Paul Valéry Les Pas Analyse

d’ordre moral ; elle invite à pointer l’ambiguïté du rire et en particulier les sources impures auxquelles il peut s’alimenter. Reste que, quels que soient les scrupules moraux qu’une certaine pratique du rire fonde, la question est, en dernière analyse, de savoir s’il est légitime de traduire ces réserves en interdits juridiques. Faut-il interdire de rire et organiser une police des mœurs, ce qui est le propre de tous les totalitarismes ou bien faut-il sauvegarder la liberté souveraine de l’esprit

est leur objectif ? C) La problématique Problématiques possibles : Comment l’art peut-il faire du poilu un symbole du pacifisme ? Comment Tardi remplit-il un devoir de mémoire envers les anonymes de la Grande Guerre ? II. Description et analyse de la planche p. 19 Tome II A) L’organisation et la tonalité de la planche Comment est organisée la planche ? Pourquoi ce choix ? Quel type de plan est utilisé sur cette page ? Quel est l’effet recherché ? Quelle est la tonalité générale des

courants de pensée y sont représentés : d’Hippocrate à Andy Warhol ; de Pablo Picasso à Plotin ; d’Emmanuel Kant à Jean Cocteau, etc. Dans ce florilège de penseurs, il faut bien signaler que tous ne vont dans le même sens, mais comme nous avertissait déjà Paul Léautaud, dans « Propos d’un jour », « il n’est pas de sentences, de maximes, d’aphorismes, dont on ne puisse écrire la contrepartie ». J’ai aussi essayé de rassembler des personnages de cultures et de langues diverses, parce qu'en tant que catalan

ainsi comme exemple la Cour de Louis XIV qui donne le ton à tout le royaume. Mais cet idéal est contesté par l’art de XIXème siècle qui est devenu un art insurgé, un art révolté (avec la naissance de notion d’« artiste maudit »). C’est ce qu’Hannah analyse avec la notion de « philistin » : bourgeois matérialiste inculte qui fait de l’art un simple marché. Mais finalement pire que le simple philistin, naît le « philistin cultivé » : le snob qui utilise la culture afin de marquer sa réussite sociale.

précis, mais à travers la diversité de leurs attitudes, quelques préoccupations communes les unissent solidement. Tous tombent d'accord pour affirmer la grandeur de la création littéraire. Tous font aussi de la psychologie du sujet le centre de leur analyse. Cette célébration de la littérature et de l'individu est en fait une défense contre un sentiment de malaise, plus ou moins avoué, dans une société où la guerre et ses suites font naître des interrogations multiples. A partir des années '30, la plupart

d'accentuer le message. 1. Être le jour qui monte et l’ombre qui descend. - Anna de Noailles 2. Zazie se tient de grands discours avec sa petite voix intérieure. - Raymond Queneau 3. Tu fais des bulles de silence dans le désert des bruits. - Paul Éluard • L'ironie - l'antiphrase L’antiphrase consiste à dire le contraire de ce que l’on pense. Toutefois, pour qu’il y ait réellement ironie, il faut faire remarquer que l’on ne pense pas ce que l’on dit. 1. À l’oral, l’ironie est plus facile

précis, mais à travers la diversité de leurs attitudes, quelques préoccupations communes les unissent solidement. Tous tombent d'accord pour affirmer la grandeur de la création littéraire. Tous font aussi de la psychologie du sujet le centre de leur analyse. Cette célébration de la littérature et de l'individu est en fait une défense contre un sentiment de malaise, plus ou moins avoué, dans une société où la guerre et ses suites font naître des interrogations multiples. A partir des années '30, la plupart

véritable ennemi : le pouvoir , les classes dominantes, etc… qui utilisent l’antifascisme pour détourner l’attention de la population (ultra-gauche en la personne de Pierre Guillaume pour avoir révolution : ) d) Méthodes : * Pseudo-scientifique ; analyse des sources (mais sorties du contexte, seulement quelques expressions… ), se présentent comme des historiens en quête de preuves. * Utilisent incohérence de certains témoignages, faux, pour en déduire que tout est faux : ainsi l’invention du « savon

syllabes et assemble des vers de longueurs variées à la fin du XIX°; cette pratique se généralisera après avoir été mise en œuvre par Arthur Rimbaud dans les Illuminations (1874). Le verset désigne un vers plus long, irrégulier, employé au XX° par Paul Claudel ou Saint-John Perse 2. Le rythme du vers a) Coupe et césure En français, la dernière syllabe non muette est accentuée. Les accents de cette nature entraînent des pauses que l’on appelle des coupes qui sont mobiles dans le vers. La

syllabes et assemble des vers de longueurs variées à la fin du XIX°; cette pratique se généralisera après avoir été mise en œuvre par Arthur Rimbaud dans les Illuminations (1874). Le verset désigne un vers plus long, irrégulier, employé au XX° par Paul Claudel ou Saint-John Perse 2. Le rythme du vers a) Coupe et césure En français, la dernière syllabe non muette est accentuée. Les accents de cette nature entraînent des pauses que l’on appelle des coupes qui sont mobiles dans le vers. La