Paul IV

la pression fiscale seigneuriale), les constants affrontements entre Plantagenêts et Capétiens pour la souveraineté et le contrôle des fiefs de Guyenne et, enfin, le conflit dynastique pour la couronne de France qui naît en 1328 à la mort de Charles IV. La guerre connaît plusieurs phases. L'Angleterre remporte d'abord de nombreuses victoires, avant que la France ne reprenne l'ascendant à partir de 1364 ; en 1378, les Anglais ne contrôlent ainsi plus que quelques villes sur le continent. À compter

ecclésiastiques essaye de prouver leur souveraineté mais le pouvoir royal se reconstruit dans un premier temps grâce au lien qu'il possède avec l’Église. Le règne de Philippe IV Le Bel (roi de France de 1285 à 1314), constitue un tournant majeur dans l’histoire du royaume de France car à la fin du XIIIème siècle, Philippe IV Le Bel alors roi de France va rependre une phrase célèbre de Jean de Blanot qui « le roi de France est empereur en son royaume » dans le but d'affirmer la souveraineté du roi

attisée par tant de richesses , richesse rapidement amassée puisque les Templiers léguaient tous leurs biens à leur ordre . Le fait de mener une vie sans rapport avec l'idéal monastique initial est alors jugé inacceptable. Par ailleurs, le pape Clément IV leur lança même un avertissement, soit de ne pas oublier leurs vieilles valeurs et raisons de servitude. La royauté désirait contrôler les templiers, mais ceux-ci étaient sous l’autorité du Pape . Il souhaitait par ailleurs la fusion de l’ordre du Temple

dépression médiévale qui rend la fiscalité seigneurial plus lourde. Puis il y a les conflits franco-anglais pour la souveraineté de la Guyenne. Et enfin, le conflit dynastique pour la couronne de France qui nait en 1328 à la mort de Charles IV dernier fils de Philippe IV. Malgré ces différents événements le roi ou parfois les grands du royaumes cherche à garder une certaine stabilité dans le royaume français. Il sera alors mis en place différentes dispositions face à la dévolution de la couronne, des

d'avance. Comme son père, il a l'ambition balzacienne de faire fortune mais en devenant écrivain49. Toutefois, éthéromane25, il abandonne définitivement38 les études à la rentrée suivante, en novembre 196247, en désertant l'internat50 du lycée Henri-IV à Paris où il a été inscrit en philosophie51. Sa belle-mère refuse de l'héberger chez elle, quai Conti, à quelque dix-huit cents mètres de là47. Il vient habiter, à la place de son père, chez sa mère52. Là, neuf mois plus tôt, en février 196248,

en 1943. Georges retourne à Paris en 1945 où il est adopté par sa tante. Profondément marqué par la disparition de ses parents, il entame une psychothérapie avec Françoise Dolto en 1949. Il a alors 13 ans. En 1954, après une hypokhâgne au Lycée Henri-IV, il commence des études d'histoire qu'il abandonne vite. En 1960, marié, il part pour Sfax en Tunisie d'où il revient l'année suivante. (La région a son importance ; elle sera la destination de Jérôme et Sylvie, personnages du roman).Ce n’est qu’en

Alfred de MUSSET (1810-1857) Alfred de Musset, est né le 11 décembre 1810 à Paris dans un milieu aisé et cultivé, doué de grandes facilités. Après d'excellentes études au Lycée Henri IV, il entreprend des études de droit et de médecine, qu'il ne termine pas. Il est introduit à 18 ans, au Cénacle romantique chez Hugo et chez Nodier. Précoce, brillant, célébré, il publie son premier recueil de vers, Contes d'Espagne et d'Italie (1829), à l'âge de dix-neuf ans et remporte un succès immédiat. Malgré

1 page 139 Les principales fonctions de Paris au XIIIe siècle sont: -l’administration royale (Palais) -la justice (Église, communautés religieuses) -l’éducation (écoles, universités) -le commerce (ports, ponts, etc) -la médecine (établissements hospitaliers) 2 page 139 L’accord conclu entre le roi et l’évêque prévoit les droits de ce dernier. L’évêque aura les profits de la justice pour les coupables pris sur sa terre et il percevra tous les ans 20 livres à la Toussaint sur la prévôté de

préalable du chancelier et du conseil ainsi que l’enregistrement du Parlement et de la Chambre des comptes. Des règles successorales strictes facilitent ainsi le retour des apanages au domaine. De cette manière, en 1318 et 1322, Philippe V et Charles IV annulent des dons royaux accordés depuis la mort de Louis IX. Toutefois, prononcer des révocations d’aliénations ne revenait pas à les interdire. En 1329 lors d’une assemblée tenue à Vincennes, le représentant du roi, Pierre de Cugnières, lance l’idée

cette époque règne Philippe IV le Bel, depuis 1285, et est nommé « le roi de fer ». Il a considérablement renforcé le pouvoir royal, mais dans un cynisme absolu et sans aucun scrupule. Il y aura d’abord une histoire d’impôts, puis une question de juridiction entre les deux, ce qui trahit en fait le conflit de supériorité entre les deux hommes. Après les histoires de juridiction, où le pape menace d’excommunier le roi et où le roi demande la déposition du pape, Philippe IV va envoyer Guillaume de Nogaret