Paulin Talabot

vocation locale mais d'inspiration nouvelle : le Crédit lyonnais. Ses associés sont des hommes d'affaires et soyeux lyonnais à l'instar de Henry Jaubert, de Joseph Bellon, mais également de Genevois, des saint-simoniens comme Arlès-Dufour, Enfantin, Talabot et Chevalier, des personnalités, tel Eugène Schneider. Cette création est liée à la deuxième révolution bancaire du milieu du xixe siècle, qui voit une nouvelle génération de banques d'inspiration saint-simonienne organiser la collecte systématique

Orient par le biais de ces capitaux. Par ailleurs, les saint-simoniens sont même à l'origine de la création de nombreuse banques: le comptoir algérien de circulation fondé par Josué-Auguste Rey, la banque agricole de l'Algérie par Warnier ou encore Paulin Talabot, sous l'influence d'Enfantin, qui fonda la société générale. En sachant que les capitaux sont le principal vecteurs de l'impérialisme, cela génère des interrogations. Certes, on ne peut guère accuser les saint-simoniens d'impérialisme (ils ont

permettent une spécialisation de l'agriculture vers la monoculture viticole : le canal du Midi (dès le xviie siècle), sa liaison au Rhône par Sète (xixe) et enfin, l'apparition du chemin de fer à Nîmes dès 1839(développé rapidement grâce à l'industriel Paulin Talabot et notamment l'ingénieur Charles Dombre qui réalise un viaduc de 2 km de long au sud de la ville en raison du caractère inondable des bas quartiers). C'est une nouvelle ère de prospérité, au prix d'une sérieuse paupérisation de la classe ouvrière

à Lyon qu'Henri Germain, fils de soyeux âgé de 39 ans, fonde le 6 juillet 1863 une banque à vocation locale mais d'inspiration nouvelle : le Crédit Lyonnais. Ses associés : des hommes d'affaires lyonnais et genevois, des saint-simoniens comme Arlès-Dufour, Paulin-Talabot, Enfantin, des personnalités, tel Eugène Schneider. Cette création est liée à la deuxième révolution bancaire du milieu du XIXe siècle, qui voit une nouvelle génération de banques d'inspiration saint-simonienne organiser la collecte systématique

d'Euromediterranée , l'accents est mis sur de beaux discours, un graphisme idylique afin de promouvoir la restructuration. 17 4.2 Le patrimoine portuaire de Marseille Docks de la Joliette La réhabilitation des Docks de la Joliette, a été conçus par Paulin Talabot et construits entre 1858 et 1866. Le fait que ce soit un investissement privé à simplifié la décision de conserver les 80 000 m2 de l’édifice, considérés comme dignes de conservation, architecturale. Dans une période ou les dock font l'objet d'un

activité des conseillers C. Réévaluation des objectifs Conclusion PRESENTATION DE L’ENTREPRISE : A. Historique de l’entreprise : Les origines de la banque : 1864-1893 La banque a été fondée par un groupe d'industriels (dont Paulin Talabot qui en fut le premier directeur) et de la famille Rothschild sous le Second Empire, le 4 mai 1864, « pour favoriser le développement du commerce et de l'industrie en France ». Le premier président de la banque est l’influent industriel Eugène

warrants. Parmi eux sont considérés comme les quatre fondateurs officiels: ❖ Alphonse Grandval le seul à n’avoir aucune attache avec la finance de la capitale ❖ Victor Roux Directeur des Mines de la Grand’Comb et rattaché au groupe de Paulin Talabot ❖ Albert Rostand qui appartient à une famille de négociants très célèbres à Marseille. Il est également administrateur du Crédit Industriel et Commercial Administrateur puis Président des Docks et Entrepôts de Marseille. ❖ E.Rey de

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de la Compagnie des mines de La Grand-Combe et des chemins de fer du Gard (1836) commence : le chemin de fer alors le plus long de France (88 km de La Grand-Combe à Beaucaire) est construit de 1837 à 1840 par le polytechnicien et saint-simonien Paulin Talabot, qui fonde ensuite la compagnie du PLM. Le charbon cévenol voit s’ouvrir à lui les exportations marseillaises et méditerranéennes. De 30 000 t en 1830, la production de la Compagnie passe à 339 000 en 1847, une augmentation sans égale dans le

Grandes Ecoles (comme Polytechnique). Ils jouent souvent un rôle important dans la conduite des entreprises comme les Frères Isaac et Emile Pereire (créateurs du Crédit Mobilier, de L'Illustration et de la Compagnie Générale Transatlantique), comme Paulin Talabot (industriel et théoricien de la politique industrielle en Algérie) ou Michel Chevalier (inspirateur du Traité franco-anglais de Libre Echange de 1860). Mais leur utopisme et leur foi aveugle en l'organisation les poussent aussi aux dérives. Les