Paul éluard Ma Morte Vivante

carnets de croquis et 30000 estampes (gravures, lithographies, etc.) »1. Il est l'un des plus célèbres artistes du xxe siècle et on dit généralement que son œuvre a changé le cours de l'art moderne. Il est d'ailleurs le seul à avoir exposé de son vivant au musée du Louvre à Paris. Il avait alors 90 ans. Présentation de l'oeuvre, Ce tableau se nomme Guernica, il a été peint par Pablo Picasso entre le 1er mai et le 4 juin 1937. Il est exposé au musée de la Reine Sofia à Madrid. Il est en noir et

Rousseau, Les Confessions, Livres I et II, 1765-1767 Lectures analytiques : Œuvre intégrale, édition au choix Lectures cursives Documents complémentaires Objets d’étude : L’Autobiographie Problématique : « Qui se confesse ment » (Paul Valéry) Etudes transversales et thématiques : Rousseau par lui-même Le mythe de la transparence La tentation du romanesque La mythification du moi 1 – Le Préambule : « Je forme une entreprise [...] cet homme-là. » 2 – Livre I :

|Problématique : | |Rêveries du promeneur solitaire, 1776-1778fchâtel, | |« Qui se confesse ment » (Paul Valéry) | | | |

d'accentuer le message. 1. Être le jour qui monte et l’ombre qui descend. - Anna de Noailles 2. Zazie se tient de grands discours avec sa petite voix intérieure. - Raymond Queneau 3. Tu fais des bulles de silence dans le désert des bruits. - Paul Éluard • L'ironie - l'antiphrase L’antiphrase consiste à dire le contraire de ce que l’on pense. Toutefois, pour qu’il y ait réellement ironie, il faut faire remarquer que l’on ne pense pas ce que l’on dit. 1. À l’oral, l’ironie est plus facile à

et gracieuse 8 Mais si faut-il mourir 9 Le classicisme : 10 Epitaphe 11 Le siècle le plus anti-poétique : 12 La jeune Tarentine 13 Le romantisme : 14 L’enfant 15 Recueillement 16 Le parnasse : 17 La mort d'un lion 18 A une ville morte 19 Le symbolisme : 20 Mémoire IV 21 Apparition 22 Le surréalisme : 23 Le verbe être 24 La poésie moderne : 25 On frappe 26 Préface : J’ai longtemps cherché l’intérêt de la poésie : relater de belles choses, nous donner l’illusion

| |J'ai cueilli ce brin de bruyère  |Des milliers et des milliers d'années  | |L'automne est morte souviens-t'en  |Ne sauraient suffire  | |Nous ne nous verrons plus sur terre

nous nous aimons. Quel songe avons-nous fait Camille ? (…) Ô ! Mon Dieu ! Le bonheur est une perle si rare dans cet océan d’ici-bas ! c) Je suis le ténébreux, - le veuf, - l’inconsolé, Le prince d’Aquitaine à la tour abolie : Ma seule étoile est morte, - et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie. d) Coelio, rentrant. – Malheur à celui qui, au milieu de la jeunesse, s’abandonne à un amour sans espoir ! Malheur à celui qui se livre à une douce rêverie, avant de savoir où sa chimère

figurer l’échec de 1848, de la rencontre historique avec cette République elle même allégorisée en femme. L’historien Maurice Agulhon a souligné la parenté entre cette figure et les allégories traditionnelles de la République à cette époque, allégorie vivante, statufiée, mobile. Comme dans cette scène de L’Éducation sentimentale où Frédéric rate tout à la fois la révolution de 1848 et son rendez-vous galant, ici le sujet lyrique est renvoyé à l’échec du politique, impuissant à donner corps à ce qui n’est

faveurs. L’influence du poète se fait d’ailleurs grandement sentir dans les premiers poèmes que Breton publie dans la revue du néo-symboliste Royère, La Phalange : « Rieuse », « Saxe fin » et « Hommage ». Grâce à ce dernier, il fait aussi la rencontre de Paul Valéry, qui sera ensuite pour lui un lecteur et un critique assidu. De sa rencontre avec Vaché dont nous parlons dans le paragraphe suivant, Breton retiendra le concept d’« umour », proche de l’« humour de l’absurde » d’un Ionesco et d’un Beckett ;

(registre épique parfois pathétique, octosyllabes…) Le roman était lu à voix haute par un narrateur qui incitait les spectateurs à réfléchir. L’hypotypose : procédé qui incite par l’écriture à prendre à partie le lecteur et à rendre le récit plus vivant ( « ! », impératif). Le roman médiéval est une forme hybride alliant théâtre, poésie et chanson de geste. Il se construit grâce a 3 sources d’inspirations (à l’époque « matière ») : * La matière antique : il s’inspire des thèmes et des personnages