Parti radical-démocratique

Jacques Rancière, La haine de la démocratie * Tout Etat est oligarchique : certes un Etat dit « démocratique » tend vers la démocratie car il se rapproche d’un pouvoir possédé par chacun MS il y a alliance entre oligarchie politique et oligarchie économique accaparement de la chose publique surconsommation des emplois publics car fort appétit des oligarques * le pouvoir de l’oligarchie est limité par une double reconnaissance de la souveraineté populaire et des libertés individuelles avantages

majeure partie due à un fin stratège du nom de Périclès. En effet, on appelle le souvent le V° siècle "siècle de Périclès", à cause de l'influence déterminante que cet homme politique eut sur le destin de sa cité à cette époque. C'est l'âge d'or de la démocratie athénienne et l'apogée de sa puissance dans le monde grec. Cet homme d’Etat et fin stratège fut un partisan de la démocratie et insista sur les bienfaits de ce régime politique. Celui-ci n’est pas pour une démocratie radicale. Les pauvres

HISTOIRE DES IDEES POLITIQUES SEANCE N°1 : 12 SEPTEMBRE 2013 PARTIE I : L’AUBE DE LA PENSEE POLITIQUE CONTEMPORTAINE, L’ERE DES REVOLUTIONS, (XVIIème-XVIIIème siècle) TITRE I : LES REVOLUTIONS ANGLO-SAXONNES Il nous faut partir de l’Angleterre du début du XVIIème siècle, le pays se trouve alors dans un contexte politique et religieux troublé, la dynastie régnante était celle des TUDOR, le protestantisme calviniste s’est diffusé en Angleterre, et s’est accompagné de la diffusion d’une Eglise

Dans quelles mesure la monarchie de Juillet, qui est née de la Révolution de juillet 1830, est elle l’expression d’un libéralisme inégalitaire ? Cette monarchie qui s’appuie sur ce libéralisme inégalitaire a pour enjeu de contenir la poussée démocratique et la contestation ouvrière des années 1830-1840. I. La révolution de juillet 1830 ou la victoire des barricades A. Les trois glorieuses : 27, 28 et 29 juillet 1830 Nous sommes pendant la période des ordonnances de Saint Clou, soit le bras

Seale a commencé à se consacrer au groupe "Reach!" qui s'occupe de programmes d'éducations pour les jeunes. Mis à mal par l’offensive du Têt au Viêtnam, harcelé par les manifestants anti-guerre, et confronté à une rébellion au sein de son propre parti, c’est un Président Lyndon Johnson assiégé qui s’adressa au pays le 31 mars 1968. Il causa un choc en annonçant qu’il renonçait à la campagne pour sa réélection d’une part, et d’autre part, que les pourparlers de paix avec les forces de libération

masculin (montée du rôle des partis politiques, professionnalisation politique : les “ politiciens ”), la disqualification du parlementarisme est un des thèmes centraux du gaullisme sous la IV° République. L’image que nous avons du parlementarisme est donc largement tributaire du discours gaulliste qui au début de la V° République a cherché à conforter la légitimité de la nouvelle république par la disqualification des régimes précédents (“ le désastreux régime des partis ”) et surtout de la IV° et

de presse ou les libertés personnelles. Ce régime autoritaire apparaissait néanmoins avec des apparences démocratiques, comme le suffrage universel accordé aux hommes de plus de 21 ans ou bien la séparation du pouvoir législatif (Sénat, Conseil d’Etat) et du pouvoir exécutif (gouvernement). Cependant malgré ces allures de démocratie le second empire possède aussi des apparences non démocratique : la pression qu’exerce les maires sur le conseil municipal, ou bien les sous préfets sur le conseil d’arrondissement

distingue le « pouvoir constituant dérivé » qui est le pouvoir des organes compétents pour modifier la constitution et le « pouvoir constituant originaire » qui est celui des organes qui ont adopté la Constitution. Il est important, dans un pays démocratique tel que la France, de garantir des limites au pouvoir constituant dérivé. Ainsi nous verrons que la procédure de révision de la Constitution est séparée en deux phases, d’abord l’initiative (I) puis le vote et l’adoption (II). I. L’initiative

pouvoir (52-54) A- Une politique conservatrice * Avec l’arrivée de Pinay au pouvoir, le centre droit se substitue à la troisième force. Elle est composée de radicaux, de modérés, de l’UDSR, du MRP et de gaulliste. Cette investiture est la première étape de la décomposition du mouvement gaulliste. Après la prise de pouvoir de radicaux, de Gaulle dissout le RPF qui devient l’URAS « les républicains sociaux ». Cette majorité de centre droit va gouverner le pays pendant deux ans avec une politique

à la rupture. Section 1. La fin de la IVème République Elle est due notamment à l'incapacité de la IVème République à régler le problème algérien. Les partis du centre (droite ou gauche) alternent au pouvoir et n'ont en commun que la défense des institutions de la IVème République. Le 15 avril 1958, la chute du gouvernement du radical Félix Gaillard provient de l'absence de majorité aussi bien pour la poursuite de la guerre que pour la négociation avec le Front de Libération Nationale algérien