Paul Verlaine Le Faune

(1751-1766) ; Le Paradoxe sur le comédien (1773) • J.-J. Rousseau. Du Contrat social (1762) ; Les Rêveries d’un promeneur solitaire (1782) Littérature narrative • J.-J. Rousseau. Julie ou La Nouvelle-Héloïse (1757) (roman sentimental) • B. de Saint-Pierre. Paul et Virginie (1788) (roman sentimental et exotique) Littérature narrative • Restif de la Bretonne. Le Paysan perverti (1775) • Marquis de Sade. Justine ou les malheurs de la vertu (1791) • Choderlos de Laclos. Les Liaisons dangereuses (1796) 14.3

(forme et contenu) « l’art pour l’art ». Le modèle est le peintre, le sculpteur. La poésie est descriptive, picturale, accordant la première place à l’univers sensoriel, la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher. Les thèmes sont la nature : faune et la flore ; l’exotisme et l’histoire. Poètes parnassiens : Leconte de Lisle, José Maria de Hérédia, Sully Prudhomme, Théophile Gauthier. Poète parnassien, Leconte de Lisle est un remarquable peintre animalier (idée générale). « Le sommeil du condor »est

d'Isaïe ; La Politique tirée des propres paroles de l'Écriture sainte (posthume) ; Traité de la connaissance de Dieu et de soi-même (posthume) ; Sermons (posthume) ; Oraison funèbre de Henriette-Marie de France | Classicisme | De Gondi | Paul (Cardinal de Retz) | 1613-1679 | La Conjuration du comte Jean-Louis de Fiesque ; Mémoires de M. le cardinal de Retz ; Mémoires du Cardinal de Retz, contenant ce qui s'est passé de plus remarquable en France pendant les premières années du règne

philosophique et religieux de son œuvre. Chez Hugo, c’est la mort tragique de sa fille Léopoldine et de son gendre qui vont alimenter sa veine élégiaque la plus profonde (cf. les Contemplations). Mallarmé et Verlaine vont faire également des tentatives élégiaques. Verlaine pratique l’élégie familière et l’élégie latine (ce peut être aussi un poème d’invective ou un poème familier). Le grand élégiaque moderne, c’est Guillaume Apollinaire — cf. tous les poèmes d’Alcools, surtout le

Les Fêtes galantes de VERLAINE Eléments d'interprétation Première interprétation Dans son second recueil de 22 poèmes, Verlaine s'inspire de Watteau et des autres peintres qui, au XVIIIe siècle surtout, ont évoqué les plaisirs d'une société élégante et frivole. Sous le nom de fêtes galantes, on désignait alors une variation sur le thème du théâtre : des personnages élégants se livrant à des songes amoureux et à des conversations tendres. A la différence des Poèmes saturniens, le livre n'est

échangent les uns-les-autres peu faisant des frontières. Ainsi nous retrouvons dans la musique des inspirations et des philosophies correspondants aux mouvements de l'époque : L'Impressionnisme : attaché à la musique se comprend grâce à l'oeuvre de Paul Verlaine Art poétique (1874) où il défend le flou, l'extase qui remplace l'émotion. Le mouvement est effectif en musique de 1902 avec l'oeuvre de Debussy, Pélléas et Melisande et se termine en 1918, année de sa mort. Le Néoclassicisme : antiromantique

idéal poétique à travers cette forme artistique comme Henri de Régnier qui rendit hommage à Renoir et Watteau entre autres. Il appartiendra au mouvement surréaliste d’établir une fraternité idéale entre la peinture et la poésie grâce à des poètes comme Paul Eluard, ou encore Francis Picabia( peintre également). Le poète devant une feuille comme le peintre devant une toile, rêve, imagine puis crée. Il donne vie, réalité à des émotions et des images intérieures. La peinture et la poésie sont deux formes

Haruki Murakami, 1Q84 et Kafka sur le rivage Nerval, Aurélia Georges Perec, Les Choses Arthur Rimbaud, « Rêvé pour l'hiver » et « Aube » J. K. Rowling, Harry Potter (le miroir, le patronus) Jean-Paul Sartre, Les Mots (rêveries enfantines) Jules Vallès, L'Enfant (rêveries autour de Robinson Crusoe) Paul Verlaine, « Mon rêve familier » Virgile, Enéide (rêves de Didon et d'Enée, chant IV) Essais Gaston Bachelard, L'Air et les songes ; La Poétique de la rêverie Charles Baudelaire, « La reine des facultés

œil visionnaire voyait distinctement… », le voyant est celui qui voit au-delà des apparences , qui est en relation avec le divin. Le peintre voit des créatures surnaturelles, mythologiques ,on est immergé dans le merveilleux, l’irrationnel : « le faune aux doigts palmés, le sylvain aux yeux verts, Pan qui revêt de fleurs l’antre où tu te recueilles ».Ce poème emprunt de romantisme nous dévoile un peintre fasciné par « un monde hideux » où les « rameaux tordus font cent coudes difformes » ce qui fait

de la tribu ». La poésie, le vers sont le moyen de compenser la faiblesse du langage, la déperdition de sens des mots. Il joue sur les torsions de la syntaxe, une écriture éclatée, sur la disposition typologique sur l’espace de la page ; (voir « le faune »). 1.2.2. Se caractérise surtout par son idéal du poète pur, qui se détourne résolument du réel : Je fuis et je m’accroche à toutes les croisées D’où l’on tourne l’épaule à la vie et, béni, 2 Dans leur verre, lavé d’éternelles rosées, Que