Parti progressiste martiniquais

Aimé Césaire, de son nom complet Aimé Fernand David Césaire, né le 26 juin 1913 à Basse-Pointe (Martinique) est un poète et homme politique français. Il est l'un des fondateurs du mouvement littéraire la Négritude. Aimé Césaire fait partie d'une famille de sept enfants ; son père est enseignant et sa mère couturière. Son grand-père fut le premier enseignant noir en Martinique et sa grand-mère, contrairement à beaucoup de femmes de sa génération, savait lire et écrire ; elle enseigna très tôt à

Aimé Césaire faisait partie d'une famille de sept enfants ; son père était fonctionnaire et sa mère couturière. Son grand-père fut le premier enseignant noir en Martinique et sa grand-mère, contrairement à beaucoup de femmes de sa génération, savait lire et écrire ; elle enseigna très tôt à ses petits-enfants la lecture et l'écriture[2]. De 1919 à 1924, Aimé Césaire fréquente l'école primaire de Basse-Pointe, commune dont son père est contrôleur des contributions, puis obtient une bourse pour le

de tous les opprimés de la planète. Césaire déclare en effet : « Je suis de la race de ceux qu’on opprime ». Toujours en 1934, Césaire est admis à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’ULM et deviendra président de l’Association des étudiants martiniquais. C’est en 1936 qu’il commence la rédaction du Cahier d’un retour au pays natal, lors de ses vacances en Dalmatie, qu'il achèvera en 1938. Il prépare sa sortie en 1938 de l'École normale supérieure avec un mémoire : Le Thème du Sud dans la littérature

elle comprend les colonies « non blanche » dont le principal est l’Inde. Vient ensuite l’Empire Français qui s’étend sur l’Afrique noir, le Maghreb et l’Indochine. On distingue deux types d’administrations : Le Protectorat (crée en 1884) fait partie de ce qu’on appelle l’administration indirecte, et est représentatif du système français. A la fin du XIXe siècle, les français acceptent d’adopter une formule réputée, qui constitue une alternative à la colonisation traditionnelle, le protectorat

Cahier d'un retour au pays natal. Aimé influence des intellectuels africains et noirs américains dans leur combat contre le colonialisme. Il est élu maire de Fort-de-France en 1945, puis devient député jusqu'en 1993. Plus tard il créera le Parti progressiste martiniquais. Aimé Césaire demeure maire de Fort-de-France jusqu'en 2001 où il met un terme à sa carrière politique. Le 17 avril 2008 il meurt et a droit à des obsèques nationales à Fort-de-France, en présence du Président de la République. 2)

politique français, né le 26 juin 1913 à Basse-Pointe (Martinique) et mort le 17 Avril 2008 à Fort-de-France (Martinique). Il grandit en Martinique puis entre, en 1931, en classe d’hypokhâgne au lycée Louis-le-Grand à Paris. Il fonde le Parti progressiste martiniquais puis devient en 1945 maire de Fort-de-France et député de la Martinique. Il a écrit de nombreuses poésies (Cahier d’un retour au pays natal, Les armes Miraculeuses…) ainsi que des pièces de théâtre (La Tragédie du roi Christophe, Une saison

africains tel qu’Aimé Césaire, Léon Gontran Damas, Léopold Sédar Senghor, Guy Tirolien et Birago Diop qu’apparaît pour la première fois le terme de Négritude. Le journal l’Etudiant noir est une revue créée par le Sénégalais Léopold Sédar Senghor, le Martiniquais Aimé Césaire et le Guyanais Léon Gontran Damas à Paris où ils étaient alors étudiants. Il y est question de l’identité du noir. Le seul numéro de la revue est paru le 1er septembre 1934. La négritude est un mouvement à la fois littéraire et politique

d'un retour au pays natal, publié en 1939 date de son retour en Martinique. Il enseigne au lycée de Fort de France. En 1941, il fonde la revue Tropiques. Il s'engage en politique dans les rangs du Parti communiste français qu'il quittera en 1956 pour fonder deux plus tard le Parti progressiste martiniquais (PPM). En 1945 il devient maire de Fort-de-France et député de la Martinique. Son Discours sur le colonialisme en 1950 dira sous la forme du pamphlet toute son hostilité au colonialisme européen

qu’il fonde à Paris avec d’autres étudiants noirs : Léopold Senghor, et Léon Damas. Ils voulaient éliminer les inégalités entre étudiants des colonies françaises. Il publie son discours sur le colonialisme en 1950. En 1958 fonde le parti progressiste martiniquais, le PPM. La poésie en 1994, regroupe ses poésies et est le dernier livre qu’il écrit. Il meurt en avril 2008, à Fort de France, suite à des problèmes cardiaques. De nombreux hommages suite à cet évènement se sont réalisés et une plaque

africains tel qu’Aimé Césaire, Léon Gontran Damas, Léopold Sédar Senghor, Guy Tirolien et Birago Diop qu’apparaît pour la première fois le terme de Négritude. Le journal l’Etudiant noir est une revue créée par le Sénégalais Léopold Sédar Senghor, le Martiniquais Aimé Césaire et le Guyanais Léon Gontran Damas à Paris où ils étaient alors étudiants. Il y est question de l’identité du noir. Le seul numéro de la revue est paru le 1er septembre 1934. La négritude est un mouvement à la fois littéraire et politique