Pavé droit

EXPRESSION ECRITE N°2 Sujet : en exploitant les informations données par l’image de la page 41.Imaginer un extrait de récit rédigé selon un point de vue interne à un personnage de la photographie (25/30 l environ) Ce vendredi soir là, elle se promenait avec sa mère dans un des plus beaux quartiers, d’une des plus grande capitale. La nuit noire était déjà tombée sur cette grande avenue revêtue de son bel habit de lumière. Sa tête toujours levée vers le ciel, ses yeux écarquillés par les scintillements

part à la conquête de Paris, cependant, il n’a peu d’argent pour subvenir à ses besoins et donc très peu pour son ascension sociale. Cet esprit de conquête est explicité par le vocabulaire militaire : le héros est un « ancien sous-officier » « bat le pavé du talon »… Le texte se présente comme la mise en scène d’un destin en marche. Le rythme dynamique des phrase évoque cette marche conquérante et il y a multiplication des verbes de mouvement « il avançait brutalement… heurtant les épaules, poussant

LE PAVE MOSAIQUE Introduction : Je suis heureux, après plusieurs mois de silence et d’écoute de vous lire ce soir mon travail et mes réflexions sur le « Pavé Mosaïque », même si pour moi, il n’est pas chose facile de m’exprimer devant vous, mais il faut bien à un moment passer de l’ombre à la lumière ! Alors en espérant que le chemin parcouru soit suffisant pour quitter le grade d’apprenti, il m’a été proposé de travailler sur « le Pavé Mosaïque », et comme pour chaque travail de tenue

intitulée « Menasche Kadischman » Le « vide de la mémoire » Nature de l’œuvre : Il s’agit d’une installation*. Description de « Menasche Kadischman » Un flot de milliers de pavés d'acier circulaires vient s'échouer aux pieds du visiteur. Chaque pavé, percé de trous, figure le visage humain, yeux vides, bouche béante sur un cri inaudible. Un panneau signale que l'auteur a souhaité que le visiteur s'engage dans ce flot, marche sur les visages entassés devant lui, ce qui ne se fait d'abord que timidement

l'entrée des bâtiments, à proximité des places de stationnement, et à chaque point du cheminement accessible."* La ville est plutôt bien signalisée. Les trottoirs sont bien délimités par rapport à la route. Il y a une différence de pavé et souvent de couleur de pavé qui marque le contraste entre les 2 cheminements. De plus, les trottoirs étant surelevés, le contraste y est d'autant plus prononcé. 3.Le cheminement en pente "En cas de cheminement en pente, une bordure chasse-roues doit être

grimpés au toit d'une maison En font pleuvoir l'ardoise et la tuile à foison. Là, sur une charrette une poutre branlante Vient menaçant de loin la foule qu'elle augmente ; Six chevaux attelés à ce fardeau pesant Ont peine à l'émouvoir sur le pavé glissant. D'un carrosse en tournant il accroche une roue, Et du choc le renverse en un grand tas de boue : Quand un autre à l'instant s'efforçant de passer, Dans le même embarras se vient embarrasser. Vingt carrosses bientôt arrivant à la

Publié le 30 juin 2007 par M-D.S. Installé place Vendôme depuis 1986, Repossi, joaillier monégasque, fournisseur officiel de SAS le Prince souverain de Monaco a depuis toujours su concilier l'amour des belles pierres et l'éclectisme des styles. Bien que de facture classique, ses créations se libèrent parfois pour donner naissance à des lignes à l'esthétique innovante. Pour bousculer un peu les codes et attirer des clientes plus jeunes, Alberto Repossi s'est tout naturellement tourné vers sa fille

sortir des ténèbres pour recevoir la lumière. Autour du tableau de loge, comme pour nous rappeler qu’elle fait partie du sacré, et qu’elle entoure ce que nous avons de plus précieux au centre de ce tableau. Ce tableau est aussi posé au centre du pavé mosaïque, comme pour nous rappeler ou se situe le bien du mal par l’alternance de ses pavés blancs et noirs et du ciment qui les uni, comme la chaîne uni les hommes à la recherche du bien. Pour moi la chaîne d’union est un véritable moment de plénitude

découverte. On distingue quatre autres personnages aux abords de la barricade: deux enfants des rues – l'un coiffé d'un béret brandissant des pistolets de cavalerie, la bouche ouverte sur un cri, l'autre coiffé d'un bonnet de police s'agrippant au pavé – un bourgeois ou un étudiant à haut-de-forme, les genoux sur la barricade et un ouvrier portant béret, un sabre briquet à la main et sa banderole sur l'épaule. Les principaux protagonistes s'inscrivent dans un triangle dont le sommet est le drapeau

reprenait peu à peu de son aspect ordinaire. Les Français ne sortaient guère encore, mais les soldats prussiens grouillaient dans les rues. Du reste, les officiers de hussards bleus, qui traînaient avec arrogance leurs grands outils de mort sur le pavé, ne semblaient pas avoir pour les simples citoyens énormément plus de mépris que les officiers de chasseurs, qui, l'année d'avant, buvaient aux mêmes cafés. Il y avait cependant quelque chose dans l'air, quelque chose de subtil et d'inconnu, une atmosphère