Paul Verlaine ô Triste Triste était Mon âme

du Mal est l’objet principal de notre étude. Le choix de ce sujet n’était pas par hasard, parce que lorsqu’on parle de Baudelaire, on parle de tout un siècle. on parle d’un écrivain, d’un poète et d’un critique au même temps. Ainsi, Baudelaire était l’un des premiers qui ont scandalisé la scène littéraire par leurs créations. La deuxième raison de ce choix, c’est l’influence poétique, après avoir lu les écritures de Baudelaire, on veut comprendre plus en plus le sens de cette poésie, on veut

d’analyse CHAPITRE 1 : LE DISCOURS ET L’ÉNONCIATION p. 456 Fiche 1 : Les formes de discours ■■ Exercices pp. 456-457 1 Reconnaître une forme de discours 1. Descriptif : la description des voyageurs occupe tout le premier paragraphe (« L’une était vieille », « L’autre, très chétive, avait une tête jolie »). À partir du troisième paragraphe, le discours descriptif se poursuit par le portrait de Boule de Suif : « Petite, ronde de partout, grasse à lard, avec des doigts bouffis ». La description

- P RO PO S ............................................................................................ 3 T A BL E D E S CO RP U S ........................................................................................ 4 R É P O N S E S A U X Q U E S T I O N S ............................................................................... 5 Bilan de première lecture (p. 324)..................................................................................................................

formelle. Ainsi, dans “Soleil couchant”: “Et le soleil couchant[...] / Ferme ses branches d’or de son rouge éventail”. Théodore Banville, le jongleur verbal de L’Ode funambulesque, a également mis en avant l’intérêt et la valeur de la rime, ce que Verlaine rejettera au bénéfice de l’assonance. Ce souci de perfection verbale et esthétique, cette recherche de la beauté pour elle-même, est ainsi une expérience poétique qui s’apparente à une attitude de repli. La recherche de l’hermétisme, de l’obscurité

souffre et qui cherche d'autres rives^ d'autres cieux où la vie soit moins âpre et moins Ces la premiers voyageurs ne sauraient imaginer mentalité d'une M"^^ de Staël écri- la vie. » Voyager est un des plus tristes plaisirs de Pour eux^ au contraire^ le voyage, l'exode^ c'est la vie meilleure réalisée. Qu'on imagine l'indicible bonheur des Cimbres et des Gaulois descendant des cimes glacées des Alpes et arrivant au rivage de la Méditerranée ou dévalant dans

clairement manifestée dans le poème de Baudelaire au titre symbolique « Heautontimorouménos » (Les Fleurs du mal), un Baudelaire écartelé entre le Spleen et l’Idéal. C’est dans cet air de désillusions, que s’élève le cri d’un Mallarmé : « La chair est triste, hélas !/ Et j’ai lu tous les livres », le même qui prône la « disparité élocutoire » du sujet, bien trop bancal, bien trop dérisoire, afin de laisser la parole aux mots, si tant est qu’ils aient encore quelque dumas-00498644, version 1 - 8 Jul

par une ou plusieurs lettres et la transcription des sons n’est que rarement la mise en correspondance d'un phonème et d'une lettre. Un phonème unique peut être marqué par une lettre, deux lettres ou même trois lettres. Exemples : le phonème "o" est marqué par o dans pot, par au dans Pau, par eau dans peau. Le phonème f peut correspondre à la lettre f, à la double lettre ff ou à ph (philologie). Le phonème v est dans la majorité des cas représenté à l'écrit par la lettre v (valise), mais il peut aussi

arbitraire. Paris : Gallimard, 1975. 282 p. ; couv. ill. en coul. ; 18 cm. Collection Poésie (Paris. 1966).. Recueil de textes partiellement extraits de diverses revues et publications, 1921-1975. ISBN 2-07-032154-1, ISSN 0768-0368 Cote : P DES Verlaine, Paul. Romances sans paroles. Paris : Belin, 2008. 95 p. ; 18 x 13 cm. Classicocollège. ISBN 978-2-7011-4873-1 Résumé : Le poète maudit vient de vivre des amours tumultueuses, des ruptures et des crises. Sa poésie se libère des contraintes de la versification

Il a acheté une nouvelle voiture car la sienne était très vieille. b) un pronom relatif : qui, que, quoi, dont, où, lequel, laquelle… on parle alors de proposition subordonnée relative ex : Il a acheté une nouvelle voiture dans un garage qui est situé au centre ville. c) une conjonction de subordination : que, parce que, quand….on parle alors de proposition subordonnée conjonctive. ex : Il a acheté une nouvelle voiture parce que la sienne était très vieille Elle apporte une notion de cause

classiques des sciences sociales" Une bibliothèque numérique fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http ://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web : http ://bibliotheque.uqac.ca/ Gaston Bachelard, La poétique de l’espace. (1957) [1961] 2 Politique d'utilisation de la bibliothèque des Classiques Toute reproduction et rediffusion