Pâturage

en contrôlant ou excluant les activités humaines de ces aires protégées. 4 PRÉSERVATION DES PÂTURAGES Le pâturage peut être pratiqué librement d’une manière continue ou discontinue, ce qui entraîne le gaspillage d’une quantité importante d’herbe. C’est pourquoi les techniques de pâturage rationné ont été créées : les herbages sont cloisonnés. Dès que les animaux ont terminé de brouter le pâturage d’une des divisions, on les fait passer dans une autre. Cette méthode de division des prairies

d’importantes ressources naturelles mais souvent non prises en compte ou mal exploitées. Au Niger, l’imprévisibilité et l’irrégularité des précipitations entraînent une dispersion fréquente des ressources et des variations constantes dans le niveau biomasse (pâturage) disponible pour les animaux d’une année à une autre et même au cours de l’année (Lorenzo Cotula, 2006). La situation alimentaire elle reste instable. Paradoxalement, la population accroît à un rythme accéléré 3,3% (le Niger en chiffres, Edition

ARTICLE 2 : Modalités de gestion (NATURE DU PATURAGE, calendrier, chargement, parcelles) Le pâturage est extensif en enclos et exclusivement ovin et caprin. D’une manière générale, pour ce qui concerne la nature du pâturage, ses durées et périodes, il sera fait référence au calendrier annuel situé à l’article 3 et établit en accord entre les deux parties. ARTICLE 3 : Modalités de pâturage La gestion consiste à la mise en place de pâturages à des dates précises et durant une période déterminée

d’implantation des pâturages est aujourd’hui plus rapide sur les fronts pionniers d’Amazonie orientale qu’il n’a été une vingtaine, voire une dizaine d’années auparavant. Une seule culture vivrière (roça), le riz pluvial étant la plus fréquente, précède ou accompagne la plantation de la graminée fourragère. Ce fait est caractéristique d’une transition technique entre l’agriculture sur brûlis et l’élevage extensif, deux systèmes relativement incompatibles. En effet, l’implantation d’un pâturage limite, sinon

pendant le traitement. Il s’agit (1) des œufs et des larves de vers (sensibles) présents sur les pâturages et (2), des vers présents chez les animaux non traités (lorsque par exemple le cheptel n’est traité que partiellement). Lorsque la population refuge est restreinte, les œufs/larves ayant survécu au traitement, et éventuellement résistants, joueront un rôle important dans la contamination du pâturage (pression de sélection élevée). Inversement, lorsque le nombre d’individus refuges est élevé, les

ne souhaite pas négliger la part du pâturage car le parcellaire est adapté et c'est le moyen le moins cher pour produire du lait. Mais il ne pourrait pas maintenir son niveau de production toute l'année sans le maïs ensilage. C'est le fourrage principal de la ration des vaches, elles en consomment toutes l'année. Le maïs ensilage est apporté à raison de 14 Kg de MS/VL/jour en hiver. Au printemps cette part diminue (à partir de mars), pour laisser place au pâturage. Les vaches ingèrent donc 10 puis

points d'eau ; - Couloir de passage et axe de mobilite : les pistes, routes, chemins ou itineraires utilises pour Ie deplacement des troupeaux a I'interieur des espaces pastoraux ou sylvo­ pastoraux ou pour acceder aces espaces. Article 3 Le paturage des troupeaux et la transhumance pastorale doivent s'effectuer dans Ie respect du droit de propriete d'autrui, de la preservation des ressources pastorales et des potentialites des espaces pastoraux et sylvo-pastoraux, des droits d'usages sur

repousse au pâturage d'automne produisent des réserves bien plus importantes. Parallèlement, les systèmes comprenant de plus courtes périodes de repousse produisent des fourrages contenant plus de protéines brutes et d'énergie dans les pâturages d'automne. Compte tenu de leurs excellents potentiels de rendement surtout en automne, de leur très bonne résistance à l'hiver et de leur grande tolérance à la sécheresse, leur utilisation va croitre d’année en année, autant dans les pâturages d'été que dans

avec de petites collines .L’altitude varie de 500 m à 2 850 m Les Prairies sont dominées par une seule couche d’herbe. Leur hauteur dépend de la pluviométrie et de l’intensité de pâturage. Les arbres sont absents, sauf dans quelques habitats localisés. Les Géophytes sont souvent abondantes. Les gelées, le feu, le pâturage permettent la domination d’herbe et empêchent la création d’arbres. Le surpâturage a tendance à augmenter la proportion de plantes pionnières, rampante et les graminées annuelles

désigne comme le « paradis terrestre » (étonnant n’est-ce pas ?), il parle alors de « collines verdoyantes », « de larges fleuves *…] où coule une eau fraiche et pure, pullulant de poissons », de montagnes peuplées de toute sorte d’arbres, de fabuleux pâturages où vit le gibier… - l’isthme de Suez, où il parle de « circulation fabuleuse : des mammouths, des foules de girafes de lions, d’hippopotames ». Dire qu’aujourd’hui on y voit passer de gros bateaux chargés de containers… - l’Europe gelée (car traversant