Péjoratif

concierge. I) Nous avons à faire ici à un autoportrait, en effet Renée notre narratrice se présente a la premier personnel (l1) « je m’appelle ». A partir de la ligne 4 nous avons à faire a une autocritique, elle se décrit avec des adjectifs très péjoratif « je suis, petite, laide, grassouillette » ont a l’impression qu’elle n’a pas une bonne image d’elle-même, ce qui fait d’elle une héroïne plutôt inhabituel voir insolite. Cela casse les codes du héros qui à tout plaire. On a la forte présence de

entre l’enfant riche et le pauvre. à Péjoratif : enfant pauvre et son univers, « charbon et les orties » (ligne 14), cela représente la pauvreté et le sauvage, la liberté du pauvre. La pauvre vit hors des cages, il est libre alors que le riche est surveillé. Il relaie le point de vue de la condition sociale. Il fait de l’enfant pauvre quelque chose de plus. Ils sont tous deux innocents : « marmots » : familier (ligne 16) « parias » : marginal donc péjoratif car rejeté par la société. Mais à la

Céline, les soldats sont comparés à des punaises et des puces de terre. C'est très péjoratif et cela illustre leur impuissance, et montre comment ils peuvent être écrasés très facilement. Pour terminer, on peut remarquer qu'il y a une antithèse entre le premier texte d'Homère, où il n'y a que des éléments mélioratifs, où il y a une héroïsation et le texte de Céline, où il n'y a que des éléments péjoratifs et où il y a une répulsion vis à vis des soldats, de leur attitude et de la guerre

un portrait très négatif de son maitre. Il ne met en valeur aucune de ces qualités. Pour cela Molière emploi des procédés narratifs tel que l’énumération qui a pour but dans cette scène d’insister sur le caractère péjoratif de Dom Juan. L’énumération suivante est faite de termes péjoratifs qui caractérise Dom Juan dans son coté incrédule : « un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique. » ; « en véritable bête brute, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale. ». Il y a aussi une énumération

faire entendre : ils ne sont pas «corrompus» et ils ne pratique pas la censure--> ils sont honnêtes et libres. Affirmation de l’égalité = éloge audacieux des qualités des nègres. C. Un txt polémique désignation des esclavagistes par des termes péjoratifs : «blancs des colonies», «les gens de chair blanche», «déshonorent», «vos tyrans».. Jugement sur les valeurs : «soudoyer», «déshonorer» , «droit de vous insulter» «injustice» «insolence absurde des sophismes de vos tyrans» l’éloquence est au service

T : donner des héritiers à Bernard. • Personnification de T à travers un feu « sournois et hypocrite » : péjoratif. • Adj « étouffant » :  A pour but de placer le mariage dans le temps.  Signifie implicitement que T suffoque à cause du mariage. • L’acte sexuel de Bernard envers T est extrêmement imagé, même si T l’a vécu comme un viol (termes employés extrêmement violent et péjoratif : « ont servi ») • T est triste, elle envie la joie d’Anne, qu’elle met en relief par un adjectif possessif

1. La dimension polémique du texte Deux réseaux antithétiques : nature et la culture Opposition entre deux mondes : cette nation et pays où nous sommes Culture des indigènes élogieuses, la civilisation européenne est très critiqué  adjectifs péjoratifs : vaines et frivoles, moindres et imparfaites 2. Dénonciation des préjugés Européens Montaigne utilise nous  autocritique Aphorisme : « chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage » dénonce les préjugés Il emploi l’ironie 4 à 5 

-> catégorique Dans la deuxième phrase du paragraphe, Jaucourt pointe les diverses responsabilités en cause dans ce négoce illégal : - Ceux qui vendent les esclaves : les princes africains : le verbe péjoratif « prétendre » - Les esclavagistes (les négociants ) qui les achètent en les traitant comme des marchandises, des objets sans âme (comparaison dégradante) met en cause une responsabilité collective. le pronom « les » désignant les noirs, Si un commerce

Montaigne tente de démontrer que les indiens ne sont pas des sauvages. I- Le sauvage n’est pas celui que l’on croit 1- La redéfinition des termes Montaigne formule sa thèse en réfutant les mots « barbare » et « sauvage », en ce qu’ils apparaissent péjoratifs et traduisibles respectivement en « cruel » et « grossier ». L’emploi d’un adversatif « sinon que » (l.2) insiste sur ce point, en même qu’il pose la seule condition pour que la thèse adverse soit vraie : si « barbare » marque ce qui n’est pas communément

lieu d'habitation et les personnes qui y résident. Après avoir décrit l'extérieur de la pension, le lecteur découvre l'intérieur étage par étage. PROBLEMATIQUE: Comment Balzac procède-t-il pour décrire Mme Vauquer? I- Un portrait dépréciatif (péjoratif) 1- Le portrait physique du personnage: Il est poussé jusqu'à la caricature: Le lexique est dévalorisant, Balzac insiste sur son allure (sa marche traînassante), sa laideur physique: «son nez à bec de perroquet» (l9). Il la rapetisse ligne 21