Pas De Liberté Pour Les Ennemis De La Liberté

1874. Il n’y a que 2 ou 3% des jeunes qui arrivent jusqu’au lycée, les études sont très coûteuses et les bourses très rare. Entre 1881 et 1887 se développe l’école maternelle qui deviens gratuite et non obligatoire. b) Libertés Républicaine. • 1881 : droit de réunion, liberté de la presse qui s’étend à l’édition, absence de toutes les formes de censure . • 1884 : la loi Nacquet, divorce autorisé pour « faute » (adultère). • 1885 : Bertillon invente l’usage des empreintes digitales et les

ainsi les marginaux sont victimes de discrimination. Nous allons maintenant nous pencher sur l’aspect du droit qu’y entoure la marginalité. La loi offre à chaque individu la liberté d’être la personne qu’il désire, la liberté de penser de la manière dont il le désire, et la liberté de cultiver sa différence. Cependant les libertés individuelles sont relatives donc un homme ne peut devenir un marginal sans devenir en conséquence un hors la loi que dans une certaine mesure. En effet, c’est le rôle régulateur

homme français, étranger ou même ennemi qui semblaient nécessairement immuable, inviolables. Cette Déclaration n'est certes pas la première mais semble cependant avoir eu un impact considerable sur la France et sur le monde. Elle pose le principe de la société et condamne les pratiques de l'Ancien régime absolutiste car « le princpe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation ». Elle énumère les droits imprescriptibles de l'homme comme étant la liberté, la propriété et la sûreté et

totalitarisme, régime nouveau (du 20è siècle), différent de la tyrannie ou du despotisme (Gouvernement sans loi d'après Montesquieu). En effet, le totalitarisme, ce n'est pas un despote qui exerce de façon arbitraire son pouvoir pour éliminer ses ennemis, mais plutôt des hommes dont leur pouvoir est a son apogée dès lors que toute adversité est supprimée : son but n'est pas un moyen de conserver le pouvoir, mais de soumettre l'humanité à des lois implacables (loi de la nature pour Hitler, de l'histoire

1) Faut-il refuser toute liberté aux ennemis de la liberté ? Il n’y a aucune distinction, spécification dans le sujet de la notion de liberté. Oppose t’on la liberté générale à une liberté précise telle que la liberté de penser ou de presse par exemple ? De plus, le sens du sujet est de « supprimer » la liberté d’une personne afin de sauver la liberté des autres. 2) L’historien fait-il œuvre pour le futur ? Dans ce sujet il faut interroger le concept d’œuvre. Comment un historien, une personne

injuste mais il apprend à aimer son voisin. Le conusmérisme et la tromperie sont finis dans sa vie. Aujourd’hui, il comprend l’importance de changer les valeurs, les normes, les príncipes de la sociét. Maintenant, il sait qu’on ne peut pas acheter la liberté. C’est un homme généreux, grand et roux, trés beau avec des yeaux bleu, sa peau et blanche et il a une air méchant, bien qu’ill est un bon home qui se bat pour toi et pour moi et nos droits. Bref il naît à nouveau avec ses nouvelle idées. Il croit

jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre! Amour sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos bras vengeurs Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!

- « Seulement » ligne 6, 29, 32. 2) Les responsables de la servitude Le pouvoir (féodalité), Le peuple lui-même qui est dans une servitude volontaire, il à le gout de servir de d’obéir : « Vous vous laissez ». Le « vous » désigne le propre ennemi du peuple. Le peuple est inconscient de ce qu’il fait car il vient de l’ignorance et de l’inculture (ligne 13). Sortir de l’ignorance = sortir de la servitude. Croyance entre l’inégalité des hommes qui les pousse à accepter de servir ou d’obéir à

la mobilisation. Ce chant fut appelé le « frère de La Marseillaise » par les soldats républicains. Composé le 14 juillet 1794. parole : La victoire en chantant nous ouvre la barrière.La Liberté guide nos pas.Et du nord au midi, la trompette guerrièreA sonné l'heure des combats.Tremblez, ennemis de la France,Rois ivres de sang et d'orgueil !Le Peuple souverain s'avance ;Tyrans descendez au cercueil. Chant des guerriers (Refrain)La République nous appelleSachons vaincre ou sachons périrUn

intimes), nom qu’il donne au fanatisme religieux. Il n’en finit pas de dresser la liste des malheurs et des crimes qu’il engendre, et, pour lui, il ne peut y avoir de progrès de l’humanité et de la civilisation sans tolérance. Dans ce contexte, son grand ennemi est la religion chrétienne et l’Église catholique de son temps. Ses adversaires l’accuseront de saper les bases de la religion et par là même de la monarchie et de favoriser la dépravation des mœurs. Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède