Paysans 3ème République

Les paysans sont véritablement apparus sur la scène politique lors de l’élection au suffrage universel du président de la République le 10 décembre 1848. En retrait sous le Second Empire, ils se retrouvent au centre des préoccupations politiques de la Troisième République de 1871 à 1914. D’une masse analphabète et désintéressée des questions politiques, les paysans sont devenus des citoyens à part entière à la veille de la Grande Guerre. La conquête des paysans : La priorité de Gambetta sera

Depuis le Moyen-Age, la paysannerie est la structure sociale à la base de la société française. « Mieux vaut un paysan en bonne santé qu’un empereur malade » : le paysan constitue le socle de la survie de la Nation française. La paysannerie fait partie intégrante de la société française et de son économie. « Classe objet » pour Bourdieu dans Actes de la recherche en sciences sociales. Par cette expression, P. Bourdieu entend par là que la paysannerie est une classe relativement servile. Servile certes

Benhenni Hanane L1 AES : groupe 9 Thème 23 : la République et les ouvriers (1848 – 1914) « Le peuple d’en bas » telle est leur appellation. Pauvres, marginaux parfois, peu voire pas intégrés, pendant longtemps on ne s’intéresse pas à eux. Pourtant avec le retour de la République en 1848, les paysans et les ouvriers vont avoir droit à un espoir. Quelle relation ont-ils donc entretenu avec la République de 1848 à 1914 ? Tel est notre sujet. Il faut donc bien le cerner afin de mieux discerner

) L’handicap démographique freine le rayonnement économique et politique 1913 : augmentation du service militaire de 3 ans 1914 : espérance de vie de 50 ans 2/Une société encore très rurale 1914 : +50% ruraux, 40% pop active est paysanne Polyculture ; paysans très riche(notables, poids électorale important 3/..en cours d’industrialisation et d’urbanisation Paris ( industrie à deux vitesses ; majorité petite entreprises Protectionnisme dans l’industrie qui freine sa modernisation 1913 :

Les paysans et la politique en France de 1848 à 1914 : Les paysans son en marge de la politique française mais très vite tous les parties se rendent compte de l’importance de cet électorat qui peut faire la différence dans les urnes, car celui-ci représente la plus grande partie de la population française. Toutefois le processus de politisation des campagnes est lent et long car les paysans on du mal à se reconnaitre dans un des régimes qui leur sont proposé. Nous verrons comment cette

"L'URSS"(l'union des républiques socialistes soviétiques). Doc 3L'URSS: les républiques fédérées Source : Edition Hatier, page 49, titre "Histoire Géographie 3e", 383pages Nous voyons sur cette carte les différentes républiques fédérées et la frontière de l'URSS et la capital, Moscou. La république socialiste fédérative soviétique de Russie représentée en rouge est la plus grande et principale république fédérée. Nous voyons aussi les républiques musulmanes en vert, les républiques de Caucase représentées

rapport avec la productivité. Les enjeux du travail se construisent avec ce rapport. Les machines ont longtemps vu des hostilités. On commence les sabotages de machines, et on commence à être habitué à ces machines. 3 – le rapport à l’Etat et à la République. Nous sommes ici dans la légalisation de la classe ouvrière. Le prolétariat devient légal, n’est plus en dehors de la société. La traduction de cela c’est la reconnaissance par les urnes de la légitimité du vote prolétarien et ouvrier. L’un des

Les paysans sont les perdants de la Belle Époque (pas tous) car il y a exode rurale et on pourrait penser que la paysannerie qui reste est dynamique mais elle est en réalité peu dynamique et elle ne fait rien pour modernisé les exploitations. De plus, les nouvelles formes de commercialisation (L'essor de commerce de gros) joue contre le paysan qui est pressé de vendre car il a besoin d'argent, rapidement. Et ainsi il plie sous les exigences de commerce de gros. Donc la situation du paysan de la

a lieu en février. Il n’est jamais là au bon moment. Il donne des raisons économiques et sociales à ces journées 1848. Février 1848 à Paris et ses conséquences, comment s’est mise en place la Seconde République puis le printemps des peuples étendu à l’Europe. Enfin, échec de la République+Coup d’Etat= échec de ce printemps des peuples en Europe ? Révolution de 1848 n’aurait servi à rien, ce n’est qu’un simulacre de la vraie révolution prolétaire qui elle va arriver. I) 1848 en France

répercuter les informations politiques indispensable au fonctionnement de l’ECCLESIA. On pourrait dire qu’une fois la citoyenneté définie, on est dans une démocratie totale. Néanmoins, le fonctionnement de l’ECCLESIA est marqué par une absence des paysans assez importante parce qu’une réunion tous les 10 jours c’est beaucoup avec les trajets à faire. Il est tout de même prévu la nécessité d’un Corum d’au moins 15% (6000 citoyens) pour que les décisions soient valides. En dessous, on estime que les