Péché originel

Un esclave est une personne placée sous la dépendance absolue d’un maître. Cette dépendance implique l’abdication de son libre arbitre au profit d’autrui, c'est-à-dire, le renoncement à sa faculté de se déterminer librement et d’agir sous la conduite de sa seule volonté. A première vue, la question « peut-on être l’esclave de soi même ? » ne saurait être que surprenante. Il semble en effet qu’elle implique une contradiction dans les termes : si être esclave, c’est être sous la dépendance absolue

Candide   " Sa physionomie annonçait son âme. ". Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire Pangloss et lui exposer sa pensée sans redouter quelque moquerie de sa part. Naïf et

Caïn et son offrande, et Caïn en fut très irrité et eut le visage abattu.   Yahvé(D) dit à Caïn : "Pourquoi es-tu irrité et pourquoi ton visage est-il abattu ?  Si tu es bien disposé, ne relèveras-tu pas la tête ? Mais si tu n'es pas bien disposé, le péché n'est-il pas à la porte, une bête tapie qui te convoite, pourras-tu la dominer ?"   Cependant Caïn dit à son frère Abel : "Allons dehors", et, comme ils étaient en pleine campagne, Caïn se jeta sur son frère Abel et le tua.  Yahvé dit à Caïn : "Où

Le bien et le mal sont omniprésents dans notre monde. Leur création remonte selon la Bible à la période d'Adam et Eve qui, ayant transgressé l'interdit de Dieu en mangeant le fruit défendu, élaborèrent le concept même de bien et de mal. Ce-dernier est propre à l'homme puisque les animaux ignorent cette notion ainsi que l'idée du devoir. Ils agissent donc instinctivement, sans se soucier des répercutions nuisibles que pourraient avoir leurs actions. En revanche, ces deux antonymes acheminent l'existence

Je suis créateur à 100% Le monde qui m’entoure est la création de mes pensées. Si j’accepte cette responsabilité et si j’affi rme que le monde est ma création, je laisse, enfi n, mon rôle de victime et je récupère ainsi tout mon pouvoir créateur. Je cesse d’être créateur "inconscient“ pour devenir créateur “conscient". J’accepte : "Tout est parfait" C’est la première chose à faire, c’est le premier pas. "Accepter ce qui est". Parce que tout est parfait, même si je ne le sais pas encore

Il y a en Descartes, une si grande chose, qu’aucune barriere ne la rencontre, rien ne peut l’arreter et qu’il participe grace a elle de la nature de Dieu. Cette si grande chose est la volonté, le libre arbitre, par laquelle Descartes échappe au determinisme. La volonté, l’infini et la liberté sont liées ensemble meme si elle ne peuvent se differencier l’une de l’autre que par l’illusion. La volonté de Descartes est donc libre car elle est infinie, sa liberté consiste dans l’infinité de sa volonté

Nous allons premièrement voir qu'il est possible de pas savoir ce que l'on fait. Effectivement, il arrive que nous fassions des choses sans vraiment nous en rendre compte, car ces actions s'installent dans une routine, donc on ne sait pas vraiment ce que l'on fait. Par exemple, lorsque je croise mon patron, je lui souris par politesse mais je n'ai pas réellement conscience que je lui souris. Ce serait comme une habitude mécanique, un réflexe. Ces actions automatiques prouvent qu'il est possibles

le Selon les époques et les cultures, le héros est le fils d’une mortel est d’un dieu, une personne ayant commis des actes mémorables, un idéal, un homme au dessus des hommes, (de par sa force, son intelligence) mais c’est aussi le personnage principal d’un roman, et ce quelques soit les qualités dont il fait preuves.Mais un personnage de roman, que l’on va suivre pendant des pages et des pages, avec qui l’on va partager des sentiments, des émotions, avec qui l’on va s’investir durant la lecture

et déclare que Dieu est le seul à décider à qui il accorde (ou non) sa grâce. Les bonnes ou mauvaises actions de l'Homme (sa volonté et sa vertu, donc) n'entrent pas en ligne de compte, puisque le libre arbitre de l'homme est réduit par la faute originelle d'Adam. Dieu agit sur l'homme par l'intermédiaire de la grâce efficace, donnée de telle manière qu'elle atteint infailliblement son but, sans pour autant détruire la liberté humaine. L'homme a donc un attrait irrésistible et dominant pour le bien

Biographie de Pascal Nous connaissons la vie de Pascal grâce à l'ouvrage de sa sœur Gilberte Périer en 1663. Il ne s'agit donc pas d'une biographie objective, mais plutôt d'une hagiographie* *Hagiographie: Pascal le scientifique : -Il fut un grand scientifique et mathématicien puisqu'il a écrit à 16 ans le Traité des coniques, puis le Traité du triangle arithmétique, et invente la Pascaline a 19 ans, ainsi que la roulette. Il crée également avec Fermat les calculs