Peinture baroque

ATTACHERONS EN PREMIER LIEU AU CONTEXTE DE L’EPOQUE ET DE L’ARTISTE, POUR ENSUITE ANALYSER LA RICHE ICONOGRAPHIE DE VOUET. ENFIN, NOUS ANALYSERONS LES ELEMENTS PLASTIQUES DE LA REPRESENTATION. ANALYSE HISTORIQUE I. CONTEXTE ARTISTIQUE a. Baroque et classicisme au XVIIe Avant de plonger le lecteur dans l’étude de l’œuvre de Simon Vouet, il semble important de rappeler le contexte artistique de l’époque. Pour cela, revenons légèrement en arrière. Au XVIe siècle, eut lieu un événement majeur

fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. XVII Baroque Le baroque est un style qui nait en Italie entre le XVI et le XVII siècle.Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture et musique le style baroque se résume a l’utilisation de figures de styles telles que les métaphores et les allégories et a des tournures de phrases très inhabituelles Théophile

maître Boucher qui prenait des thèmes galant et mythologiques. Le thème antique sera souvent repris par ses successeurs néoclassiques. 2) La technique de ce tableau. a) Le chiffre 3. Pas besoin d’être un expert en peinture pour se rendre compte que le chiffre 3 est omniprésent dans la composition du Serment des Horaces. Depuis l’Antiquité, ce chiffre a toujours été considéré comme le symbole de la perfection et de la stabilité (il faut trois points pour définir un

met également à l’étude des portraits et en réalise comme son Autoportrait de 1899. Mucha a également touché à la photographie pour prendre en photo ses modèles et ses voyages. A partir des années 1900, l’artiste ne s’attaque plus seulement à la peinture mais élargit son domaine : il créait des meubles, des sculptures, des bijoux et des objets domestiques courants. Il eut même pour projet Le Pavillon de l’Homme, édifice pour l’Exposition Universelle de 1900 où l’on devait récupérer le premier niveau

certaine réalité. I. Un art de l'artifice et de l'illusion 1. La scénographie donne à voir un univers factice Le théâtre est essentiellement « représentation ». Or « représenter » signifie « remplacer », « tenir lieu de », « figurer » (comme en peinture). Le verbe implique la notion d'illusion. Et, de fait, rien n'est vrai au théâtre. Tout ce qui fait la réalité de notre vie – le lieu, l'espace et le temps, mais aussi la parole – y est transformé. Diderot note : « On se rend au spectacle avec la

Pissaro (1830-1903) Paul Cézanne (1839-1906) Armand Guillaumin (1841-1927) Paul Gauguin (1848-1903) Camille Pissarro C’est installé définitivement à Pontoise, né au Antilles et mort à Paris. Difficile de faire accepter à son père le fait de faire de la peinture. En 1855 arrive à Paris, rentre à l’école des Beaux-Arts, fréquente un atelier, l’académie Suisse (tenu par Charles Suisse, ancien modèle, proposait gratuitement aux jeunes artistes des séances de modèles) là, il rencontre Monet; donc peintres d’Argenteuil

Nouveau se caractérise par ses courbes imitant la nature: les fleurs, les arbres et les animaux, mais aussi par sa représentation de la femme. Toute ligne ou angle droit y est absent. Il utilise le fer, le verre. C'est un art mélangeant les éléments baroques, orientaux, classiques, voulant exprimer l'éloignement du traditionnel. Il s'inspire du Japonisme, du Symbolisme, et des Préraphaélites. Nous allons alors nous demander en quoi l'Art Nouveau se détache de l'historicisme? Pour y répondre, nous allons

L’ANONYMAT Dès l’écriture des portraits MDLF garde l’anonymat. Cela pourrait s’expliquer par le fait qu’elle ne cache pas les défauts des personnes concernés, mais c’est un argument fort mince. Certes l’anonymat est habituel à l’époque du Baroque, et va jusqu’au travestissement, mais ce masque sans visage et sans nom garde d’autant plus son mystère que MDLF persistera à le garder même pour ses romans. A l’époque de MDLF être auteur va à l’encontre de l’honnêteté, d’autant plus sil

voient le jour. Le Baroque apparait au début du XVIIème siècle chez quelques artistes dissident du style classique. Le style baroque dépeint l’exubérance de l’imagination et dans le style. Cette exubérance éclaire notamment les tragi-comédies de Corneille telles que Clitandre, Médée ou Le Cid. Cependant ce style ne plait pas à tous les spectateurs et lecteurs et en réponse on créé les règles de la bienséance pour redonner de l’ordre et de la finesse sur scène. Le théâtre baroque correspond à une méditation

à une disposition frontale, c'est une peinture qui affirme la symétrie. De part sa perspective elle nous positionne au centre. Alors que le Tintoret met en scène des personnages vivant et énergique, ont les entendrait presque rire, parler et manger. Le côté cérémonial et «sacré» de ce repas disparaît, même le lieu (une taverne populaire) est un choix exprimant la vie et ce côté commun qu’est généralement un repas. Et, par ces détails, on observe le baroque, dans l’œuvre, ce coté opulent comme une