Péjoratif

», « la plainte », « silence absolu », « ouïe », « hurlement ». L’atmosphère qui règne sur la lande est une atmosphère lugubre qui donne le frisson, qui inspire la peur et l’anxiété. Les termes qui servent à la qualifier sont majoritairement péjoratifs : « « obscurs », « pourrissante », « heure noire », « puissances du mal », « morne », « étrange », « triste », « perçant », « féroce », « menaçant ». 5. Les paroles sont rapportées directement donc au discours direct, à l’aide de guillemets et

indéfinit "on", qui invitent le lecteur à se représenter un lieu familer, le ton est objectif, et comme si l'auteur retranscrivait les notes de son carnet. On trouve des détails précis, des indications chiffrées. Le narateur multiplie les termes péjoratifs, comme dans l'accumulation d'adjectifs pour décrire les dalles. Il souligne le délabremetnt de la rue, et son étroitesse. Certains sont hyperboliques pour amplifier l'impression de laideur. Une telle description a choqué le lecteur de l'époque

Montaigne tente de démontrer que les indiens ne sont pas des sauvages. I- Le sauvage n’est pas celui que l’on croit 1- La redéfinition des termes Montaigne formule sa thèse en réfutant les mots « barbare » et « sauvage », en ce qu’ils apparaissent péjoratifs et traduisibles respectivement en « cruel » et « grossier ». L’emploi d’un adversatif « sinon que » (l.2) insiste sur ce point, en même qu’il pose la seule condition pour que la thèse adverse soit vraie : si « barbare » marque ce qui n’est pas communément

soutient. C’est l’homme qui s’est « fagoté » seul, (fabriqué rapidement, syn. de « bricolé ») « un principe de cette exception », c’est-à-dire sa position insolite parmi l’ensemble du vivant. - Le lexique qui concerne le sexe masculin se fait péjoratif : au terme « fagoté » s’ajoutent les expansions du pronom « il » mises en relief en début de phrase : « bizarre », « aveugle », « boursouflé », « dégénéré ». C’est bien le lexique de la monstruosité qui définit l’homme. - La remarque « il veut

l’utilisation de termes affectifs ou évaluatifs. Ceux-ci peuvent être mélioratifs ou au contraire péjoratifs. a) À l’aide d’adjectifs qualificatifs : Exemples : « Son pauvre petit corps. » Adjectif qualificatif affectif mélioratif. « Il est beau. » Adjectif qualificatif évaluatif mélioratif. « Il est laid. » Adjectif qualificatif évaluatif péjoratif. b) En ajoutant au radical d’un adjectif qualificatif ou d’un nom commun un

un enfant de sexe féminin, généralement non-employé au-dessus de douze ou treize ans. Cette expression peut également être utilisé comme qualificatif péjoratif à l'égard d'une personne plus âgée, y compris de sexe masculin. « Jeune fille » désigne une fille pubère. « Vieille fille » désigne une femme adulte et célibataire. Ce terme est assez péjoratif, et est employé pour reprocher à la personne de ne pas être mariée. « Fille mère » désigne une personne mère d'un enfant sans être mariée. « Fille de

4) le langage et les pensées du personnage 5) les actes, les agissements du personnage (son rapport au monde, aux autres) 6) le jugement des autres sur le personnage | = le texte descriptif = les adjectifs qualificatifs (mélioratifs ou péjoratifs) = les comparaisons et les métaphores (les images) = les antithèses = les hyperboles, les superlatifs = le champ lexical = informations fournies à la fois par le texte descriptif et par le texte narratif (il faut aussi analyser les

majuscule qu'il signifie l'importance. Anouilh remet en questions la valeur éducative de La Fontaine en employant des mots péjoratif (Vr4) « Marmots ». Anouilh dans son texte préfère inversé les rôles, le roseau devient alors prétentieux et le chêne humble. Le roseau utilise l'hyperbole (Vr14) « Tempêtes du monde », Il devient arrogant , en utilisant des termes péjoratif à l'égard du chêne (Vr15) « Orgueilleux » Pour le chène il devient humble et fier comme le Roseau dans la fable de La Fontai

première strophe exprime la condition humaine qui est traité avec un caractère péjoratif : « Tes jours, sombres et courts » ; « pitié » ; « l’amitié te trahit ». Il s’oppose au caractère mélioratif de la nature à la deuxième strophe. - Par cette opposition naît un contraste entre les deux strophes qui se mettent ainsi en valeur. Le « Mais » marque cette opposition. Il y a donc une insistance sur le caractère péjoratif de la condition humaine tout comme sur le caractère mélioratif de la nature.

critiquer le mode de vie et les actions des colons. Tout d’abord, le locuteur rend son opinion très évidente à travers son discours. Dés le début, il s’adresse à Bougainville en le qualifiant de « chef de brigands » (l. 1). C’est un terme très péjoratif qui qualifie les colons de voleurs. Sa première phrase annonce donc déjà le ton du reste du discours : il tiendra un ton accusateur et méprisant envers les colons. Le fait que le Tahitien s’adresse à Bougainville en le tutoyant suggère aussi un