la bâtisse par un pont. C’est devant cet atelier que Picasso rencontre

entre Etat et société, La formule de Saint Paul : «  il n’est pas de pouvoir que de Dieu » est la base de toute politique chrétienne. Les 14 épitres de Saint Paul dans le nouveau testament définissent ainsi l’approche politique de l’Église. Mais à partir des enseignements des Évangiles, de nouveaux concepts sont introduits dans le débat politique qui sont la notion de contrat, la notion d’égalité des hommes, la prise en compte de l’individu et l’idée de la soumission de l’homme à Dieu et aux gouvernants