Paysan De Paris

principale caractéristique est celle du travail, (mine) Flaubert Livre écris : Madame Beauvarit Caractéristiques et Thèmes L’ascension (volonté de monter les « échelles » sociales), puis une chute brutale ; Déterminisme (un paysan restera paysan, il ne peux pas devenir noble ou bourgeois) ; Monde du travail (Représente tout les métiers, mais il y-a un intérêt particulier pour les métier de la classe populaire) ; Intérêts pour les différences entre les classes sociales ; Focalisation

Ou Le mari confondu Comédie Par J.-B.P. de Molière 1. Présentation du dramaturge Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est né à Paris en 1622. Il est issu d’une famille aisée et se retrouve l’aîné de six enfants. Pourtant ses frères et sœurs ne survivent pas. Sa mère meurt quand il a dix ans. Jean-Baptiste poursuit huit ans d’études à Paris. En 1643 il fonde l’Illustre Théâtre. En 1644 il prend le nom de Molière, mais il n’a jamais évoqué la raison. L’Etourdi ou les contretemps est

d'assaut cette prison symbole de l'absolutisme. Le roi cède et rappelle Necker. Puis il se rend à Paris où il accepte d'arborer la cocarde tricolore. 3 Prise de la Bastille de Jean-Baptiste Lallemand, vers 1790. c. La fin de l'Ancien Régime En province, un sentiment de panique s'empare des paysans : c'est la Grande Peur, qui culmine du 20 juillet au 6 août 1789. Des révoltes éclatent, les paysans s'en prennent aux nobles. Pour tenter de rétablir le calme, les députés décident dans la nuit du

DOM JUAN MOLIERE BIOGRAPHIE : 1622 | Naissance à Paris de Jean-Baptiste Poquelin, fils d'un marchand tapissier, fournisseur officiel de la Cour | 1632 | Mort de sa mère.  | 1635 | Entrée au collège de Clermont ou il rencontre le prince de Condi futur protecteur pour des études en droit | 1643 | Il refuse le diplôme d’avocat. Il décide, contre l’avis de son père, de devenir comédien. Avec sa maîtresse Madeleine Béjart , la famille de celle-ci et quelques autres comédiens, il fonde la compagnie

entre Paris, lieu que découvre Edmond, et sa province maternelle ; il raconte qu'à Paris « on court, on vole » alors que chez les provinciaux « c'est l'apathie, la nonchalance, le goût de la tranquillité ». Dans le second extrait, Pierre Gringoire fonde un jugement sur le lieu où il s'est égaré, il expose la Cour des Miracles comme « la cité des voleurs », le « ruisseau de vices, de mendicité et de vagabondage » alors qu'il vient à peine de s'y rendre. Enfin, dans Aurélien, pour Bénéfice, Paris s'avère

tout être est digne d’être un sujet pictural qu’il s’agit de rendre de manière véridique Si ce réalisme apparaît d’abord dans les paysages avec l’Ecole de Barbizon, il se traduit très vite par la peinture de gens simples (comme des ouvriers ou des paysans) et permet une critique des conditions sociales. Ce goût pour les paysages peut  être en partie considéré comme une réaction à l’industrialisation naissante et à la pollution urbaine (cf. Douanier Rousseau). L’Ecole de Barbizon (désigne un groupe

sur de très grandes toiles. Il estime que l'histoire contemporaine, celle des gens du peuple, mérite ces grands formats. On peut en voir un exemple avec la sieste pendant la saison des foins (212x273cm) 1877 mettant en scène le peuple, et l’univers paysan. Il est possible de comparer les points communs et différences avec une œuvre faite plus tard par Fernand Pelez, artiste d’origine espagnole né dans le milieu du siècle (1848-1913) avec sans asile(138x205) 1883 une huile sur toile de grande taille

Albin-Michel, Paris, 1994, Tome II. BOURASSIN, Emmanuel, Les Chevaliers – Splendeur et Crépuscule (1302-1527), Tallandier, Paris, 1995. DUBY, Georges, Le chevalier, la femme et le prêtre, in Féodalité, Gallimard, Paris, 1996. DUBY, Georges, Guillaume le Maréchal, in Féodalité, Gallimard, Paris, 1996. DUBY, Georges, Guerriers et Paysans, in Féodalité, Gallimard, Paris, 1996. DUBY, Georges, L’An Mil, in Féodalité, Gallimard, Paris, 1996. FINÓ, J. – F., La société féodale, Albin-Michel, Paris, 1994,

de droit, entre-temps un peu de musique. Il est faible, mou, paresseux et se croit rêveur. Il vit dans l’attente d’un séjour de deux ans à Paris, qu’il considère à l’avance comme le seul temps délicieux de sa vie. Il est destiné aux « grisettes de la rive gauche », aux amours facilement rompues et peu coûteuses, et ensuite au mariage avec une demi-paysanne ayant du bien. Il ne racontera jamais sa belle aventure de jeunesse, ayant peu de vanité, aimant à oublier cette histoire comme une affaire

retrouve en Europe, notamment en Angleterre, en Scandinavie et plus particulièrement en France. Nous avons choisi deux peintures de Millet : * L’Angélus, 1859, huile sur toile, 55.5x66cm, Musée d’Orsay, Paris * Les Glaneuses, 1857, 0.835x1.11m, Musée d’Orsay, Paris Ces œuvres sont représentatives du réalisme par les caractéristiques qui suivent. La lumière est traitée de manière naturelle ; Millet rend sur sa peinture l’atmosphère d’un instant précis, contrairement à d’autres