Patrick Le Lay

entreprend tout ce qu’elle peut pour manipuler le consommateur. L’auteur démarre son explication par la citation provocante de Patrick Le Lay, ancien PDG de TF1, « A la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca Cola, par exemple, à vendre son produit […]. Ce que, nous vendons à Coca Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible. ». Il est vrai que cette citation de Patrick Le Lay a bouleversé le monde de la publicité en 2004. Cette phrase permet à Marie Bénilde de parler des études scientifiques sur

Selon elle, la publicité est de plus en plus néfaste sur le consommateur ainsi que sur le contenu des médias qui la véhicule, en effet ces derniers ne joueraient qu’un rôle de fabricants de « temps de cerveau humain disponible » comme l’a dit Patrick Le Lay, le PDG de TF1 en 2004. En réalité, elle cherche à découvrir la limite des moyens usé par la publicité pour agir sur le consommateur. Structure : Le livre est composé de 6 chapitres précédés d’une introduction et suivi d’une conclusion général

permit de renforcer la domination de la société de consumérisme. Prenons un exemple qui a crée la polémique, selon l'ancien PDG de TF1, Patrick Le Lay, la télévision doit divertir et détendre le téléspectateur pour mieux le préparer entre deux messages. « Ils vendent à Coca-Cola du temps de cerveau humain disponible ». On peut faire le rapprochement entre Patrick Le lay et Octave Mouret, le directeur de TF1 serait le Octave Mouret contemporain, leur but est similaire, pousser la consommation à son plus

d'être une machine fonctionnant au service des grandes entreprises diffusant des séquences de publicité (les "annonceurs"). La déclaration de Patrick Le Lay, président de la première chaîne française TF1 sur son rôle de vente de "temps de cerveaux disponible" aux annonceurs a été interprétée par ces associations comme un aveu de la réalité de la télévision. Le Lay avait déclaré en juillet 2004 : "dans une perspective 'business', soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola,

d'être une machine fonctionnant au service des grandes entreprises diffusant des spots de publicité (les "annonceurs"). La déclaration de Patrick Le Lay, président de la première chaîne française TF1 sur son rôle de vente de "temps de cerveaux disponible" aux annonceurs a été interprétée par ces associations comme un aveu de la réalité de la télévision. Le Lay avait déclaré en juillet 2004 : "dans une perspective 'business', soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola,

possible licenciement lorsque le journaliste est salarié, et a fortiori lorsque son statut est plus précaire (pigiste). Exemple : après qu'un de ses salariés (Pierre Carles) a fait un reportage (Pas vu à la télé) sur une conversation privée entre Patrick Le Lay et Gérard Longuet, la chaîne Canal+ n'a pas diffusé le reportage qu'elle avait elle-même commandé et a cessé de travailler avec ce journaliste.

n'est pas le seul à se la poser. Certains patrons de chaînes de télévision ou de radio sont ainsi de plus en plus nombreux à annoncer l'intensification de leur présence sur le Web. Lors de la présentation des résultats de TF1 en février dernier, Patrick Le Lay, PDG du groupe, n'hésitait pas à affirmer : "nous allons mettre le booster dans tout ce qui représente les nouveaux supports, les nouvelles technologies". Dans la foulée, la chaîne annonçait la signature d'un accord éditorial et commercial avec

Tellement brutale, mais tellement vraie, la sortie de Patrick Le Lay, alors PDG de TF1, avait fait grand bruit : "Pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible." Ce que Patrick Le Lay n'imaginait sûrement pas, c'est à quel point ce rapprochement

technologique et notamment les technologies numériques. Il est connu du grand public entre autres pour son rôle d'analyste dans le documentaire de Christophe Nick et Jean Robert Viallet Le temps de cerveau disponible. En partant de la phrase de Patrick Le Lay, ancien directeur de TF1, « Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible », Bernard Stiegler expose son analyse d'une société poussée à un comportement pulsionnel par des stratégies marketing court-termiste. En

notre cerveau ». Cet argument est tout particulièrement dirigé contre les campagnes de positionnement des marques, dont le but est de graver une marque dans l'esprit du consommateur, plutôt que de décrire les qualités du produit. Le propos de Patrick Le Lay, PDG de la chaîne privée française TF1, fait date : « Mon travail est de vendre du temps de cerveau disponible à Coca-Cola »51. La publicité donne l'avantage au commanditaire sur le consommateur : le consommateur reçoit passivement une information