Paul Durand-Ruel

cette mode. Passage Vivienne, 1823, Paris par Delannoy Mélange néoclassique / armatures métal et verre ( 1er pas vers une architecture industrielle (contre incendie) Passage Nantes, 1843. Idem palais / armature métalliques Eglise Saint Vincent de Paul, Paris, Hittorff (=archi de la place de la Concorde), 1824-1844. En couleur au moment de sa conception, retour à la polychromie antique. Juste la nef, pas de transept, fronton comme temps grec, 1ère construction polychrome, imitation des bâtiments

Félix Vallotton : Félix Edouard Vallotton naît le 28 décembre 1865 à Lausanne où son père Adrien Valloton tient une droguerie. Paul Vallotton son frère est né en 1864, lequel deviendra plus tard marchand d'art. Sa soeur Hélène naît en 1867.  Quand il a dix ans, Félix Edouard entre au collège classique cantonnal à Lausanne, et suit des études tout à fait honorables jusqu'en 1882, date à laquelle il obtient son baccalauréat en latin-grec, tout en manifestant déjà son goût pour les arts et la peinture

Brunelles « Comment vivre avec une personne atteinte de handicap moteur ? » 18. N. Caillot « Faire face aux violences du quotidien » 19. G. Calvès « La discrimination positive » 20. Capul et Lemay « De l'éducation spécialisée » Jean-Paul Céré « La prison » 21. H. Chabrol « La dépression chez l’adolescent », Que sais-je ?n°2437 22. P. Chalon «  De la bienveillance à la bientraitance » 23. F. Chobeaux « Intervenir auprès des jeunes en errance » 24. Y. Clot « Le travail

Alfred Sisley fréquente aussi l'atelier de Gleyre.Il se fait souvent prêter de l'argent par ses amis mais ses tableaux sont souvent saisis au point qu'il fait une tentative de suicide au printemps 1868. La rencontre en 1873 avec le marchand d'art Paul-Durand Ruel qui devient son vendeur attitré et lui verse une rente mensuelle, lui permet de sortir de ses problèmes financiers. Un de ses modèles, Camille Doncieux, deviendra quelques années plus tard son épouse. Elle lui servit plusieurs fois de modèle

Vie quotidienne Les toiles représentent souvent des scènes simples de la vie quotidienne, au travail, en famille, pendant les loisirs. Tableaux de groupes ou intimistes, avec des gens ordinaires. Les peintres impressionnistes les plus célèbre sont Paul Cézanne, Edouard Manet, Claude Monet, Alfred Sisley, Pierre-Auguste Renoir… 3. La Musique La musique impressionniste est un type musical appartenant à l'époque moderne qui vit le jour en Europe dans le dernier quart du XIXe siècle et dont le

teledoc le petit guide télé pour la classe 2006 2007 Les Nymphéas, le grand rêve de Monet Un documentaire de Jean-Paul Fargier, Pierre Georgel et Judith Wechsler (2006), coproduit par France5, Les Films d’ici et le musée de l’Orangerie, diffusé dans Un soir au musée, magazine présenté par Laurence Piquet. 52 min Ce documentaire tourné en HD aborde l’aventure artistique unique que constitue la création des Nymphéas, ce monument de modernité offert par Claude Monet à la France au lendemain

NIEUWERKERKE, Alfred-Emilien, Rapport sur la situation des musées impériaux pendant le règne de S. M. Napoléon III, 1853-1869, Paris, 1869. OLLENDORF, G. et P. DUPRÉ, Traité de l’administration des Beaux-Arts, Paris, 1885, 2 vol. PAUL-BONCOUR, Josephe, Art et démocracie, Paris, Paul Ollendorf, 1912. PROTH, M., Voyage au pays des peintres, Salon de 1875, Paris, 1875, p. 11. PROUST, Antonin, «Edouard Manet», Exposition de l’Ecole des Beaux-Arts, Paris, 1884. *G-D PROUST, Antonin, L’Art sous la République

particulier Cézanne où il voit les prémices d’une nouvelle peinture. Très vite il acquiert la conviction qu’il veut être marchand d’art, « non un créateur, mais plutôt, (…), un intermédiaire dans un sens relativement noble » : Ambroise Vollard et Paul Durand-Ruel seront des guides, « ses maîtres ».En 1904, il fait la connaissance de sa future épouse, Lucie Godon, avec laquelle il vit en union libre, sa famille s'opposant au mariage. Non seulement Lucie a deux ans de plus mais elle est en outre mère d'une

«un devantier», une robe un «dress», une poche une «pouque»[10]), ou lorsqu'il s'intéresse à la langue des journaux, relève des petites annonces ou les enseignes insolites, il rejoint les témoignages d'époque. On citera par exemple le témoignage de Paul Stapfer, arrivé en août 1866 comme french master au collège royal Élizabeth de Guernesey, où il resta trois ans : A la campagne, on parlait, on parle encore français, comme peut en faire foi cet écriteau généralement placé à l'entrée des terrains

tableau de Claude Monet, Impression soleil levant (1872), que l’impressionnisme doit son nom. En mai 1874 se tient en effet dans les ateliers du photographe Nadar une exposition de jeunes peintres indépendants (parmi lesquels on trouve Claude Monet, Paul Cézanne, Pierre Auguste Renoir ou encore Alfred Sisley). Pour la petite histoire, l’exposition avait lieu boulevard des Capucines et ils ont failli s’appeler « les capucines ». La manifestation provoque un scandale et les critiques fusent. C’est ainsi