Pascal Pensées 427

ne peut pas être le monde-vérité: alors la connaissance n'est que le chemin pour arriver à la négation de celui-ci, alors il est une erreur que l'on peut reconnaître comme telle. C'est là l'opinion de Schopenhauer basée sur des hypothèses de Kant. Pascal est plus désespéré encore: il comprit que sa connaissance, elle aussi, devait être corrompue, falsifiée, - que la révélation est nécessaire pour comprendre le monde, même d'une façon négative... 14. Les causes qu'il faut prêter à la venue du

évidente prééminence des grandes métropoles qu’il n’y a plus de place pour les métropoles secondaires et les villes moyennes, condamnées à simplement consommer ou mettre en scène les productions des astres métropolitains de première magnitude ? Je ne le pense pas, car la fluidité des communications, qui joue statistiquement en faveur des pôles les plus puissants, des marchés du travail les plus vastes et les plus différenciés, peut aussi, à l’inverse, favoriser la croissance de pôles secondaires articulés

5 CULTURE GÉNÉRALE Ouvrages : 100 fiches de culture générale. Histoire de la pensée - BOURDIN Dominique, GUISLAIN Gilbert, JACOPIN Paul, NICOLLE Jean-Marie, WINTER Geneviève - Bréal - 2013 - 336 p. Cote : IF 11 F et ouvrage propose de parcourir neuf moments clés de l'histoire de la pensée : l'héritage de la pensée grecque et latine ; Les apports du judaïsme, du christianisme et de l'islam à la pensée occidentale ; les étapes de la constitution des sciences exactes et des sciences de

b)(a – b) = a × a – a × b + b × a – b × b = a2 – ab + ba – b2. (a + b)(a – b) = a2 – b2. b. (x – 3)2 = x 2 – 2x × 3 + 32 = x2 + 6x + 9. • (1 – 4t)2 = 12 – 2 × 1 × 4t + (4t)2 = 1 – 8t + 16t 2. • (3y – 1)(3y + 1) = (3y)2 – 12 = 9y 2 – 1. 8 a. Djibril pense : 992 = (100 –1)2 = 1002 – 2 × 100 × 1 + 12 = 10 000 – 200 + 1 = 9 801. b. • 1052 = (100 + 5)2 = 1002 + 2 × 100 × 5 + 52 =10 000 + 1 000 + 25 = 11 025. c. 61 × 59 = (60 +1)(60 –1) = 602 – 12 = 3 600 – 1 = 3 599. 9 a. • A = 2x2 + 3x Première méthode

de son père l’oblige à interrompre ses études pour donner des cours : il est engagé comme précepteur[->147] par des familles aisées et il accomplit cette tâche durant neuf ans. C'est également cette année-là qu'il publie sa première dissertation : Pensées sur la véritable évaluation des forces vives. En 1755[->148], il obtient une promotion universitaire grâce à une thèse sur le feu[->149] et une habilitation grâce à une dissertation sur les principes premiers de la connaissance métaphysique[->150]

| |Dali, Le dur et le mou, Sortilège et magie des formes, Sculptures et Objets, Robert et Nicolas Descharnes, éditions ECCART, 2003 : N. | |427-429, p. 169 | |1 200 / 1 500 €

Aubry, André, «La vision tragique de Georges Bernanos dans La Joie», mémoire de maîtrise, 1962, ii, 191 p. Dir. : Pierre Angers. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1962 v.005; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1962 v.005. Aubry, Jean-Marie, «Pascal : résonnances jansénistes dans les Pensées», mémoire de maîtrise, 1951, vi, 112 p. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1951 v.008; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1951 v.008. Babinski, Richard, «Copernic humaniste», mémoire de maîtrise, 1966, viii, 113 p. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35

b)(a – b) = a × a – a × b + b × a – b × b = a2 – ab + ba – b2. (a + b)(a – b) = a2 – b2. b. (x – 3)2 = x 2 – 2x × 3 + 32 = x2 + 6x + 9. • (1 – 4t)2 = 12 – 2 × 1 × 4t + (4t)2 = 1 – 8t + 16t 2. • (3y – 1)(3y + 1) = (3y)2 – 12 = 9y 2 – 1. 8 a. Djibril pense : 992 = (100 –1)2 = 1002 – 2 × 100 × 1 + 12 = 10 000 – 200 + 1 = 9 801. b. • 1052 = (100 + 5)2 = 1002 + 2 × 100 × 5 + 52 =10 000 + 1 000 + 25 = 11 025. c. 61 × 59 = (60 +1)(60 –1) = 602 – 12 = 3 600 – 1 = 3 599. 9 a. • A = 2x2 + 3x Première méthode

hideusement pour susciter l’effroi. Il n’est que de les nommer pour provoquer une tension émotive insurmontable qui est vécue comme une insulte au droit au bonheur qui fonde la société épicurienne. Celle-ci devient « l’incarnation même de cette pensée morbide qui rejette »20 la mort innommable au profit d’une vie bavarde. Pour loquaces que soient les sciences de l’homme au regard de la famille, du travail, de la politique, des loisirs et de la sexualité, il reste qu’elles font montre d’une discrétion

Surréalisme à Paris III pendant les deux années universitaires 2004-2005 et 2005-2006. Ce travail de contextualisation se référera aux travaux des historiens sur cette question des intellectuels au XXe siècle, et surtout à deux ouvrages de référence : de Pascal Ory et JeanFrançois Sirinelli, Les Intellectuels en France de l’affaire Dreyfus à nos jours, Armand Colin, 1992 et de Michel Winock, Le Siècle des intellectuels, Seuil, 19971. Pour analyser ces figures de surréalistes en intellectuels, il faudra faire